mimi26

Chalom Ouvrakha !

Vous posez une excellente question. 

L'opinion du Rav Ovadia Yossef zatsal, est que c'est tout à fait autorisé et qu'il faut simplement veiller à ne pas se servir de l'assiette d'à côté sans avoir pris les précautions requises (se laver la bouche etc.).

Selon lui, ce n'est même pas la peine de mettre un objet insolite entre les gens comme cecia aurait été le cas s'il s'était agi d'un repas où l'un mange de la viande et l'autre du lait. 

Certains autres conseillent de mettre un objet insolite même dans ce cas là (le Caf Ha'haïl se contredit entre les lois du Ora'h 'Haaïm et celles de Yoré Déa).

Cf. aussi ce cours où j'explique tout en détail : http://www.torahacademy.fr/manger-lait-et-viande-sur-une-meme-table

Béhatsla'ha et Mazal Tov !

Vous êtes la troisième personne à me poser cette question depuis ce matin, sur le site vous êtes la première.

En ce qui est du 9 Av, après avoir récité les Kinot (un minimum) c'est autorisé de réviser tout en essayant de ne pas trop vous déconcentrer de la Avélout.

Si vous pouvez attendre demain après 'Hatsot, ce serait tout de même l'idéal mais vous n'êtes pas obligée surtout s'il s'agit de Davar Haavéd, c'est à dire que ne pas réviser peut conduire à une perte certaine.

PS: j'imagine que vos études ne portent pas sur l'étude de la Torah, sinon c'est complètement interdit le jour du 9 Av.

Dans l'attente impatiente de pouvoir avoir enfin le Beth Hamikdach reconstruit !...

Chalom Ouvrakha !

Cf. http://www.torahacademy.fr/netilat-yadayim-et-bagues

Kol touv !

Chalom!

Pendant les 30. jours sans problème.

Pendant les sept jours il faut alors faire la Brith a priori dans les locaux où se trouve la personne en deuil. Une fois le Rav Ovadiia Zatsal l'a fait alors qu'il était en deuil dans les sept jours.

Kol touv!

Chalom Kvod Harav

Chalom mimi26

Pourquoi n est il pas mieux de profiter au maximum des plaisirs physiques et intelectuels a travers la societe au lieu de vivre sous la contrainte tout en se persuadant que ca n en est pas une?

Je pense que vous fixez des axiomes par allusion, sans les prouver, et je ne peux pas répondre à des questions sous entendues. 

Notre societe est faite pour ameliorer notre mode de vie,

A bon? Vous pensez vraiment que les portables nous ont "amélioré" notre mode de vie. De même pour toutes les autres technologies dont nous sommes devenus esclaves sans réussir à s'en sortir.

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/pharaon-avait-il-un-telephone-portable-et-nous

Ce que les individus de la société cherchent, soyons honnêtes c'est uniquement leur intérêt. Sauf quelques Tsadikim rares qui essayent de faire des choses utiles de façon désintéressée. 

elle parait le meilleur moyen de profiter 

Qui est le meilleur moyen de profiter, la société? La société n'est pas un moyen!!

sans s' encombrer de religion.

Sans Torah vous pouvez à mon humble avis dire adieu au plaisir, à la vraie jouissance, au bonheur etc. etc. 

Je ne comprend pas non plus pourquoi vous voyez une contradiction entre la religion juive et la société. Qui vous a dit que d'après la Torah la société n'a pas un rôle de première grandeur à jouer, et entre autre pour que les hommes puissent s'entraider etc.

La religion semble donc superflu...

Pas du tout! Même si j'étais d'accord avec tous ces axiomes, je ne comprend pas pourquoi vous en arrivez à cette conclusion. Dans la vie n'y a t'il que les profits et la jouissance?

D a cree un monde pour qu on en profite mais les lois qui s y rattache nous montre l inverse...

Montrez moi svp comment les lois montrent l'inverse, parce que moi je voie l'inverse de ce que vous dites.

