Chalom.
Casser pour accéder au contenu est autorisé.
Ce médicament si vous le prenez tous les jours et que vous avez commencé à le prendre avant Chabbat vous pouvez continuer à le prendre pendant Chabbat et il n'y a pas d'interdiction.
Kol touv et Chabbat chalom!.
Chalom.
Si vous avez consommé ensuite une quantité d'un Cazaït d'aliments constitués des cinq céréales, vous êtes quitte du Kiddouch et n'avez pas besoin de le réitérer à la maison.
Vous pouvez toutefois le réitérer pour en acquitter les membres de votre famille. Pour le Kiddouch du matin c'est d'ailleurs recommandé de réitérer le Kiddouch à l'endroit où vous allez consommer le repas en bonne et due forme, c'est-à-dire avec du pain.
Kol touv.
Chalom!
Dans tous les cas que vous évoquez, le non-mouktsé qui se trouve sur du mouktsé ne devient pas mouktsé.
De même, si sur un tiroir sont posés des objets mouktsé et des objets qui ne le sont pas, les objets qui ne le sont pas ne deviennent pas mouktsé.
Le seul cas où un objet non-mouktsé devient mouktsé est lorsqu'il devient [i]Bassis Lédavar Haassour,[/i] c'est-à-dire que l'objet non-mouktsé devient le support de choses mouktsé. Comme le cas d'un tiroir dans lequel on aurait mis des pièces d'argent: Ce tiroir lui-même devient mouktsé, mais pas les bagues posées dessus.
Et il faut savoir qu'il y a de nombreuses conditions détaillées dans la Halaha pour que ce tiroir devienne effectivement mouktsé.
Si dans le tiroir se trouvent aussi bien des objets Mouktsé que d'autres qui ne le sont pas, le tiroir devient Bassis Ledavar Haasour Véhamoutar et il est possible de l'ouvrir ou le déplacer afin d'accéder au non Mouktsé à deux conditions:
1- Que l'objet non Mouktsé vaut plus que celui qui est mouktsé.
2- Qu'il est impossible d'accéder au non Mouktsé sans déplacer ce tiroir. S'il est possible de faire virevolter l'objet Mouktsé sans que celui ce ne se casse, de sorte à pouvoir déplacer ce tiroir de façon complètement permise, il est interdit de déplacer cet ensemble (Mouktsé plus non Mouktsé).
Kol touv.
Bonjour
Quelles sont les conditions pour se doucher pendant chabat sans transgresser ?
Merci.
Chalom,
Durant Chabbat nous ne pouvons pas nous doucher à l'eau chaude tout le corps, quelle que soit la façon dont l'eau a été chauffée.
En effet bien que d'après la Torah il n'y a aucun inconvénient à se doucher à l'eau chaude tant que cette eau a été chauffée de façon autorisée, toutefois nos maîtres l'ont interdit ainsi que le précise la Gémara de Chabbat.
En effet, à l'époque les bains étaient publics, et il y avait des responsables qui devaient faire en sorte que l'eau soit chaude. Lorsqu'il arrivait le Chabbat que l'eau n'était pas chaude, ils se permettaient souvent de la réchauffer pendant Chabbat en allumant le feu, ce qui est totalement interdit. Et ils prétendaient que cette eau a été chauffée de façon autorisée avant Chabbat. Nos Sages voyant ce comportement l'ont dénoncé et interdit de se doucher à l'au chaude de sorte à ce que ces hommes h'aient plus aucun intérêt à chauffer l'eau vu que de toute façon ne viendra s'y doucher.
Ceci étant, vous doucher la mineure partie du corps c'est permis pendant Chabbat.
Simplement dans votre cas, si l'eau est chauffée de façon électrique ou au gaz, même si l'eau est chauffée au profit de tout l'immeuble, il n'empêche qu'au moment où vous ouvrez votre robinet, il va y avoir de l'eau froide qui va rentrer dans le ballon principal et qui va donc faire l'eau froide se réchauffer et ceci est interdit durant Chabbat.
Concernant votre seconde question, si l'eau a été chauffée par le gaz ou l'electricité et que l'eau qui se trouve dans le ballon est encore à une temperature superieure à 40-45°C, il est interdit de s'en servir pendant Chabbat pour la raison que j'ai explicité plus haut.
Ce qui n'est pas le cas de Yom Tov pour les Sefaradim.
Cependant, si l'eau est deja moins chaude que cela, c'est permis SI LE BALLON EST FERME ET N'EST PLUS EN TRAIN DE SE CHAUFFER.
Si votre ballon est rechauffé par le soleil (doud shemesh) de nombreux Poskim permettent de se servir de l'eau même si le ballon n'est pas fermé (s'il n'est relié QUE à ce doud shemesh). Mais à nouveau, interdit de laver tout son corps, même dans ce cas precis!
Kol Touv et Chabbat chalom!
Chalom Ouvrah'a!
Il n'y a strictement aucun problème. Si cela vous parfume d'avantage votre Chabbat, c'est très bien.
Il est cependant toujours préférable d'allumer les bougies de Chabbat avec de l'huile d'olive. Mais dans la mesure où vous vous servez de bougies en cire, ce qui est autorisé par la Halaha, vous pouvez aussi bien vous servir de ces bougies.
Evidemment je précise qu'il faut que cette odeur soit agréable pour tous les convives qui se trouvent à table parce que nos maîtres disent qu'on ne doit pas allumer les bougies de Chabbat avec de la cire qui dégage une mauvaise odeur, de peur qu'on en vienne à quitter la pièce dans laquelle se trouvent les bougies et qu'on mange le repas de Chabbat dans un lieu qui n'est pas éclairé!
Au passage j'en profite pour vous dire qu'il est fréquent que certaines personnes mangent leur repas de Vendredi soir sur leur terrasse ou dans leur jardin! Il est important d'après la Halaha qu'on essaye dans ce cas là d'allumer les bougies sur la terrasse pour pouvoir manger à la lumière des bougies!
