Bonjour Rav,
Que pensez-vous de ces possibilités de solliciter le goy le shabat
1-Nous avons oublier de brancher la prise de la plaque, le faire est une melakha deorayta, donc impossible à demander au goy en dehors d'un contexte de malade ou besoin du tsibour. Pour transformer la melakha en derabanane, nous lui demandons (beremez) de brancher la prise dans une minuterie qui s'enclenchera un peu plus tard, il ne fait donc que grama, et nous sommes alors dans un cadre de chvout dechvout bimkom mitsva (seoudat shabat), est ce que cela marcherait svp ?
2-Les plombs ont sauté dans la maison pendant chabat, nous demandons au goy (beremez), de remonter le disjoncteur sur le tableau éléctrique, cette action serait derabanane, si l'on considère comme la majorité des poskim que un courant électrique est derabanane (sauf le hazon ish), le rétablissement de ce courant électrique va permettre le retour de l'electricité dans la plaque (dont le melakha est a priori deorayta mais ici est un pisk reshe ) , est-ce autorisé ?
Merci
Bonjour Rav,
Chalom Ouvrah'a!
Que pensez-vous de ces possibilités de solliciter le goy le shabat
1-Nous avons oublier de brancher la prise de la plaque, le faire est une melakha deorayta, donc impossible à demander au goy en dehors d'un contexte de malade ou besoin du tsibour.
Pour transformer la melakha en derabanane, nous lui demandons (beremez) de brancher la prise dans une minuterie qui s'enclenchera un peu plus tard, il ne fait donc que grama, et nous sommes alors dans un cadre de chvout dechvout bimkom mitsva (seoudat shabat), est ce que cela marcherait svp ?
Ce que vous dites est vrai si on considère l'électricité comme étant Dérabanan. Sinon le simple fait de brancher la minuterie est déjà Déoraïta.
Mais vous pourrez alors lui demander de faire un Chinouy et d'après certains cela aussi transforme cela en travail Dérabanan.
2-Les plombs ont sauté dans la maison pendant chabat, nous demandons au goy (beremez), de remonter le disjoncteur sur le tableau éléctrique, cette action serait derabanane, si l'on considère comme la majorité des poskim que un courant électrique est derabanane (sauf le hazon ish), le rétablissement de ce courant électrique va permettre le retour de l'electricité dans la plaque (dont le melakha est a priori deorayta mais ici est un pisk reshe ) , est-ce autorisé ?
Je ne suis pas sûr que la Kavana du non juif lorsqu'il remet le courant n'est pas aussi de rebrancher la platta et tout le reste pour que l'on puisse considérer cela comme étant Davar Chééno Mitkaven et Psik Récha.
Lorsqu'il remet le courant son intention est de rallumer tout ce qui était déjà allumé auparavant.
Lui demander Bérémez ne pose aucun problème même s'il s'agit d'une Mélah'a déoraïta, le problème est de profiter de ce qu'il a fait.
Pour comprendre la nuance veuillez svp écouter ces deux cours:
http://www.torahacademy.fr/amira-leakoum1
Merci
Kol touv!
Bonjour Rav,
Que pensez-vous de ces possibilités de solliciter le goy le shabat
1-Nous avons oublier de brancher la prise de la plaque, le faire est une melakha deorayta, donc impossible à demander au goy en dehors d'un contexte de malade ou besoin du tsibour. Pour transformer la melakha en derabanane, nous lui demandons (beremez) de brancher la prise dans une minuterie qui s'enclenchera un peu plus tard, il ne fait donc que grama, et nous sommes alors dans un cadre de chvout dechvout bimkom mitsva (seoudat shabat), est ce que cela marcherait svp ?
2-Les plombs ont sauté dans la maison pendant chabat, nous demandons au goy (beremez), de remonter le disjoncteur sur le tableau éléctrique, cette action serait derabanane, si l'on considère comme la majorité des poskim que un courant électrique est derabanane (sauf le hazon ish), le rétablissement de ce courant électrique va permettre le retour de l'electricité dans la plaque (dont le melakha est a priori deorayta mais ici est un pisk reshe ) , est-ce autorisé ?
Merci
Bonjour Rav,
Chalom Ouvrah'a!
Que pensez-vous de ces possibilités de solliciter le goy le shabat
1-Nous avons oublier de brancher la prise de la plaque, le faire est une melakha deorayta, donc impossible à demander au goy en dehors d'un contexte de malade ou besoin du tsibour.
Pour transformer la melakha en derabanane, nous lui demandons (beremez) de brancher la prise dans une minuterie qui s'enclenchera un peu plus tard, il ne fait donc que grama, et nous sommes alors dans un cadre de chvout dechvout bimkom mitsva (seoudat shabat), est ce que cela marcherait svp ?
Ce que vous dites est vrai si on considère l'électricité comme étant Dérabanan. Sinon le simple fait de brancher la minuterie est déjà Déoraïta.
Mais vous pourrez alors lui demander de faire un Chinouy et d'après certains cela aussi transforme cela en travail Dérabanan.
2-Les plombs ont sauté dans la maison pendant chabat, nous demandons au goy (beremez), de remonter le disjoncteur sur le tableau éléctrique, cette action serait derabanane, si l'on considère comme la majorité des poskim que un courant électrique est derabanane (sauf le hazon ish), le rétablissement de ce courant électrique va permettre le retour de l'electricité dans la plaque (dont le melakha est a priori deorayta mais ici est un pisk reshe ) , est-ce autorisé ?
Je ne suis pas sûr que la Kavana du non juif lorsqu'il remet le courant n'est pas aussi de rebrancher la platta et tout le reste pour que l'on puisse considérer cela comme étant Davar Chééno Mitkaven et Psik Récha.
Lorsqu'il remet le courant son intention est de rallumer tout ce qui était déjà allumé auparavant.