J'ai été assez succinct, on pourrait parler des heures entières de ces sujets. Je vous conseille svp d'écouter un peu les cours de pensée juive et de Paracha qui se trouvent sur le site, ils vous permettront Béézrat Hachem de voire qu'à mon avis la Hachkafa qu vous avez de la Torah est complètement contraire à ce qu'elle prétend vraiment. 

Ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas le premier, mais c'est trop dommage. On ne connait pas le message de la Torah, on s'imagine le connaitre et on se pose donc tant de questions. La solution est de commencer à apprendre le message de la Torah, présenté par un Rav qui sait le présenter sans H'ass véchalom le falsifier. 

Kol touv et Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Je vous poste la réponse qu'a écrite le Rav Chmouel Olivier à votre attention:

"La question de la liberté face à la connaissance d'Hachem est une très ancienne question. Mais elle n'existe que parce que nous l'avons créé: il suffirait de dire que nous ne sommes pas libre ou que D. ne sait pas, et le tour est joué. Toutefois, comme la Torah nous apprend que ce n'est pas le cas, il faut bien résoudre le problème.

Plusieurs approches se retrouvent chez les Sages, et elles procèdent toutes, me semble-t-il, de la même méthode : il faut soit admettre que la connaissance de D. n'implique pas que les choses se passent comme il le sait, donc ce n'est pas un "savoir créateur": il sait ce que nous allons choisir mais ne nous a pas forcé à le faire. C'est apparemment ce que veut dire Saadia Gaon dans Emounot Védeot (4,4) (selon la traduction de l'arabe version Kapah', traduction qui résoudrait quelques questions soulevées par Albo, voir le livre de vulgarisation sur Albo du Rav Dr. Chélomo Tolédano).

Soit admettre que nous ne sommes pas tout à fait libre, et que nous procédons d'un relatif déterminisme, comme le suggère Kreskas (voir traduction Eric Smilevitch: les lumières de l'Eternel, 3,2) et que D. se "mêle" d'une grande partie de notre vie.

Le Rambam dans Hilkhot téchouva explique que la connaissance de D. n'est pas du même ordre que la nôtre, qui, elle, obéit à certaines règles, et que donc la question ne se pose pas.

Tout cela, bien sûr, est dit Grosso Modo".

Kol touv!

Je vous envoie la réponse qu'a écrit le Rav Chmouel Olivier à votre attention:

"L'existence du mal est peut être un bienfait pour l'humanité, en quoi est-ce contradictoire?

En fait, plusieurs approches existent mais on peut répondre, pour faire simple, que D. choisit de laisser agir seul un mal (qu'il a lui-même crée), sans intervenir directement mais tout simplement en s'effaçant et le laissant agir. C'est ce que l'on appelle, le "voilement de la face."

Kol touv!

Chalom!

Je vous envoie la réponse qu'a écrite à votre attention le Rav Chmouel Olivier:

"erreur d'approche: lorsqu'on dit qu'Hachem voulait ou veut donner, ce n'est pas en tant que qualité Le qualifiant Lui-même. car parler de D. Lui-même, cela est déjà impossible en tant qu'Il est au dessus de toute conception humaine. en parlant de volonté de donner, nous ne décrivons que notre perception de ce don. nous essayons de décrire ou de penser avec les outils conceptuels dont nous disposons ce que nous savons ou pensons de la création.

nous pensons le divin jusque là où nous pouvons. or les maitres nous apprennent que D. désire donner. pourquoi? surement pas parce qu'il en ressent le besoin. mais parce que c'est comme cela et c'est tout. cela ne sert à rien d'espérer connaître ce qui nous dépasse. c'est voué à l'échec."

Chalom!

J'ai déjà répondu à une telle question philosophique.

Cf http://www.torahacademy.fr/qui-es-d.

Kol touv!

Chalom!

Veuillez lire la réponse suivante: http://www.torahacademy.fr/dessins-animes-pour-enfants

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Vous avez 1000 fois raison. 

Je me suis personnellement marié à 18 ans Barouh' Hachem, et je ne l'ai jamais regretté bien au contraire...