Cependant s'il y a du vent ce qui est tout à fait fréquent, il faut veiller à mettre les bougies dans un espèce d'aquarium en verre comme on le fait pour Hannouka de sorte à ce que le vent ne les éteignent pas!
Kol touv et Chabbat chalom!
Chalom!
Dans tous les cas que vous évoquez, le non-mouktsé qui se trouve sur du mouktsé ne devient pas mouktsé.
De même, si sur un tiroir sont posés des objets mouktsé et des objets qui ne le sont pas, les objets qui ne le sont pas ne deviennent pas mouktsé.
Le seul cas où un objet non-mouktsé devient mouktsé est lorsqu'il devient [i]Bassis Lédavar Haassour,[/i] c'est-à-dire que l'objet non-mouktsé devient le support de choses mouktsé. Comme le cas d'un tiroir dans lequel on aurait mis des pièces d'argent: Ce tiroir lui-même devient mouktsé, mais pas les bagues posées dessus.
Et il faut savoir qu'il y a de nombreuses conditions détaillées dans la Halaha pour que ce tiroir devienne effectivement mouktsé.
Si dans le tiroir se trouvent aussi bien des objets Mouktsé que d'autres qui ne le sont pas, le tiroir devient Bassis Ledavar Haasour Véhamoutar et il est possible de l'ouvrir ou le déplacer afin d'accéder au non Mouktsé à deux conditions:
1- Que l'objet non Mouktsé vaut plus que celui qui est mouktsé.
2- Qu'il est impossible d'accéder au non Mouktsé sans déplacer ce tiroir. S'il est possible de faire virevolter l'objet Mouktsé sans que celui ce ne se casse, de sorte à pouvoir déplacer ce tiroir de façon complètement permise, il est interdit de déplacer cet ensemble (Mouktsé plus non Mouktsé).
Kol touv.
Chalom.
Si vous avez consommé ensuite une quantité d'un Cazaït d'aliments constitués des cinq céréales, vous êtes quitte du Kiddouch et n'avez pas besoin de le réitérer à la maison.
Vous pouvez toutefois le réitérer pour en acquitter les membres de votre famille. Pour le Kiddouch du matin c'est d'ailleurs recommandé de réitérer le Kiddouch à l'endroit où vous allez consommer le repas en bonne et due forme, c'est-à-dire avec du pain.
Kol touv.
Chalom Ouvrah'a!
Il n'y a strictement aucun problème. Si cela vous parfume d'avantage votre Chabbat, c'est très bien.
Il est cependant toujours préférable d'allumer les bougies de Chabbat avec de l'huile d'olive. Mais dans la mesure où vous vous servez de bougies en cire, ce qui est autorisé par la Halaha, vous pouvez aussi bien vous servir de ces bougies.
Evidemment je précise qu'il faut que cette odeur soit agréable pour tous les convives qui se trouvent à table parce que nos maîtres disent qu'on ne doit pas allumer les bougies de Chabbat avec de la cire qui dégage une mauvaise odeur, de peur qu'on en vienne à quitter la pièce dans laquelle se trouvent les bougies et qu'on mange le repas de Chabbat dans un lieu qui n'est pas éclairé!
Au passage j'en profite pour vous dire qu'il est fréquent que certaines personnes mangent leur repas de Vendredi soir sur leur terrasse ou dans leur jardin! Il est important d'après la Halaha qu'on essaye dans ce cas là d'allumer les bougies sur la terrasse pour pouvoir manger à la lumière des bougies!
Cependant s'il y a du vent ce qui est tout à fait fréquent, il faut veiller à mettre les bougies dans un espèce d'aquarium en verre comme on le fait pour Hannouka de sorte à ce que le vent ne les éteignent pas!
Kol touv et Chabbat chalom!
Chalom.
Casser pour accéder au contenu est autorisé.
Ce médicament si vous le prenez tous les jours et que vous avez commencé à le prendre avant Chabbat vous pouvez continuer à le prendre pendant Chabbat et il n'y a pas d'interdiction.
Kol touv et Chabbat chalom!.
Chalom
Si le four est propre à chaque fois, il n'y a pas de problème dans ces deux cas précis.
Kol touv!
Bonjour Rav.
Je voulais savoir s'il est permis de consommer du lait, après avoir mangé de l'oignon qui a été coupé avec un couteau de viande qui avait été utilisé avec de la viande bouillante durant les 24 heures. Merci de votre réponse.
Chalom
Votre oignon est devenu Bassari, toutefois vous avez ensuite le droit de consommer du lait.
Cf aussi le cours http://www.torahacademy.fr/davar-harif
Chalom
Si le four est propre à chaque fois, il n'y a pas de problème dans ces deux cas précis.
Kol touv!
Bonsoir!
Vous avez raison qu'un tel bruit courre depuis déjà quelques années. Il faut savoir que ceci n'est pas du tout fondé. Il est interdit de se servir de ces ustensiles même de façon tout à fait provisoire.
J'en ai une fois parlé avec mon maître le Rav Sternbuh' Chlita et il m'a dit que lui aussi a déjà entendu cette rumeur mais qu'effectivement elle est non fondée.
Kol touv.
Chalom!
La quasi majorité des Décisionnaires s'accorde à dire que le stérilet est autorisé par la Halaha. (Evidemment après l'autorisation d'un Rav).
Ce n'est pas considéré comme un avortement.
Même mon Maître Rav Sternbuch shlita, de qui de ses propos dans ses livres il ressort qu'il craint que peut-être ceci soit considéré comme un avortement, m'a toutefois dit oralement qu'il y a lieu d'autoriser dans des cas de nécessité.
Toutefois, lorsque ceci est possible, les Décisionnaires préfèrent tout-de-même se servir de la pilule plutôt que du stérilet.