Lui demander Bérémez ne pose aucun problème même s'il s'agit d'une Mélah'a déoraïta, le problème est de profiter de ce qu'il a fait.
Pour comprendre la nuance veuillez svp écouter ces deux cours:
http://www.torahacademy.fr/amira-leakoum1
Merci
Kol touv!
Bonjour Rav, Auriez-vous les coordonnees d'un rav a qui montrer les ktamim, sefaradi, sur la region de Bnei Brak svp ?
Merci
Chalom Ouvrakha!
Vous pouvez vous adresser au Rav Dreyfus Chlita.
Au sujet des couleurs cela ne change rien s'il est séfarade ou Ashkénaze. Le Rav Eliahou Dreyfus suit le Psak du Rav Wozner et c'est le Psak que la plupart des Moré Horaa aujourd'hui en Israël suivent qu'ils soient Séfarades ou Ashkénazes.
Ses coordonnées: 0527616506
Kol touv!
Bonjour Rav, Auriez-vous les coordonnees d'un rav a qui montrer les ktamim, sefaradi, sur la region de Bnei Brak svp ?
Merci
Chalom Ouvrakha!
Vous pouvez vous adresser au Rav Dreyfus Chlita.
Au sujet des couleurs cela ne change rien s'il est séfarade ou Ashkénaze. Le Rav Eliahou Dreyfus suit le Psak du Rav Wozner et c'est le Psak que la plupart des Moré Horaa aujourd'hui en Israël suivent qu'ils soient Séfarades ou Ashkénazes.
Ses coordonnées: 0527616506
Kol touv!
Bonjour Rav,
J'ai lu que le Arizal dit qu'il est très bien de sortir le premier sefer tora de kol nidrei.
J'ai une petite question, s'agit-il d'acheter la petihat haheikhal afin de sortir le premier sefer et de le donner à celui qui a acheté le port du sefer tora, ou s'agit-il d'acheter le port du sefer tora (auquel cas on le sort pas soi meme et du coup je ne vois pas très bien comment on réalise ce que la arizal dit)
Je suis un peu surpris car la plupart des fois les enchères montent plus pour le port du premier sefer que pour l'ouverture du heikhal alors que finalement si je comprends bien c'est celui qui achète l'ouverture du heikhal et donc qui sort le sefer du heikhal et le transmet qui réalise la segoula du arizal ?
Merci
Chalom!
L'accent est mis sur le faire de tenir le Sefer Torah dans ses bras au moment de Kol Nidré.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav,
Pourriez-vous expliquer comment procéder à malkout avant yom kippour et si une femme peut le faire à son mari et vice versa
Y'a t-il d'autres choses à faire pour enlever les souffrances de karet (j'ai lu que selon beaucoup de décisionnaires meme une teshouva totale n'empechera pas les yissourim)
Merci chabat chalom
Chalom Ouvrakha !
Le Choul'han Aroukh (chap. 607 § 6) stipule " toute la communauté se fait frapper les coups de Malkout après l'office de Min'ha (la veille de yom Kippour), car grâce à cela, il va en venir à se repentir des fautes qu'il a commises ".
Le Michna Béroura précise (§ 18) que ce n'est pas que l'on considère que tout un chacun est passible de cette peine, puisque cette peine ne concerne que certains cas très précis et que certaines conditions particulières et il faut un Beth Din etc., simplement on le fait pour faire Téchouva comme le Choul'han Aroukh l'indique.
Le Rama ajoute (ibid.) : " et nous avons la coutume que celui qui essuie les coups récite des supplications au moment où on le frappe, et celui qui donne les coups dit trois fois la phrase " Véhou Ra'houm Yékhapér Avon etc." , ce qui correspond à 39 mots comme les 39 coups. Nous avons l'habitude de donner des coups avec une petite corde (qui ne fait pas trop mal) puisque ce n'est qu'un rappel symbolique à la peine de Malkout. Celui qui reçoit les coups ne doit ni être debout ni être assis mais être incliné sa face vers le nord et son arrière vers le sud. (le nord est la symbolique de l'argent, ainsi que le verset l'affirme et l'on s'incline dans cette direction pour bien montrer que nous sommes conscients qu'une grande partie de nos fautes provient de l'argent justement.
Je précise que certains Kabbalistes ne sont pas pour ces Malkout la veille de Yom Kippour dès lors que ce jour est semblable à un jour de Yom Tov. (Kaf Ha'haïm § 40 au nom du Yafé Lalév).
Le Ari zal stipule de donner 4 coups ni plus ni moins (le chiffre 4 faisant référence aux quatre lettres du nom de D.).
En ce qui est de la façon d'éviter les épreuves sensées s'abattre qu'à D. ne plaise à cause des fautes de Careth ou des morts sensées être données par le Beth din etc. le Rabbénou Yona (Chaar 4 § 11) donne des conseils. Il s'agit d'accomplir les Mitsvots qui protègent des épreuves :
Béhatsla'ha !
Kol touv !
Bonjour Rav,
Nous poserons sdv la hanoukiya cette année sur la table de la salle à manger qui est près de la fenetre.
Durant le chabat comment faire pour manger à cette meme table si la hanoukiya est mouktse et que l'on souhaite la déplacer, quelles sont les solutions pour enlever la hanoukiya puisque l'on ne souhaite pas qu'elle reste à table (fragile et genant) lehatkhila : chinouye, mettre des halot sur le plateau qui la supporte etc ?
Merci
Chalom !
Le conseil est le même que celui que l'on donne au sujet des bougies de Chabbat, c'est à dire poser la 'Hannoucia sur un plateau, et placer sur ce plateau une bague de valeur.
Une fois que les bougies se sont éteintes, il vous sera possible de déplacer ce plateau avec la 'Hannoucia éteinte.