A ce moment j'avais interrogé le Rav Ovadia Yossef zatsal, le Rav Mordeh'aï Eliahou zatsal ainsi que le Rav Chlomo Wolbe zatsal qui m'ont tous confortés dans ce choix.

Je connais cette problématique des Yéchivot généralement Achkénazes, et je ne suis pas sûr du tout que ceci provienne de la décision de Gédolim. Le Rav H'aïm Kanyevsky Chlita par exemple, lorsqu'on l'interroge conseille de se marier le plus tôt possible.

En tout cas qu'est ce que vous perdez à vous faire renvoyer, il n'y a que deux ou trois mois entre le moment où ils apprennent (s'ils l'apprennent) et le mariage, après en tout cas vous irez dans un Kollel si vous continuez à étudier, et plus à la Yéchiva.

Le mieux, cachez cela de la direction...

Béhatslah'a!

Chalom!

Vous ne pouvez pas trouver quelqu'un qui pourra vous remplacer, ce serait vraiment vraiment préférable.

J'attend votre réponse.

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

J'ai déjà répondu à cette question :

Cf. http://www.torahacademy.fr/perruque-vs-foulard

Kol touv !

Chalom !

Cf. http://www.torahacademy.fr/tsniout_8

http://www.torahacademy.fr/question-sur-le-sujet-de-yihoud-et-travail

En ce qui est du fait qu'un homme photograohie des femmes danser etc. si l'homme photographe me le demande je ne peux que lui déconseiller très fortement.

Si vous me demandez s'il vous est possible de demander à un tel photographe de photographier les femmes à votre mariage, je déconseille très fortement parce que je ne veux pas sortir de ma bouche le mot "interdit ".

Les raisons d'autriser sont très faibles et ne tiennet pas vraiment la route. Vous demandez en d'autres termes à un juif de commettre des Avérot pour photographier votre mariage, vous comprenez que c'est un grave problème.

J'espère que vous m'avez compris si vous voulez une réponse plus détaillée, je tacherai de le faire à l'occasion.

A titre d'exemple, veuillez svp lire la question sur le maître nageur, la logique est très ressemblante :

http://www.torahacademy.fr/maitre-nageur

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

Vous posez une excellente question. Le Choul’han Aroukh (Even Haézer chap. 21 § 5) a tranche qu’il est interdit de se faire server par une femme étrangère du vin (Méziguat Hakoss).

Les décisionnaires stipulent que cet interdit est réciproque, c’est-à-dire qu’il est tout aussi interdit à un homme de servir un verre de vin à une femme étrangère (Apé Zouta § 15). 
En pratique il faut savoir que le Rama rapporte plusieurs circonstances dans lesquelles il est possible de se montrer plus indulgent. Il écrit notamment que lorsque l’on sert à l’autre en public, il n’y a pas d’interdit. Il écrit aussi que lorsqu’on sert non pas de façon affectueuse mais au contraire comme étant une charge qui repose sur nous, ou si on le fait Léchém Chamaïm c’est autorisé.

C’est dans cet état d’esprit que le Aroukh Hachoul’han a tranché (§ 7 et 9) qu’une maitresse de maison a le droit de servir des verres aux invités, faire les lits etc. En effet, elle le fait pour accomplir la Mitsva de Hakhnassat Or’him comme il se doit et pas pour se rapprocher de l’homme pour lequel elle le fait.

On raconte qu’un jour un très grand Rav a accueilli des invités et il leur a lui-même fait le lit alors qu’il avait des serviteurs qui pouvaient s’en occuper. Lorsqu’on lui a dit « Kvod Harav, pourquoi vous fatiguez vous, on peut le faire à votre place ! », celui-ci a répondu « pourquoi ? Vous voulez aussi mettre mes Téfilin à ma place ? ».