Kol touv.
Cher ami,
C'est certes reglementé, mais dans le sens inverse de ce que vous pensez.
Je m'explique: Vous parlez d'un chiffre maximal de rapports qui sont autorisés, or nos maîtres nous parlent d'un chiffre minimum.
C'est-à-dire que des lorsque l'homme s'est marié à son épouse, il a le droit d'une part d'être avec elle autant de fois qu'il le souhaite tant qu'elle est pure, et d'autre part a le DEVOIR d'être avec elle lorsqu'elle le souhaite.
Ce devoir est de la Thora.
En pratique, nos maîtres n'auraient pas eu besoin de nous ecrire un nombre de fois ou le couple doit se retrouver vu que cela depend de la volonté et du besoin qu'eprouve la femme. Cependant nos maîtres connaissant la nature de la femme qui bien souvent a honte de solliciter son mari pour cela, ou qu'elle est souvent consciente de la fatigue de son mari vu son travail etc. ou alors souvent elle ne souhaite pas le deranger dans ses diverses occupations!
C'est la raison pour laquelle nos maitres se sont adresses aux hommes et leur on dit qu'ils doivent savoir qu'il y a un nombre minimum de fois ou il faut etre avec son epouse, et ce, meme si elle ne le precise ni l'exprime explicitement. Parce que c'est la moyenne que nos maitres ont estime de fois ou la femme souhaite etre avec son mari!
Ainsi, nos maitres ont evalue selon la profession du mari, la force physique qu'il est censse avoir, la disponibilite qui est la sienne, un chiffre de fois par semaine!
Tout ceci est explique dans le Igrot Moche.
La Halaha a ete tranchee que le Talmid haham soit celui qui est completement investi dans l'la Thora est une fois par semaine. Cependant de tres grands decisionnaires (Meil tsedaka et ainsi ont tranche le Rav Feinstein et le Steipeler et de nombreux autres Rabbanim) que de nos jours ou le stress va en grandissant etc, meme eux doivent se retrouver 2 fois par semaine!
Pour les personnes travaillant dans la ville ils doivent aussi se conformer a cet imperatif soit 2 fois par semaine minimum!
Il est important de preciser que l'obligation d'avoir des enfants (piria verivia) n'a aucun rapport avec tout ce que je viens de preciser, c'est a dire que la Mitsva de Ona que je viens de preciser est valable meme pour un couple qui a deja eu un garcon et une fille et qui est donc deja aquitte de Piria Verivia. Cependant il est clair que tant que la Mitsva de Piria Verivia n'a pas ete accomplie, les deux Mitsvots incombent simultanement au mari!
J'espere que tout est clair!
Kol touv!!
C'est bon. Il n'y a aucun problème.
Kol touv.
Chalom ouvrah'a!
Au sujet des pilules d'allaitement qui sont effectivement assez problématiques dans certains cas les conseils que nous donnons généralement sont:
Mais à nouveau ceci peut ne pas aider chez certaines femmes. Chaque femme réagit différemment à ces hormones.
L'une de mes élèves est la fille d'une gynécologue très calée. Elle se servait de Cérazette et cela lui occasionnait beaucoup de saignement, sa mère a tentée tous ce qu'elle connaissait et rien n'a marché. Finalement elle s'est résignée à abandonner l'usage de la pilule.
Kol touv.
Chalom ouvrah'a!
Au sujet des pilules d'allaitement qui sont effectivement assez problématiques dans certains cas les conseils que nous donnons généralement sont:
Mais à nouveau ceci peut ne pas aider chez certaines femmes. Chaque femme réagit différemment à ces hormones.
L'une de mes élèves est la fille d'une gynécologue très calée. Elle se servait de Cérazette et cela lui occasionnait beaucoup de saignement, sa mère a tentée tous ce qu'elle connaissait et rien n'a marché. Finalement elle s'est résignée à abandonner l'usage de la pilule.
Kol touv.
Chalom!
La quasi majorité des Décisionnaires s'accorde à dire que le stérilet est autorisé par la Halaha. (Evidemment après l'autorisation d'un Rav).
Ce n'est pas considéré comme un avortement.
Même mon Maître Rav Sternbuch shlita, de qui de ses propos dans ses livres il ressort qu'il craint que peut-être ceci soit considéré comme un avortement, m'a toutefois dit oralement qu'il y a lieu d'autoriser dans des cas de nécessité.
Toutefois, lorsque ceci est possible, les Décisionnaires préfèrent tout-de-même se servir de la pilule plutôt que du stérilet.
Kol touv.
C'est bon. Il n'y a aucun problème.
Kol touv.
Chalom Rav!
A t'on le doit de cirer des chaussures pendant h'ol hamoèd si elles se sont salies? Merci de votre réponse.
Si vous pouviez me répondre avant Chabbat cela m'aiderait beaucoup.
Merci beaucoup!
Chalom Ouvrah'a!
C'est interdit de procéder à la lessive pendant h'ol hamoèd!
Pour cette raison de nombreux grands Décisionnaires ont écrit qu'il est interdit de cirer ses chaussures pendant h'ol hamoèd. Telle est l'opinion du H'azon Ich, rapportée par mon Maître le Rav Moché Sternbuh' Chlita (dans son oeuvre Moadim ouzmanim tome 7 chapitre 154), telle est l'opinion du Tsits Eliézèr etc.
Certains autorisent de demander à un non juif de le faire à notre place. D'autres interdisent même cela.
Toutefois, d'autres grands Décisionnaires autorisent de le faire (Chout Hélèk Lévy chapitre 181, etc.).
Ils prétendent que de la même façon qu'il y a des vêtements qu'on autorise à nettoyer pendant h'ol hamoèd vu que ceux sont des vêtements qui ont l'habitude de se salir à une fréquence importante, cf http://www.torahacademy.fr/la-lessive-pendant-h-ol-hamoed, de la même façon les chaussures peuvent êtres nettoyées vu qu'elles appartiennent à cette même catégorie. Effectivement elles sont facilement susceptibles de se salir.