Si vous êtes Séfarade, vous pouvez avant l'entrée de Chabbat poser la condition que vous souhaitez pourvoir déplacer la 'Hannoucia une fois qu'elle se sera éteinte, et dans ce cas, selon le Choul'han roukh ceci ets autorisé. Le Rama s'oppose à cette option.
Pour mieux comprendre cela cf. Choul'han Aroukh (chap. 279. Consultez les écrits des A'haronim et vous comprendrez que le premier conseil que j'ai donné ne contredit pas l'opinion du Choul'han Aroukh).
Kol touv !
'Hannoucca Saméa'h !
Bonjour Rav,
J'ai lu que le Arizal dit qu'il est très bien de sortir le premier sefer tora de kol nidrei.
J'ai une petite question, s'agit-il d'acheter la petihat haheikhal afin de sortir le premier sefer et de le donner à celui qui a acheté le port du sefer tora, ou s'agit-il d'acheter le port du sefer tora (auquel cas on le sort pas soi meme et du coup je ne vois pas très bien comment on réalise ce que la arizal dit)
Je suis un peu surpris car la plupart des fois les enchères montent plus pour le port du premier sefer que pour l'ouverture du heikhal alors que finalement si je comprends bien c'est celui qui achète l'ouverture du heikhal et donc qui sort le sefer du heikhal et le transmet qui réalise la segoula du arizal ?
Merci
Chalom!
L'accent est mis sur le faire de tenir le Sefer Torah dans ses bras au moment de Kol Nidré.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav,
lorsque 3 personnes ont mangé à la meme table, le yalkout écrit que deux peuvent forcer le troisième à répondre au zimoun, j'aimerais savoir si dans ce cas, après avoir répondu au zimoun il peut continuer son repas ou bien il doit faire le birkat et pour ainsi dire, on l'a obligé à cesser son repas ?
Merci
Chalom Ouvrah'a!
Non, il peut continuer son repas sans aucun problème, simplement il doit s'interrompre pour répondre au Zimoun; puis continuer son repas (sans réciter à nouveau la Brah'a sur ce qu'il va manger) et après avoir terminé son repas, il récitera le Birkat Hamazon.
(Choulh'an Arouh' chapitre 200 paragraphe 2).
Je vous le cite de suite:
שו"ע: אינו צריך להפסיק אלא עד שיאמר ברוך שאכלנו משלו וכו' וחוזר וגומר סעודתו בלא ברכה בתחלה
הגה: ויש אומרים שצריך להפסיק עד שיאמר הזן את הכל וכן נוהגין (הרא''ש ותוספות והר''י בשם בה''ג והטור). ואם היה דעתו לחזור ולאכול פת אף על פי שלא אכל אחר כן כשרוצה לברך מברך מתחלה ברכת הזן וכל שכן אם חזר ואכל (הר''י
פרק שלשה שאכלו
J'ai lu dans le yalkout yossef qu'on peut si besoin tremper ses mains dans la mer, et faire la berakha de netilat yadayim, en revanche si il ne peut les tremper mais juste hisser un seau d'eau de mer, il fera netilat avec cette eau de mer mais sans berakha, pouvez-vous m'expliquer pourquoi ?`
Chalom!
Il y a dans les lois de la Nétilat yadaïm deux parties.
La première concerne le fait de se laver les mains avec ustensile ce qui s'appelle la Nétilat Yadaïm. Pour cette Nétila il y des lois très précises, et entre autre loi, il faut que l'eau dont on se sert puisse être consommée par un animal, or celle de la mer ne l'est pas.
C'est pourquoi on en procède pas à celle-ci avec cette eau.
Il y a une autre possibilité c'est de procéder à Tévilat Yadaïm un peu comme lorsqu'on se trempe dans un Mikvé. Pour se faire on peut y procéder même dans une eau qui n'est pas consommable par un animal de la même façon que pour se tremper dans un Mikvé on n'exige pas que l'eau soit apte à la consommation d'un animal, et on peut se tremper dans l'eau de mer.
L'opinion du Choulh'an Arouh' (fin du chapitre 159) est que lorsqu'on procède à celle-ci dans la mer on récite tout de même la bénédiction de Al Nétilat Yadaïm et telle est la coutume séfarade ainsi que l'écrit le Caf Hah'aïm. L'opinion du Rama est que dans un tel cas on récite la bénédiction de "Al Tévilat Yadaïm".
Kol touv!
Bonjour, J'aurais quelques questions concernant les berakhotes svp:
1-si je mange un sandwich mezonot, dois je le peser vide, ou plutot après l'avoir farci de thon ou autre pour determiner si je suis hayav de motsi ?
2- Dans le cas ou on mange un shiour de mezonotes supérieur à 230 grammes , le yalkout yossef écrit que si on veut faire la berakha de netilat , on a sur qui s'appuyer, j'en déduis que pour éviter tout doute, il vaut mieux ne pas faire cette berakha sur netilat ?
Merci bcp
Kol touv
Chalom Ouvrah'a!
1- D'après l'opinion Séfarade on pèse uniquement le pain et s'il arrive à un poids de 216 grammes environ on récite Hamotsi, sinon non.
D'après l'opinion Achkénaze les principes sont nettement différents vu que selon eux, ce n'est pas le poids qui détermine mais la Kviout Séouda; or dans un repas ce qui nourrit ce n'est pas uniquement le pain mais c'est aussi le thon etc.
2- Je sais que telle est l'opinion du Yalkout Yossef. Mais c'est un H'iddouch et la plupart des décisionnaires ont écrit que dans un tels cas on procède à une Nétilat Yadaïm en bonne et due forme c'est à dire avec bénédiction.
Kol touv!
Bonjour Rav, le yalkout précise le nossah en demandant de ne pas dire "al hakalkala" mais seulement al hamikhya pour la berakha finale, cependant il ne m'est jamais arrivé d'entendre un rav finir comme cela sa berakha, pouvez-vous me conseiller ?