En pratique ce que je conseille est d’essayer d’éviter qu’un homme serve à une femme autre que la sienne (et même la sienne si elle est Nidda auquel cas c’est rigoureusement interdit cf. Choul’han Aroukh Yoré Déa chap. 195), et ce n’est que si elle risque de se vexer etc. et que l’homme qui sert est lui-même responsable de servir les boissons etc. auquel cas on comprend bien qu’il ne le fait pas spécialement pour elle, qu’on pourra en cas de nécessité l’autoriser.

Chalom !

Votre femme avec vos parents ce n'est pas Tsniout même en maillot Tsniout (moulant, jambes, contact physique etc. etc.).

Par contre vous votre femme et vos enfants 'est autorisé. 

Faites des heures à mon avis !

Kol touv !

Chalom !

1- Oui. Je ne parle pas des gens qui ont trouvé tout type de combines pas vraiment fondées pour se l'autoriser.

2- Si on voit une quantité importante des vrais cheveux c'est un problème !

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

Je vous envoie la réponse qu'a écrit le Rav Chmouel Olivier à votre attention:

"Pourquoi se projeter dans le futur mariage pour justifier les restrictions présentes ? Certes, ces restrictions paraissent difficiles, mais elles sont peut être à la hauteur de l'enjeu, c’est-à-dire une relation fondée sur un amour véritable et d'une intensité bien plus grande que les jeux d' "amour" auquel se livrent la plupart des humains, et même des animaux…

Toutes les choses sacrées, sont entourées de barrières protectrices. Même le Séfer Torah ne se prend pas "nu". Le mariage est apparemment de ce genre d'affaire sacrées.  

D'autre part, l'expérience de beaucoup, si ce n'est quasiment toutes les personnes "interrogées" , contredit cruellement votre affirmation. Le contact pré- mariage s'avère contre productif. 
Bien au contraire, la réussite à "garder " le contact physique pour le mariage  procure généralement un sentiment de confiance chez la jeune fille, mais également un sentiment  difficile à décrire mais qui est commun à tout ce qui suit de longues attentes.

Il y aurait encore beaucoup à dire, mais c'est suffisant."

Kol touv!

Chalom!

Je vous envoie la réponse qu'a écrit le Rav Chmouel Olivier à votre attention:

"D'après Maimonide il semble justement que la magie n'est qu'une illusion et que seuls les pauvres d'esprit y croient, donc l'injonction ne perd pas son actualité.

La question est pertinente donc selon Nah'manide pour qui la magie existe bien. Et bien d'abord rien n'assure qu'elle n'existe plus. A ton exploré toutes les contrées et toutes les tribus du monde pour affirmer qu'elle n'est plus pratiquée ?

Et qui promet qu'elle ne fera plus son apparition ?

De plus, n'est-ce pas le message qui est le plus important, les contingences étant ce qu'elles sont ? Y a-t-il encore des gens aujourd'hui qui donnent leurs enfants au Molekh?
Mieux: il y a des injonctions de la Torah dont les Sages assurent et assument leur caractère purement théorique, comme le fils rebelle.

Enfin, selon beaucoup de décisionnaires, la loi est d'application et on devra consulter une autorité compétente (comme le site Torah academy) pour savoir s'il est autorisé d'organiser ou d'assister à un spectacle de magie.
Pour le Rav Asher Weiss de Jérusalem par exemple, il vaudra mieux que le prestidigitateur explique avant le spectacle que ses tours ne sont qu'une illusion, par exemple en donnant le secret d'un tour ou deux."

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Je vous poste la réponse qu'a écrite à votre attention le Rav Chmouel Olivier:

"En ce qui concerne le passage des ours, ce qu'il faut bien comprendre, c'est qu'Elicha réagit face à une perception prophétique.

Les Sages expliquent que si Elicha s'est permis de réaliser un miracle en provoquant la venue des ours de la foret (ou la création même des ours à cet endroit, s'ils n'étaient pas naturellement dans la foret, les avis divergent), c'est qu'il avait bien vu qu'aucun, mais absolument aucun élément positif n'allait sortir de ces enfants ni de leur descendance et ce à jamais. (voir également commentaire du Ramad Wali, élève de Luzatto, qui voit dans ces jeunes la concentration du mal). Il faisait donc un grand bien pour l'humanité.