En pratique tel est l'avis du Rav Ovadia Yossef zatsal dans son oeuvre Yabia omèr (tome 1 chapitre 32), et celle du Rav Elyachiv zatsal (rapportée dans le kovèts mévakché torah chapitre 106). Telle est aussi l'opinion du Chmirat Chabbat kéhilhéta (chapitre 66 paragraphe 48).
Précision:Tout ceci est valable lorsqu'on cire avec du cirage. Si on souhaite simplement brosser ses chaussures avec une brosse ou les nettoyer avec un chiffon sec sans se servir de cirage, l'ensemble des Décisionnaires s'accordent à autoriser de le faire.
Moadim lésimh'a!
Chalom Ouvrah'a!
L'opinion du Maharcham est que durant les 24 mois qui succèdent un accouchement la femme est exemptée de tous les jeûnes excepté celui de Kippour et celui du 9 Av.
Cette opinion n'a pas tellement été retenue par les grands Décisionnaires. Le Rav Ovadia Zatsal qui a soutenu cette opinion pendant pal mal d'années s'est lui aussi finalement ravisé et a tranché que s'il n'y a pas de raison particulière d'autoriser, la femme se doit de jeûner ces jeûnes si elle n'allaite pas ou qu'elle n'est pas enceinte.
Il est toutefois sûr que dans certains cas, on se sert de cette opinion pour être moins rigoureux.
Concernant le jeûne d'aujourd'hui, ce jeûne étant reporté au Jeudi, le Rav Ovadia Yossef Zatsal a tranché que dans un tel cas (jeûne reporté) on peut se montrer indulgent et autoriser à femme qui se trouve dans ce cas de ne pas jeûner.
Kol touv.
Chalom!
Le Eliahou Rabba au chapitre 691 écrit que c'est à éviter pour deux raisons:
La première est que la Mégila doit être le plus semblable possible au Séfèr Thora. Or pour celui-ci, il est hors de question qu'il soit imagé.
La seconde est que de la même façon que le Choulh'an Arouh' au chapitre 90 écrit que dans les livres de prière il faut éviter que se trouvent des dessins afin de ne pas déconcentrer la personne qui prie, de la même façon dans une Mégila des dessins pourraient déconcentrer la personne qui la lit.
Ceci étant, le Eliahou Rabba lui-même réfute un peu cette seconde preuve en disant qu'il est possible qu'on ne puisse déduire des lois de la Mégila des lois de la prière, vu que durant la prière la concentration requise est sans paire.
En tous cas, en conclusion, il déconseille tout à fait le fait d'écrire une Méguila de cette façon là. Le Michnat sofrim lui aussi tranche de cette façon là.
Kol touv.
Chalom
Les bénédictions d'avant, oui. Celle de la fin, non (Choulh'an Arouh' chapitre 692 paragraphe 1, dans les propos du Rama).
On n'est pas acquitté sans vraie Méguila en bonne et due forme.
Si vous n'avez rien d'autre, il vaut tout-de-même mieux cela que rien. Toutefois sans bénédictions et vous n'êtes pas acquitté (Choulh'an Arouh' chapitre 691 paragraphe 10).
Pourim Saméah'!!
Chalom Rav!
J'ai entendu dire en votre nom que dans les Michloah' Manot ce n'était pas forcément nécessaire qu'il y ait des aliments nécessitant deux types de bénédiction différentes. Est ce vrai?
Merci.
Chalom Ouvrah'a!
Effectivement, je suis au courant de la rumeur qui circule dans nos milieux et selon laquelle il faut absolument dans nos Michloh'é manot qu'il y ait deux espèces d'aliments ayant chacun une autre Brah'a.
A chaque fois que durant un cours je désapprouve cette rumeur, les élèves qui y assistent ne manquent de me faire part de leur étonnement.
Pourtant, les décisionnaires ne font aucunement mention de cette rumeur.
Au contraire, au chapitre 695 le Choulh'an Arouh' écrit explicitement qu'il est possible d'offrir deux morceaux de viande. Certains Décisionnaires iront jusqu'à dire que même si ces deux morceaux sont identiques, on s'acquitte de la Mitsva (Roch yossef).
Certains autres décisionnaires disent qu'il s'agit de deux morceaux de viande différents (une cuisse et du foie par exemple).
En tout état de causes, il ressort explicitement de la Halah'a que deux morceaux différents de viande font largement l'affaire bien que la bénédiction est identique.
Béhatslah'a!
Bonjour,
Le michté de pourim peut il être halavi??
Chalom!
Les décisionnaires (chapitre 695) écrivent qu'il faut manger de la viande durant le Michté de Pourim vu que ce jour a été institué pour être un jour de Yom Tov, or le Yom tov, nous sommes tenus à manger de la viande.
Des propos du Choulh'an Arouh' au chpaitre 696, il ressort aussi explicitement qu'à Pourim il y a une Mitsva de manger de la viande.
D'ailleurs de nombreux décisionnaires écrivent qu'il est bon aussi de faire son Michté sur du pain.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle de nombreux décisionnaires s'accordent à dire qu'il est possible pour une femme dont l'immersion rituelle tombe à l'issue de Pourim de manger de la viande durant le Michté, bien que généralement le jour de l'immersion on s'abstient de consommer de la viande de peur qu'un petit morceaux ne se loge entre les dents.
Mais étant une Mitsva le jour de Pourim de manger de la viande, on l'autorise même dans ce cas, et ensuite on se brosse bien évidemment méticuleusement les dents de sorte à pouvoir se tremper sans problème!
Kol touv!
Bonjour,
J'ai une meguila ecrite sur parchemin mais qui n'a pas de bâton en bois attaché au rouleau. Je voulais savoir si je devais en mettre un, si c'est mieux ou obligatoire ?
merci
Chalom.