Merci
Chalom Ouvrah'a!
Ce n'est pas uniquement le Yalkout Yossef, telle est aussi l'opinion de la grande majorité des décisionnaires dont le Choulh'an Arouh' chapitre 208.
Telle est aussi l'opinion du Michna Béroura etc.
Personnellement je conclut cette Brah'a en disant "Al Haarets Véal Hamih'ia".
En ce qui est des Rabbanim qui ne font pas ainsi visiblement telle est leur coutume. Au fond ce n'est pas une Avéra de faire différemment.
L'idéal est de faire comme je vous ai dit sauf si on a une coutume inverse bien fondée.
Kol touv!
Bonjour Rav, le yalkout précise qu'on peut faire la berkha mine bessamim meme sur du parfum, j'avais cru comprendre l'inverse du mishna beroura, qu'en est-il svp ?
Merci
Chalom!
Veuillez lire la réponse suivante: http://www.torahacademy.fr/benediction-lorsque-l-on-met-un-parfum
Kol touv!
Bonjour Rav,
Le yalkout écrit que si on mange des fruits ou légumes qui poussent en "eau" et pas en "terre", on fait shehakol, comment fait-on boré peri haadama sur le karpass (et au passage le maror) alors que la plupart achètent aujourd'hui des pousses en "eau" pour s'acquitter de cette mitsva ?
Merci
Chalom Ouvrah'a!
Vous avez raison que l'opinion du Rav Ovadia Yossef est que sur ce genre de légumes ou fruits on récite la Brah'a de Chéhakol.
Il précise (dabs Chout Yéh'avé Daat) tout de même deux points importants:
L'opinion du Rav Vozner zatsal est que sur ce genre de fruits ou légumes on récite la bénédiction de Boré Péri Haadama.
Du coup, il faut bien vérifier d'où proviennent les plants du Maror et du Karpass et selon cela agir selon le Rav que l'on suit.
Kol touv!
Bonjour Rav,
-le yalkout précise que l'on fait hagomel pour toute maladie des yeux accompagnée de larmoiement ou pus, donc on ferait hagomel après une conjonctivite ?
-pour tout voyage de 72 minutes on doit faire hagomel et tefilat haderekh, donc quelqu'un qui ferait tous les jours tel aviv-ashdod ( ce qui en cumulant matin et soir fait 72 minutes) devra faire chaque shabat le gomel ?
Merci
Chalom Ouvrah'a!
- Si effectivement la conjonctivite est accompagnée de larmoiement elle fait partie des maladies qui selon la Torah présentent un véritable danger (Cf Gemara Avoda Zara page 28 et Choulh'an Arouh' chapitre 328) et il faut donc réciter cette Brah'a lorsqu'on en guérit ainsi que l'écrit le H'afets H'aïm au chapitre 219, et ce , même selon les Achkénazes.
- Effectivement. Cf aussi http://www.torahacademy.fr/birkat-hagomel-pour-un-voyage-entre-villes
et http://www.torahacademy.fr/birkat-hagomel_2
et http://www.torahacademy.fr/birkat-hagomel
Kol touv!
Bonjour Rav,
La derniere fois que j'ai pris l'avion nous avons embarque de nuit, le decollage etait a 6h et le nets a 6h44 et je pensais donc attendre pour prier pour arriver au nets a la amida (et au moins compenser la non priere betsibour par une priere au nets).
Au bout de 3 minutes apres le decollage donc vers 6h03, nous etions deja en altitude elevee, et le soleil brillait completement et etait parfaitement visible alors que il faisait nuit au sol Fallait il prier de suite puisque la metsiout etait que le soleil etait parfaitement visible ou attendre l'heure du nets qui correspond a ce qui se passe au sol ? Ce cas va se representer pour moi sdv dans les jours qui viennent et j'aimerais savoir a l'avance votre reponse svp
Merci
Chalom Ouvrakha !
La Rav Oyerbakh s'est interrogé à ce sujet (Cf. Maadané Chlomo page 21) et il tend vers le sens que tout dépend de là où se trouve l'avion.
Cf. aussi Avné 'Hen chap. 27 (Rav Zilberchtein) qui rapporte différentes opinions à ce sujet, et que selon Rav Issar Zalman et Rav Wozner zatsal on se fie à ce qui se passe au sol parce que ce n'est pas concevable qu'en bas il ne soit pas encore Chabbat et que en haut, oui. Telle est aussi l'opinion du Rav Nissim Karlits Chlita ('Hout Chani Yom Tov et 'Hol Hamoed page 328).
Kol touv !
Bonjour Rav,
1-Si on ne peut choisir qu'entre ces deux options ; prier au nets sans selihot, ou prier selihot puis chahrit (Chahrit donc apres le nets), laquelle choisir ?
2-Je suis dans un office de selihot a 6h20 et le minyan qui suit est a 7h10 ce qui fait trop tard pour mon travail. Un autre minyan commence a 6.50 dans le meme batiment (hodou) ; est il possible de mettre le talit et les tefilines avant/pendant les selihot, s'avancer sur les korbanot si possible puis quitter les selihot apres le dernier VAYAAVOR pour aller recuperer le minyan qui se trouve alors dans les psoukei dezimra ?
Merci
Chalom!
1- Je pense que le Nets passe avant si vous faites toujours attention au Nets. Sinon l'autre solution.
2- Oui c'est autorisé.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav,
Une femme sefarade qui fait chahrit mais ne dispose pas de beaucoup de temps, peut-elle faire : Les birkot hashakhar + le shéma (sans faire le yotser) de shéma à Emet (sans faire véyatsiv etc et donc sans la berakha gaal israel), puis la amida et c'est tout ?