Ceci dit, les Sages nous apprennent que cet acte lui fut reproché et qu'il en fut grandement puni."

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Le véritable but de l'étude de la Guémara est de comprendre les Mitsvots de la Torah et leur mode d'accomplissement de la façon la meilleure.

La Guémara décortique toutes les Mitsvots de la Torah avec une analyse très fine et très pointue, et permet de beaucoup mieux comprendre toute la Torah à la lumière des enseignements de nos Grands maîtres.

Les fondements appris dans cette Gémara permettent aussi ensuite de pouvoir élargir à des cas plus ou moins similaires etc.

Lorsqu'on étudie la Guémara on peut être amené à s'apercevoir de lka profondeur incommensurable de la Torah écrite!

Béhatsalh'a!

Chalom Ouvrah'a!

Vous avez 1000 fois raison. 

Je me suis personnellement marié à 18 ans Barouh' Hachem, et je ne l'ai jamais regretté bien au contraire...

A ce moment j'avais interrogé le Rav Ovadia Yossef zatsal, le Rav Mordeh'aï Eliahou zatsal ainsi que le Rav Chlomo Wolbe zatsal qui m'ont tous confortés dans ce choix.

Je connais cette problématique des Yéchivot généralement Achkénazes, et je ne suis pas sûr du tout que ceci provienne de la décision de Gédolim. Le Rav H'aïm Kanyevsky Chlita par exemple, lorsqu'on l'interroge conseille de se marier le plus tôt possible.

En tout cas qu'est ce que vous perdez à vous faire renvoyer, il n'y a que deux ou trois mois entre le moment où ils apprennent (s'ils l'apprennent) et le mariage, après en tout cas vous irez dans un Kollel si vous continuez à étudier, et plus à la Yéchiva.

Le mieux, cachez cela de la direction...

Béhatslah'a!

Chalom!

Veuillez lire la réponse suivante: http://www.torahacademy.fr/dessins-animes-pour-enfants

Kol touv!

Chalom !

Ces Klalim doivent être adaptés selon chaque situation, chaque public, chaque personne etc.

Les Rabbanim sont pour d'une part se marier le plus vite possible et d'autre part ne pas trop se rencontrer etc.

Le but est multiple :

1- Cette période où les fiancés sont très amoureux l'un de l'autre les risques de dérapage gravissimes sont importants, à tous les niveaux et moins on se rencontre plus on se préserve de mauvaises pensées etc. etc. 

2- De nombreux conflits et doutes viennet pendant cette période justement à cause de rencontres trop fréquentes. Je veux dire qu'après le mariage plus on discutera mieux ce sera dès lors que le choix a déjà été fait et l'engagement déjà fait.

Par contre au sujet de cette période où le doute est immense souvent auprès des deux parties, et le moindre mot déplacé, la moindre grimace peut éveiller en l'autre des doutes immenses qui en fait n'ont pas lieu d'être. Donc, moins ons e rencontre mieux c'est.

Mais à nouveau il faut réviser ces délais etc. au cas par cas en demandant conseil à son Rav.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

J'entend votre argument mais ne suis pas du tout d'accord avec.

Je pense inconcevable que D. fasse que votre femme tombe enceinte alors que ce n'est pas bon pour votre couple.

Certains veulent aussi attendre d'avoir 40 ans pour avoir des enfants de sorte à être suffisamment mûrs pour pouvoir les éduquer. C'est à mon avis aussi une erreur.

Je vous assure qu'on pourrait longtemps débattre de ce sujet. Rarissimes sont les cas où j'ai autoirsé à un 'Hatan et à une Kalla à prendre la contraception depuis leur mariage. Après avoir eu des enfants c'est autre chose.

Cf. http://www.torahacademy.fr/tazria-ce-que-pense-la-torah-de-la-contraception...

En tout état de cause il faut qu'on en discute au moins par téléphone.

Béhatsla'ha !