Votre question est l'objet d'une controverse entre nos Grands décisionnaires.
D'après les Séfaradim c'est nécessaire de mettre ce bâton, ainsi que l'écrit le Choulh'an Arouh' au chapitre 691 paragraphe 2, simplement à posteriori cela ne rend pas la Méguila impropre.
L'opinion du Rama au chapitre 691 est que la coutume est de ne pas placer de baguette en fin de la Méguila.
Telle était faite la Méguila dans laquelle lisait le Hazon Ich ainsi qu'en témoigne Rav Haim Kanyevsky shlita.
A contrario, l'opinion du Gaon de Vilna est qu'il est très important de placer cette baguette.
Ainsi tranche le Kaf Hahaïm et écrit que telle est l'opinion de la Kabbale.
En pratique, la coutume Achkénaze est partagée alors que la coutume Sépharade est clairement définie!
Kol touv!
Chalom Rav!
Peut on avoir une relation conjugale avec sa femme dans la Soukka pendant la fête de Soukkot?
Merci beaucoup!
Chalom Ouvrah'a!
L'opinion du Beth David est d'interdire cela vu qu'il est écrit que dans la Soukka on ne doit pas faire de choses qui peuvent relever du mépris.
Toutefois, de nombreux Décisionnaires tels que le Ben Ich H'aï, le H'afets H'aïm dans le Béour Halah'a au chapitre 638, le Rav Ovadia Yossef zatsal etc. se sont opposés à cette opinion et ont écrit que c'est tout à fait autorisé et recommandé.
En effet,
1- Le comportement qu'on a chez soi pendant toute l'année est celui qu'on doit avoir dans le Soukka pendant Soucot (תשבו כעין תדורו).
2- Le fait d'accomplir une Mitsva de cette dimension (Piria vérivia, et Mitsvat Ona) n'a rien de méprisable, au contraire c'est une Mitsva qui relève de la sainteté.
Je précise juste que ceci est valable uniquement dans le cas où toutes les règles élémentaires de pudeur seront respectées, à savoir que vous avez une Soucca réservée à vous et votre épouse uniquement, qu'elle se trouve à un endroit où personne n'est susceptible de vous voir ou de vous entendre etc.
H'ag Saméah'!
Bonjour; Je suis un musicien amateur ...
j'apprécie réelement la musique à un point ou je voudrais en entendre durant la periode des 3 semaines.
Quel est le Din dans ce genre de situation?
Chalom Je vous comprend.
Sachez que la perte du Beth Hamikdach vaut bien ce petit sacrifice de notre part!
A l'issue de cette période vous profiterez doublement de la musique après cette petite cessation;
Voici un tout petit résumé écrit:
"Depuis la veille au soir du jeune du 17 Tamouz jusqu'au 9 Av, on n'aura pas le droit d'écouter de musique jouée par des instruments. De nombreux décisionnaires incluent dans cette interdiction le chant même sans accompagnement musical. Cependant, si par son chant, une personne souhaite s'encourager et se renforcer dans son service divin, ou épancher son coeur devant D., ce sera permis, bien entendu sans accompagnement musical.
Cet interdit est valable durant toute cette période, et même pendant les heures précédant et suivant Chabat, ainsi que Roch Hodech.
Les professeurs de musique ainsi que leurs élèves devront demander à un Rav la conduite à suivre concernant la poursuite de leurs études durant cette période.
Les repas à l?occasion d'une mitsva, comme une Brit Mila, un Pidyon Haben pourront, d'après de nombreux décisionnaires, être accompagnés par des instruments de musique. Il serait même possible d'y danser. Certains discutent cette permission et interdisent la musique même en ces occasions. Cependant, tous s'accordent à interdire l'accompagnement musical à partir de Roch Hodech Av.
Kol touv!
Chalom Rav!
A t'on le doit de cirer des chaussures pendant h'ol hamoèd si elles se sont salies? Merci de votre réponse.
Si vous pouviez me répondre avant Chabbat cela m'aiderait beaucoup.
Merci beaucoup!
Chalom Ouvrah'a!
C'est interdit de procéder à la lessive pendant h'ol hamoèd!
Pour cette raison de nombreux grands Décisionnaires ont écrit qu'il est interdit de cirer ses chaussures pendant h'ol hamoèd. Telle est l'opinion du H'azon Ich, rapportée par mon Maître le Rav Moché Sternbuh' Chlita (dans son oeuvre Moadim ouzmanim tome 7 chapitre 154), telle est l'opinion du Tsits Eliézèr etc.
Certains autorisent de demander à un non juif de le faire à notre place. D'autres interdisent même cela.
Toutefois, d'autres grands Décisionnaires autorisent de le faire (Chout Hélèk Lévy chapitre 181, etc.).
Ils prétendent que de la même façon qu'il y a des vêtements qu'on autorise à nettoyer pendant h'ol hamoèd vu que ceux sont des vêtements qui ont l'habitude de se salir à une fréquence importante, cf http://www.torahacademy.fr/la-lessive-pendant-h-ol-hamoed, de la même façon les chaussures peuvent êtres nettoyées vu qu'elles appartiennent à cette même catégorie. Effectivement elles sont facilement susceptibles de se salir.
En pratique tel est l'avis du Rav Ovadia Yossef zatsal dans son oeuvre Yabia omèr (tome 1 chapitre 32), et celle du Rav Elyachiv zatsal (rapportée dans le kovèts mévakché torah chapitre 106). Telle est aussi l'opinion du Chmirat Chabbat kéhilhéta (chapitre 66 paragraphe 48).
Précision:Tout ceci est valable lorsqu'on cire avec du cirage. Si on souhaite simplement brosser ses chaussures avec une brosse ou les nettoyer avec un chiffon sec sans se servir de cirage, l'ensemble des Décisionnaires s'accordent à autoriser de le faire.