Est-il préférable de ne pas sauter emet veyatsiv et gaal israel (est-ce possible de faire cela sans avoir commencé du yotser ...) ?
Merci et Pourim Sameah
Chalom!
Si elle n'a pas le temps que fasse comme vous l'indiquez! C'est tout à fait valable.
Béhatsla'ha!
Bonjour Rav,
Si j'ai touche une somme en 2015, puis les ai mis de cote immediatement, et je souhaite aujourd'hui en donner le maasser, et qu'entre temps j'ai fait mon alya, donc que ce maasser je souhaite le donner en shekels, dois je le donner au taux de change du jour ou j'ai recu l'argent sur mon compte en banque en 2015 ou bien au taux de change du jour ou je fais le don ?
J'aimerais la reference halakhique si vous avez reponse a ma question svp merci bcp
Chalom Ouvrah'a!
Par rapport au taux d'aujourd'hui, je n'ai pas de référence immédiate à vous donner mais cela me semble être évident, vu que vous pourriez très bien donner cette somme au jour d'aujourd'hui en euros.
Vous avez le devoir de donner cette somme d'euros. Si le cours abaissé ce n'est pas votre problème, de même s'il a augmenté.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav,
L'appartement que je possede etait jusqu'a present loue a 5000 shekels a des locataires qui sont partis.
Je connais une famille, dont le papa est avrekh, et qui vivent dans un tres petit appartement malgre qu'ils soient une famille nombreuse.
Je me demandais si par exemple je leur propose de leur louer l'appartement a 4000 shekels, au lieu de 5000, cela sera t-il valable pour compter ces 1000 comme du MAASSER ?
Merci
Chalom !
Oui, vous pouvez le faire à condition que vous puissiez évidemment si vous le souhaitiez trouver un autre locataire pour 5000 shekel.
Dans ce cas vous ne louez pas à cette personne à 4000 par facilité mais vraiment pour les aider et c'est une Mitsva parfaite, s'ils ont effectivement besoin d'argent ce qui me semble être le cas selon votre description.
Kol touv !
Bonjour,
Evoluant dans le milieu haredi depuis notre alya , il y'a de cela quelques années, j'aimerais votre avis sur la situation que je décris et que vous connaissez. Mes enfants sont encore en bas age, mais je me pose des questions pour plus tard sdv Ce que je constate dans le milieu haredi, est qu'un enfant qui fait des études est souvent considéré comme raté. Pour ma part je ne pense pas, nos textes font référence au fait qu'un père doit apprendre un métier à son fils, que la baal bayit est parfois préférable au torato oumanouto et notre histoire montre que meme aux périodes les plus sombres les tanaim ou amoraim ou rishonim n'ont jamais dit que la solution soit que tout le monde rentre au collel à durée indeterminée. Un proche du rav Steinamn disait il y'a quelques années que la horaa du hazon ish de torato oumanouto pour tout le monde, était horaat shaa, le temps de reconstruire le monde de la tora d'après guerre et qu'aujourd'hui la question de perpetuer cette politique doit se poser; Il ne me semble pas que le "tout collel" soit recommandé par les gdolim sefarades (rav Mazouz etc) J'entends également, au sujet des filles, qu'une fille qui aurait un diplome reconnu d'une institution universitaire religieuse (séparation fille - garcons), mais non tamponnée haredite, n'est pas recevable dans le monde haredi alors qu'une fille qui a un diplome non reconnu mais d'une institution haredite est recevable, bref j'avoue que je me perds un peu dans tout cela. Je pense que je souhaite que mes garçons travaillent au moins partiellement à l'age adulte, et que mes filles aient un vrai diplome, cependant je ne connais pas d'écoles ou institutions qui permettent ce cursus pour des enfants dont les parents souhaitent un cadre orthodoxe. Dans tout cela , les séfarades vont dans les yeshivot ahskenazes parceque le chidouh (avec une sefaradite...) sera meilleur s'il sort d"une yeshiva ashkénaze; Les enfants comptent sur leurs parents pour payer leur appartement tout ou partie etc... Les gdolei hador ashkenazes semblent proner le collel pour tous, les sefarades un peu moins si je comprends bien, et j'aimerais en fait avoir votre avis sur la question et sur les éventuelles institutions que vous connaissez, qui vont dans le sens que j'ai décris, orthodoxe + diplome reconnu, et votre avis sur les points évoqués Je pense que cette question est un peu celle de tous les francais qui intègrent (souvent au prix de concessions importantes) le milieu orthodoxe en Israel. Merci beaucoup Chabat chalom
Bonjour,
Chalom Ouvrakha !
Evoluant dans le milieu haredi depuis notre alya , il y'a de cela quelques années, j'aimerais votre avis sur la situation que je décris et que vous connaissez.
Mes enfants sont encore en bas age, mais je me pose des questions pour plus tard sdv
Ce que je constate dans le milieu haredi, est qu'un enfant qui fait des études est souvent considéré comme raté.
Je ne pense pas que parce qu'il fait des études il est considéré comme raté. C'est plutôt l'inverse. Aux yeux de 'Harédi moyen, ce n'est qu'un raté qui au lieu de s'adonner à fond à l'étude de la Torah, va s'adonner à d'autres études.
Pour ma part je ne pense pas
Je comprend tout à fait que vous puissiez être en désaccord c'est votre droit.
Mais puisque vous souhaitez mon avis, je vais tenter de vous le donner.
nos textes font référence au fait qu'un père doit apprendre un métier à son fils,
Le but du métier est que l'enfant puisse ensuite se débrouiller au niveau de la Parnassa. Or, une personne qui s'adonne à fond dans l'étude de la Torah, nos Maîtres nous donnent la certitude que cette personne D. l'aidera à obtenir son pain et qu'elle ne manquera de rien.
que la baal bayit est parfois préférable au torato oumanouto
J'aimerai bien une référence à cette phrase, parce que je n'en connais pas une seule.
et notre histoire montre que meme aux périodes les plus sombres les tanaim ou amoraim ou rishonim n'ont jamais dit que la solution soit que tout le monde rentre au collel à durée indeterminée.