Moadim lésimh'a!
Chalom Rav!
Peut on avoir une relation conjugale avec sa femme dans la Soukka pendant la fête de Soukkot?
Merci beaucoup!
Chalom Ouvrah'a!
L'opinion du Beth David est d'interdire cela vu qu'il est écrit que dans la Soukka on ne doit pas faire de choses qui peuvent relever du mépris.
Toutefois, de nombreux Décisionnaires tels que le Ben Ich H'aï, le H'afets H'aïm dans le Béour Halah'a au chapitre 638, le Rav Ovadia Yossef zatsal etc. se sont opposés à cette opinion et ont écrit que c'est tout à fait autorisé et recommandé.
En effet,
1- Le comportement qu'on a chez soi pendant toute l'année est celui qu'on doit avoir dans le Soukka pendant Soucot (תשבו כעין תדורו).
2- Le fait d'accomplir une Mitsva de cette dimension (Piria vérivia, et Mitsvat Ona) n'a rien de méprisable, au contraire c'est une Mitsva qui relève de la sainteté.
Je précise juste que ceci est valable uniquement dans le cas où toutes les règles élémentaires de pudeur seront respectées, à savoir que vous avez une Soucca réservée à vous et votre épouse uniquement, qu'elle se trouve à un endroit où personne n'est susceptible de vous voir ou de vous entendre etc.
H'ag Saméah'!
Bonjour,
Le michté de pourim peut il être halavi??
Chalom!
Les décisionnaires (chapitre 695) écrivent qu'il faut manger de la viande durant le Michté de Pourim vu que ce jour a été institué pour être un jour de Yom Tov, or le Yom tov, nous sommes tenus à manger de la viande.
Des propos du Choulh'an Arouh' au chpaitre 696, il ressort aussi explicitement qu'à Pourim il y a une Mitsva de manger de la viande.
D'ailleurs de nombreux décisionnaires écrivent qu'il est bon aussi de faire son Michté sur du pain.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle de nombreux décisionnaires s'accordent à dire qu'il est possible pour une femme dont l'immersion rituelle tombe à l'issue de Pourim de manger de la viande durant le Michté, bien que généralement le jour de l'immersion on s'abstient de consommer de la viande de peur qu'un petit morceaux ne se loge entre les dents.
Mais étant une Mitsva le jour de Pourim de manger de la viande, on l'autorise même dans ce cas, et ensuite on se brosse bien évidemment méticuleusement les dents de sorte à pouvoir se tremper sans problème!
Kol touv!
Bonjour,
J'ai une meguila ecrite sur parchemin mais qui n'a pas de bâton en bois attaché au rouleau. Je voulais savoir si je devais en mettre un, si c'est mieux ou obligatoire ?
merci
Chalom.
Votre question est l'objet d'une controverse entre nos Grands décisionnaires.
D'après les Séfaradim c'est nécessaire de mettre ce bâton, ainsi que l'écrit le Choulh'an Arouh' au chapitre 691 paragraphe 2, simplement à posteriori cela ne rend pas la Méguila impropre.
L'opinion du Rama au chapitre 691 est que la coutume est de ne pas placer de baguette en fin de la Méguila.
Telle était faite la Méguila dans laquelle lisait le Hazon Ich ainsi qu'en témoigne Rav Haim Kanyevsky shlita.
A contrario, l'opinion du Gaon de Vilna est qu'il est très important de placer cette baguette.
Ainsi tranche le Kaf Hahaïm et écrit que telle est l'opinion de la Kabbale.
En pratique, la coutume Achkénaze est partagée alors que la coutume Sépharade est clairement définie!
Kol touv!
Chalom Rav!
J'ai entendu dire en votre nom que dans les Michloah' Manot ce n'était pas forcément nécessaire qu'il y ait des aliments nécessitant deux types de bénédiction différentes. Est ce vrai?
Merci.
Chalom Ouvrah'a!
Effectivement, je suis au courant de la rumeur qui circule dans nos milieux et selon laquelle il faut absolument dans nos Michloh'é manot qu'il y ait deux espèces d'aliments ayant chacun une autre Brah'a.
A chaque fois que durant un cours je désapprouve cette rumeur, les élèves qui y assistent ne manquent de me faire part de leur étonnement.
Pourtant, les décisionnaires ne font aucunement mention de cette rumeur.
Au contraire, au chapitre 695 le Choulh'an Arouh' écrit explicitement qu'il est possible d'offrir deux morceaux de viande. Certains Décisionnaires iront jusqu'à dire que même si ces deux morceaux sont identiques, on s'acquitte de la Mitsva (Roch yossef).
Certains autres décisionnaires disent qu'il s'agit de deux morceaux de viande différents (une cuisse et du foie par exemple).
En tout état de causes, il ressort explicitement de la Halah'a que deux morceaux différents de viande font largement l'affaire bien que la bénédiction est identique.
Béhatslah'a!
Chalom
Les bénédictions d'avant, oui. Celle de la fin, non (Choulh'an Arouh' chapitre 692 paragraphe 1, dans les propos du Rama).
On n'est pas acquitté sans vraie Méguila en bonne et due forme.
Si vous n'avez rien d'autre, il vaut tout-de-même mieux cela que rien. Toutefois sans bénédictions et vous n'êtes pas acquitté (Choulh'an Arouh' chapitre 691 paragraphe 10).
Pourim Saméah'!!
Chalom!
Le Eliahou Rabba au chapitre 691 écrit que c'est à éviter pour deux raisons:
La première est que la Mégila doit être le plus semblable possible au Séfèr Thora. Or pour celui-ci, il est hors de question qu'il soit imagé.
La seconde est que de la même façon que le Choulh'an Arouh' au chapitre 90 écrit que dans les livres de prière il faut éviter que se trouvent des dessins afin de ne pas déconcentrer la personne qui prie, de la même façon dans une Mégila des dessins pourraient déconcentrer la personne qui la lit.
Ceci étant, le Eliahou Rabba lui-même réfute un peu cette seconde preuve en disant qu'il est possible qu'on ne puisse déduire des lois de la Mégila des lois de la prière, vu que durant la prière la concentration requise est sans paire.
En tous cas, en conclusion, il déconseille tout à fait le fait d'écrire une Méguila de cette façon là. Le Michnat sofrim lui aussi tranche de cette façon là.
Kol touv.
Bonjour; Je suis un musicien amateur ...
j'apprécie réelement la musique à un point ou je voudrais en entendre durant la periode des 3 semaines.
Quel est le Din dans ce genre de situation?
Chalom Je vous comprend.
Sachez que la perte du Beth Hamikdach vaut bien ce petit sacrifice de notre part!
A l'issue de cette période vous profiterez doublement de la musique après cette petite cessation;
Voici un tout petit résumé écrit:
"Depuis la veille au soir du jeune du 17 Tamouz jusqu'au 9 Av, on n'aura pas le droit d'écouter de musique jouée par des instruments. De nombreux décisionnaires incluent dans cette interdiction le chant même sans accompagnement musical. Cependant, si par son chant, une personne souhaite s'encourager et se renforcer dans son service divin, ou épancher son coeur devant D., ce sera permis, bien entendu sans accompagnement musical.
Cet interdit est valable durant toute cette période, et même pendant les heures précédant et suivant Chabat, ainsi que Roch Hodech.
Les professeurs de musique ainsi que leurs élèves devront demander à un Rav la conduite à suivre concernant la poursuite de leurs études durant cette période.
Les repas à l?occasion d'une mitsva, comme une Brit Mila, un Pidyon Haben pourront, d'après de nombreux décisionnaires, être accompagnés par des instruments de musique. Il serait même possible d'y danser. Certains discutent cette permission et interdisent la musique même en ces occasions. Cependant, tous s'accordent à interdire l'accompagnement musical à partir de Roch Hodech Av.
Kol touv!
Chalom Ouvrah'a!
L'opinion du Maharcham est que durant les 24 mois qui succèdent un accouchement la femme est exemptée de tous les jeûnes excepté celui de Kippour et celui du 9 Av.
Cette opinion n'a pas tellement été retenue par les grands Décisionnaires. Le Rav Ovadia Zatsal qui a soutenu cette opinion pendant pal mal d'années s'est lui aussi finalement ravisé et a tranché que s'il n'y a pas de raison particulière d'autoriser, la femme se doit de jeûner ces jeûnes si elle n'allaite pas ou qu'elle n'est pas enceinte.
Il est toutefois sûr que dans certains cas, on se sert de cette opinion pour être moins rigoureux.
Concernant le jeûne d'aujourd'hui, ce jeûne étant reporté au Jeudi, le Rav Ovadia Yossef Zatsal a tranché que dans un tel cas (jeûne reporté) on peut se montrer indulgent et autoriser à femme qui se trouve dans ce cas de ne pas jeûner.
Kol touv.
Cher ami,
Par le mot office j'ai cru comprendre que vous parlez de Mynian c'est a dire de réciter la prière avec un quorum de 10 hommes etc. Sinon, corrigez moi.
Concernant les Tefilin vous pouvez les remettre autant de fois que vous le voulez durant la journée et en répétant a chaque fois la braha pour peu que vous ayez détache votre esprit de les remettre tout de suite au moment ou vous les avez enlevés.
Concernant la prière, la Amida (Chmone essré) vous ne pouvez pas la refaire une seconde fois, effectivement bien que l'opinion de Rabbi Yohanan dans la Gemara est que l'on peut prier autant de fois que l'on veut chaque jour, la Halaha n'a pas été tranchée comme lui dans les cas ordinaire, mais tous les psaumes qu'on recite vous pouvez les réitérer ainsi que la Kriat Chema, mais sans les benedictions qui succèdent et précèdent la Kriat Chema!
Barouh Cheamar vous ne pouvez pas refaire.
La raison principale pour laquelle il serait bien de retourner a la synagogue c'est pour pouvoir entendre le Kaddich et la Kedoucha et y répondre ainsi que la lecture de la Thora les jours ou on la lit.
Kol touv et a bientôt!
Chalom Ouvraha!
Comme je vous l'ai indiqué l'autre soir, ceci dépend de beaucoup de paramètres. Je vais m'attarder à présent sur votre cas précis en espérant l'avoir bien compris!
Vous allez vous coucher pour dormir toute la nuit, puis d'un coup vous vous réveillez! Vous souhaitez alors étudier la Torah pendant quelques minutes jusqu'à ce que vous retourniez au lit pour dormir à nouveau profondément jusqu'au matin.
Dès lors que vous vous êtes endormi, ne fût-ce qu'un petit moment, lorsque vous vous réveillez, la première fois, vous devez impérativement réciter les Birkot Hatorah pour pouvoir étudier.
Si ensuite vous allez vous reposer quelques instants mais sans dormir de façon fixe et profonde vous n'avez pas besoin de réciter à nouveau les bénédictions lorsque vous vous réveillerez la seconde fois de ce petit répit.
Dans le cas où ensuite vous allez dormir à nouveau dans l'intention de vous endormir profondément, et que vous vous êtes à nouveau endormi, ne fût-ce qu'un petit moment, au moment où vous vous réveillez, c'est l'objet d'une immense discussion entre nos Maîtres de savoir si vous devez à nouveau réciter une bénédiction ou pas.
L'opinion du H'idda est de ne pas réciter à nouveau la bénédiction, et telle est la conclusion du Pri Mégadim. En revanche l'opinion du H'afets Haïm et du Rav Ovadia Yossef ZAtsal est qu'il faut à nouveau réciter les bénédictions de la Torah.