A ces périodes là non, mais les grands de la génération passée l'ont affirmé. C'est eux que nous devons écouter plus que les Tanaïm puisqu'ils ne vivent plus à notre époque.
Un proche du rav Steinamn disait il y'a quelques années que la horaa du hazon ish de torato oumanouto pour tout le monde, était horaat shaa, le temps de reconstruire le monde de la tora d'après guerre et qu'aujourd'hui la question de perpetuer cette politique doit se poser;
Sauf preuve du contraire, le Rav Steinman Chlita recommande lui même à tous les étudiants en Yéchiva capables d'étudier de s'adonner à fond à l'étude. Il passe son temps à le dire et le redire. Donc je ne sais pas exactement ce que ce proche à voulu dire.
Il ne me semble pas que le "tout collel" soit recommandé par les gdolim sefarades (rav Mazouz etc)
Si les Gdolim Séfarades c'est Rav Mazouz Chlita, je ne connais pas sa politique à ce sujet, mais je crois pas du tout qu'il s'oppose à cela.
Si vous acceptez de rentrer dans l'équipe des Gdolim Séfarades, le Rav Ovadia Yossef zatsal, le Rav Ben Tsion Abba Chaoul zatsal, le Rav Chalom Cohen, le Rav Moché Tsadka, le Rav Baadani etc. il est évident qu'ils sont pour le Collel à plein temps.
J'entends également, au sujet des filles, qu'une fille qui aurait un diplome reconnu d'une institution universitaire religieuse (séparation fille - garcons), mais non tamponnée haredite, n'est pas recevable dans le monde haredi alors qu'une fille qui a un diplome non reconnu mais d'une institution haredite est recevable, bref j'avoue que je me perds un peu dans tout cela.
Le problème de toutes ces Midrachot et Mikhlalot même dites 'Harédiot, c'est que les filles s'abîment souvent là bas. On elur autorise souvent de s'habiller comme elles le souhaitent, d'avoir un téléphone avec Internet et faire ce qu'elles veulent etc. et du coup, la réalité est que ces filles s'abîment.
C'est pourquoi les Gdolim sont contre ces Michlalot même 'Harédiot.
Je pense que je souhaite que mes garçons travaillent au moins partiellement à l'age adulte,
Je comprend votre position. Mais je suis certain que si vous saviez l'importance de l'étude de la Torah, le mérite que c'est d'être un Tamid 'Hakham, le mérite de chaque mot de Torah étudié etc. votre souhait serait complètement différent.
Vous imploreriez D. dans chacune de vos téfilot qu'il vous donne le mérite d'avoir un fils Talmid 'Hakhaml et d'avoir des gendres Tamidé 'Hakhamim.
Pourquoi souhaiter pour vos enfants du " a posteriori ". Souhaitez plutôt qu'ils soient des Talmidé 'Hakhamim, et qu'ils soient heuerx et fiers de l'être et qu'ils aient leur Parnassa sans avoir besoin de passer des heures à travailler, à entrer dans les dangers inhérents au monde du travail (garçons-filles, aspiration à amonceler de l'argent etc. etc.).
et que mes filles aient un vrai diplome,
Béézrat Hachem !
cependant je ne connais pas d'écoles ou institutions qui permettent ce cursus pour des enfants dont les parents souhaitent un cadre orthodoxe.
Si il y en a. Makon Daat, tout type de Mikhlalot 'Harédiot. Ce n'est peut être pas conseillé par tous les Gdolim, mais c'est toujours mieux que d'autres institutions.
Dans tout cela , les séfarades vont dans les yeshivot ahskenazes parceque le chidouh (avec une sefaradite...) sera meilleur s'il sort d"une yeshiva ashkénaze;
Ce n'est pas vrai. Ils vont (pour ceux qui y vont) parce que le niveau est souvent meilleur.
Les enfants comptent sur leurs parents pour payer leur appartement tout ou partie etc...
C'est souvent vrai. Et c'est souvent avec plaisir et conviction que les parents acceptent.
Dans beaucoup de cas c'est faux et les enfants se débrouillent à peu près " tous seuls "; je veux dire avec l'aide de D.
Les gdolei hador ashkenazes semblent proner le collel pour tous,
Non pas pour tous, mais pour tous ceux qui souhaitent s'adonner à fond dans l'étude de la Torah.
les sefarades un peu moins si je comprends bien,
Je ne pense pas du tout !
et j'aimerais en fait avoir votre avis sur la question et sur les éventuelles institutions que vous connaissez, qui vont dans le sens que j'ai décris, orthodoxe + diplome reconnu, et votre avis sur les points évoqués
Je pense que cette question est un peu celle de tous les francais qui intègrent (souvent au prix de concessions importantes) le milieu orthodoxe en Israel.
Pour en revenir à ce que vous souhaitez. J'ai souvant eu de longues discussions avec des parents de votre " genre " qui se demandaient où envoyer leurs enfants.
J'ai pris le temps de leur parler et ai dans la plupart des cas Baroukh Hachem réussi à les convaincre. J'en suis hyper heureux parce que je sais que j'ai raison.
En deux mots :
L'argument "Je veux laisser à mes enfants le choix lorsqu'ils seront grands de pouvoir choisir entre Torah et un métier" et tous types d'autres arguments de ce genre, je ne suis pas d'accord avec tout cela et je pourrai vous l'expliquer au téléphone, en direct ou à l'occasion sur le site.
Béhatsla'ha Rabba et bravo d'oser poser vos questions et de ne pas prendre des décisions sur des points tellement cruciaux sans prendre conseil avant !