L'idéal toutefois est, tel que l'écrivent de nombreux Grands Décisionnaires d'avoir l'intention explicite au moment où vous réciter les bénédictions pour la première fois de n'acquitter l'étude que vous étudierez que jusqu'à ce que vous aliiez dormir à nouveau. De cette façon vous pouvez ensuite réciter les bénédictions de la Torah sans problème vu que vous n'avez pas acquitté l'étude d'ensuite par votre bénédiction d'avant ce second sommeil.
Kol touv!
Cher ami,
Par le mot office j'ai cru comprendre que vous parlez de Mynian c'est a dire de réciter la prière avec un quorum de 10 hommes etc. Sinon, corrigez moi.
Concernant les Tefilin vous pouvez les remettre autant de fois que vous le voulez durant la journée et en répétant a chaque fois la braha pour peu que vous ayez détache votre esprit de les remettre tout de suite au moment ou vous les avez enlevés.
Concernant la prière, la Amida (Chmone essré) vous ne pouvez pas la refaire une seconde fois, effectivement bien que l'opinion de Rabbi Yohanan dans la Gemara est que l'on peut prier autant de fois que l'on veut chaque jour, la Halaha n'a pas été tranchée comme lui dans les cas ordinaire, mais tous les psaumes qu'on recite vous pouvez les réitérer ainsi que la Kriat Chema, mais sans les benedictions qui succèdent et précèdent la Kriat Chema!
Barouh Cheamar vous ne pouvez pas refaire.
La raison principale pour laquelle il serait bien de retourner a la synagogue c'est pour pouvoir entendre le Kaddich et la Kedoucha et y répondre ainsi que la lecture de la Thora les jours ou on la lit.
Kol touv et a bientôt!
Bonjour Une femme qui vit avec un non juif peut elle (ou doit ??) mettre une Mezouza ?
Merci beaucoup
Chalom Ouvrah'a!
Le fait que cette femme ne soit pas en phase avec certaines lois cela ne la dispense en rien des autres lois de la Thora.
Elle a l'obligation de placer une Mézouza si elle sait que le non-juif qui partage avec elle cette habitation n'en viendra pas à avoir un comportement désobligeant vis-à-vis de ces Mézouzot. Cependant vu que l'appartement appartient aux deux, c'est l'objet d'une controverse entre nos Maîtres (Choulh'an Arouh' chapitre 286 le Rama dispense et le Beth Yossef oblige).
Le conseil de Rav Yaakov Bloy zatsal, dans son livre H'ovat Hadar est de placer une Mézouza sans réciter de Béraha, évidemment dans le cas où il n'en viendra pas à la mépriser.
Si elle craint cette chose-là, il faudra penser à d'autres conseils pour y remédier. Si vous avez de l'influence sur cette personne, faites tout ce que vous pouvez pour lui faire éviter ces relations interdites.
Kol touv et Béhatslaha !
Bonsoir Rav!
La mezouza de mon salon est tombée.
Elle est neuve, on l'a achetée il y a moins d' 1 an et elle a été vérifiée il y a 6 mois.
Ce sont des mezouzot admour hazaken.
-Doit-on la faire vérifier avant de la remettre?
-La remettre avec ou sans braha!?
Si vous pouviez me répondre aussi en accord avec le choukhann aroukh de l'admour hazaken svp.
Merci
Chalom,
Il n'est pas nécessaire de les faire revérifier.
Si vous voulez, vous pouvez le faire.
Vous pouvez aussi attendre le mois de Elloul où il y a une coutume de faire vérifier toutes ses mezouzots.
Concernant l'obligation de la refixer, essayez de le faire au plus vite, c'est-à-dire dès que vous recevez ce message.
Concernant la bénédiction, l'opinion de nombreux décisionnaires est qu'il faut réciter la bénédiction. Rav Ovadia zatsal tranche que non, en vertu du principe que dès lors qu'il existe une controverse entre nos maîtres quant à la récitation d'une Braha, il vaut mieux s'en abstenir complètement.
Mon maître le Rav Chternbuh' Chlita dans son oeuvre Techouvot Veanhagot tome 2 écrit explicitement que dans un tel cas on doit refaire la Braha.
Puisque vous faites tout comme l'opinion du Choulhan Arouh' Harav, il me semble que vous pouvez réciter la bénédiction vu qu'il tranche lui même concernant le Talith qui serait tombé du corps de l'homme pendant la prière à son insu qu'il doit réitérer la bénédiction au moment où il le remet!
Kol touv et bessorot tovot!!
Chalom Rav!
Peut on avoir une relation conjugale avec sa femme dans la Soukka pendant la fête de Soukkot?
Merci beaucoup!
Chalom Ouvrah'a!
L'opinion du Beth David est d'interdire cela vu qu'il est écrit que dans la Soukka on ne doit pas faire de choses qui peuvent relever du mépris.
Toutefois, de nombreux Décisionnaires tels que le Ben Ich H'aï, le H'afets H'aïm dans le Béour Halah'a au chapitre 638, le Rav Ovadia Yossef zatsal etc. se sont opposés à cette opinion et ont écrit que c'est tout à fait autorisé et recommandé.
En effet,
1- Le comportement qu'on a chez soi pendant toute l'année est celui qu'on doit avoir dans le Soukka pendant Soucot (תשבו כעין תדורו).
2- Le fait d'accomplir une Mitsva de cette dimension (Piria vérivia, et Mitsvat Ona) n'a rien de méprisable, au contraire c'est une Mitsva qui relève de la sainteté.
Je précise juste que ceci est valable uniquement dans le cas où toutes les règles élémentaires de pudeur seront respectées, à savoir que vous avez une Soucca réservée à vous et votre épouse uniquement, qu'elle se trouve à un endroit où personne n'est susceptible de vous voir ou de vous entendre etc.
H'ag Saméah'!