Merci beaucoup Chabat chalom
Bonjour Rav, y'a t-il des sources sur lesquelles de baser concernant le fait de klaxonner a tort et a travers ( en dehors des situations de danger) ?
cela constitue un probleme majeur en israel, y compris dans des milieux religieux..
Merci
Chalom!
Il y a une interdiction de faire honte à quelqu'un, de surcroît en public.
Il y a une interdiction de déranger les gens qui aimeraient avoir un peu moins de bruit et qui en sont pour rien si le conducteur est nerveux.
Il y a le problème qui consiste à ne pas travailler sur ses Midoth.
Problème majeur? Je ne sais pas, mais c'est vrai qu'en campagne il y a moins de bruit qu'à Guéoula.
Les religieux aussi sont stressés, et il faut les comprendre, ils vont d'un cours de Torah à une Téfila, à leur travail, puis à nouveau leur étude, les enfants nombreux à s'occuper etc. etc.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav Dans la guemara, on nous indique la facon polie de boire, y'a t-il des guemarot ou des posskim qui detaillent la facon polie de manger svp ?
Y'a t-il des livres modernes juids qui s'attardent sur ce savoir vivre ?
Merci
Chalom!
Regardez le Choulh'an Arouh' Orah' H'aïm au chapitre 170 et le Rambam dans les Hilh'ot Déot.
Kol touv!
Bonjour Rav,
Ou trouve t-on dans nos sources la necessite de dire merci a quelqu'un, de dire non-merci, ? Je ne parle pas de mitsvot generales comme veahavta lereakha kamokha mais de guemara ou choulhan aroukh ou posskim explicites svp
Merci
Chalom!
Toute la Torah indique qu'il faut faire preuve de gratitude. Il y a des cours sur le site à ce sujet.
Le mot merci précisément, je n'ai pas à la seconde en tête de texte précis.
Kol touv!
Bonjour Rav,
Y'a t-il des sources qui nous interdisent de jeter un emballage dans la rue etc
J'ai bien trouve un petit peu dans le rambam les interdictions d'encombrer le reshut harabim avec du materiel de construction qui nous appartient, mais rien d'explicite quand a l'interdiction de jeter dans la rue un verre en plastique apres usage, ou un sachet de sandwich
Merci
Chalom!
Une Gémara au début de baba Kama.
Sinon, c'est du H'iloul Hachem, et cela cause du dommage aux autres qui pourraient être dégoûtés? Cf Gémara Kéritout 5 qui interdit de dégoûter les gens.
Kol touv!
Bonjour Rav,
Y'a t-il des sources qui indiquent de remettre un livre en place au bet knesset ou midrash apres utilisation.
C'est souvent une demande affichee dans ces lieux, comme si il n'etait pas naturel de le faire, ce qui personnellement me choque... quoi de plus naturel
Merci
Chalom!
Si c'est naturel pour vous c'est un bon signe, vous avez bien été éduqué, ce n'est malheureusement pas le cas de tout le monde.
Le Steipeler écrit des choses très sévères à l'égard de celui qui ne remet pas ses livres après utilisation, c'est ses mots qui sont généralement écrits.
Kol touv!
Bonjour Rav, y'a t-il des sources qui parlent de la necessite de la ponctualite ? Merci
Chalom!
La Gémara de Brah'ot au sujet de ne pas être en retard à la Téfila.
Les livres de Moussar traitent de l'importance d'être ordonné etc.
Les Gédolé Hadorot étaient très ponctuels.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav, tenir la porte a qqun qui passe derriere nous trouve t-il une source dans nos textes ?
si une femme est derriere nous , peut-on lui tenir la porte ou cela est il un manque de tsniout ?
Merci
Chalom!
Je ne connais pas de source, mais c'est une conduite évidente de civilité. Remplir un kéli pour celui qui vient après nous c'est aussi logique que c'est une bonne chose. Si je sais que celui qui passe derrière moi n'est pas un animal, je me dois de l'honorer même si cela me coûte un petit effort.
Je me rappellerai toujours Béézrat Hachem d'une fois où j'ai prié avec le Rav Volbé Zatsal alors qu'il était déjà très âgé et faible, il sortiat de la synagogue et s'est retourné pour voir s'il y avait quelqu'un derrière lui. Il a aperçu un petit goss de 5 ans qui était encore loin derrière lui. Il lui a tenu la porte. Le père du gamin lui a dit "Ooh, le Rav t'a tenu la porte, quel mérite!!".
Non, ce n'est pas un manque de Tsniout, mais ne la regardez pas, ni ne parlez avec elle.
Kol touv!
Bonjour Rav, mettre son caddie dans la queue, en ensuite aller faire ses courses est-il une attitude acceptable ?
quel interdit y'a t-il a doubler dans une queue ?
Merci
Chalom!
Si c'est la coutume générale là où vous vous trouvez on pourrait peut être autorisé, sinon, c'est interdit c'est du vol.
Voler le temps de l'autre, le faire souffrir, lui faire honte, faire un H'iloul Hachem énorme etc. etc.
Kol touv!
Bonjour Rav, y'a t-il des ouvrages qui traitent de ces questions de politesse, avec des recommandations pratiques, car on voit malheureusement bcp de gens en pas se plier aux regles elementaires de vie en communaute sous pretexte que la halakha explicite en la matiere n'existe pas Merci
Chalom !
La Halakha est plein de cela !
Que ce soient les lois de politesse lors du repas (Choul'han Aroukh chap. 170) que ce soit les lois consistant à ne pas faire de mal à autrui et ne pas l'offenser dans 'Hochen Michpat chap. 227 et 228. ainsi que les Guémarot qui sont pleines de cela !
Si vous avez besoin d'une référence en ce qui concerne un domaine précis n'hésitez pas !
Kol touv !
Bonjour Rav, tenir la porte a qqun qui passe derriere nous trouve t-il une source dans nos textes ?
si une femme est derriere nous , peut-on lui tenir la porte ou cela est il un manque de tsniout ?
Merci
Chalom!
Je ne connais pas de source, mais c'est une conduite évidente de civilité. Remplir un kéli pour celui qui vient après nous c'est aussi logique que c'est une bonne chose. Si je sais que celui qui passe derrière moi n'est pas un animal, je me dois de l'honorer même si cela me coûte un petit effort.
Je me rappellerai toujours Béézrat Hachem d'une fois où j'ai prié avec le Rav Volbé Zatsal alors qu'il était déjà très âgé et faible, il sortiat de la synagogue et s'est retourné pour voir s'il y avait quelqu'un derrière lui. Il a aperçu un petit goss de 5 ans qui était encore loin derrière lui. Il lui a tenu la porte. Le père du gamin lui a dit "Ooh, le Rav t'a tenu la porte, quel mérite!!".
Non, ce n'est pas un manque de Tsniout, mais ne la regardez pas, ni ne parlez avec elle.
Kol touv!
Bonjour Rav,
La guemara fait remarquer la grande valeur d'etre mevater, et on rapporte souvent des histoires reelles qui confirment cela.
Ma question est, comment se comporter dans la realite ?
Par exemple, un kablan livre un appartement avec des defauts clairs, (pas de porte dans le MAMAD, vitres brisees etc).
La logique serait de faire un din tora, puis lorsque si celui ci le refuse , le poursuivre en justice civile pour qu'il repare ou paie les defauts.
1/ Que nous demande la tora dans ce cas ? de ne pas le poursuivre et de prier pour que cela s'arrange ou bien de lui faire din tora et eventuellement tribunal ?
le vitour doit il intervenir dans ce genre d'affaires lekhatkhila ou pas (auquel cas les batei dinim seraient vides ...)
2/ Il est note qu'il est bon de prier pour quelqu'un avec qui on est en conflit, et que cela peut aider.
De quelle priere s'agit-il ? on prie pour qu'il fasse techouva ? ou pour que le conflit se resolve ? quel est le contenu de cette priere ? dans le cas de ce kablan, comment la personne lesee doit elle prier ?
Merci
Chalom Ouvrakha !
Dans le cas du Kablan je ne pense pas que vous soyez tenu de renoncer ! C'est un véritable dû qu'il vous doit, il vous vole, et vous ne devez pas vous laisser faire !
Si vous vous laissez faire ceci pourrait même être perçu comme un 'Hilloul Hachem que les religieux se font facilement arnaquer ! Et ceci les fera récidiver avec les personnes religieuses etc.
De la Guémara ) plusieurs reprises dans le traité de Sanhédrin et autre il ressort que celui qui établit la justice fait une immense faveur avec la personne accusée. Laquelle ? Celle de sauver cet homme de l'interdit du vol qui aurait pu lui coûter cher si il été resté redevable à votre égard.
Pour ce qui est de renoncer, si vos voisins sont dérangés par le fait que vous marchiez à 1h00 du matin avec des chaussures à talon, ne le faites pas bien que d'après la loi vous avez le droit.
De même, si vos voisins vous dérangent en marchant avec leurs talons mais que c'est encore dans les normes du supportable, il sera recommandé de renoncer.
Si le Kablan était venu vous voir et vous avez supplié de le pardonner parce qu'il est pauvre et n'a plus un sous et que vous saviez que c'est vrai, il y aurait eu un Inyan de renoncer, mais renoncer lorsque le monsieur veut ouvertement vous voler, non.
De plus souvent l'envie de renoncer vient d'une fainéantise ou une peur plus que d'une réelle envie de renoncer.
En ce qui est de prier pour l'autre, il s'agit de prier qu'il guérisse s'il est malade, qu'il réussisse dans sa vie etc.
Si vous pouvez aussi pour qu'il fasse une vraie Téchouva c'est aussi parfait.
Béhatsla'ha !
Bonjour Rav,
Je pense investir en association avec une autre personne dans un appartement qui sera pret dans deux ans. L'appartement coutera 1 million. L'autre personne qui dispose d'economies va donner 500.000 de suite. Moi je prendrai un credit d'ici un an pour payer la seconde moitie de l'appartement au fur et a mesure que la construction avancera. On m'a dit que en fait je devrai donner plus que 500.000 et lui moins pour que ce soit equitable car il apporte sa part tout de suite et donc que sans lui je n'aurais pas pu faire cette affaire. Du point de vue des Dinei mamonotes, y'a t-il une justification reelle a ce que je donne plus, et si oui comment evaluer la part en plus que je dois donner ?
Merci
Chalom!
Je ne connais pas de telle opinion Halah'ique. Au contraire vous risquez d'entrer dans des problèmes de Ribbit si vous payez plus sous prétexte qu'il vous a prêté une partie de la somme.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav,
Mon père s'appelle Avraham. Mon premier fils s'appelle Lior Avraham (tout le monde l'appelle Lior)
Mon second fils s'appelle comme mon beau-père
J'aimerais savoir s'il est possible b'h d'appeler mon troisième fils Samuel Avraham, c'est à dire de nommer de nouveau mon père (sachant que comme souvent chez les juifs francais, on n'utilise ensuite en pratique que le premier prénom ) ?
N'y a t-il pas de problème ? Merci
Chalom Ouvrakha!
Ce sujet a déjà été traité dans les écrits des décisionnaires. C'est à dire est ce que deux prénoms c'est comme un seul nom composé, ou est ce que cela reste deux prénoms.
Si l'on dit que ces deux prénoms c'est un problème de nommer deux enfants du même prénom.
En pratique ne faites pas cela.
Béhtslah'a!