M152

Chalom !

Il faut cachériser. 

Choul'han Aroukh Yoré Déa chap. 113 § 16.

Kol touv !

Dans tous les cas où une nourriture pas Cacher a été en contact à chaud avec un ustensile étant capable de s'imprégner de cette nourriture !

Kol touv !

Chalom !

Il faudra les  vérifier de tout insecte qui s'y trouve. Ou alors les broyer de sorte à ce qu'il n'y reste plus d'insectes entiers etc.

S'il y a des insectes dans les framboises c'est interdit de consommer de ce gâteau. Chaque bestole consommées c'est 5 commendemants négatifs !!!

Béhatsla'ha !

Chalom !

Le fait de les congeler ne change rien au problème des bestioles qui pourraient s'y trouver. En effet, elles sont interdites même congelées.

En ce qui est de l'opinion du Rav Mazouz je ne sais pas où il en parle dans Ich Matslia'h, je sais que dans Or Torah il est rapporté que le Rav Mazouz a dit qu'il se souvient avoir vu dans le Chout Halakhot Kétanot que j'ai rapporté qu'il autorise. 

L'un de ses élèves le Rav Kablan souhaite autoriser mais ses arguments semblent être très insuffisants. Genre, puisque l'interdit viande poisson est Ségouli, on ne peut rajouter des nouveautés. Mais la Guémara et la Halakha ne parlent pas de Ségoula mais de danger réel etc.

Si vous avez une référence du Chout Ich Matslia'h, je suis preneur !

Béhatsla'ha !

Chalom !

Un cours vous attend très complet à ce sujet :

http://www.torahacademy.fr/consommation-du-lait-et-du-poisson

Kol touv !

Chalom !

S'il s'agit de Cachériser entre le lait et la viande, (pas pour Pessa'h, pas pour Taref), il est possible en faisant la pirolyse, ou même en chauffant à une très haute température même si ce n'est pas pirolyse.

Kol touv !

Chalom !

Vous êtes gentll !

Il existe un excellent ouvrage en français de mon ami le Rav Yossef Loria chlita qui s'appelle le fondement de la Cacherout, très complet !

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

Vous aussi m'avez manqué !

Le tampon signifie que le vin a déjà été cuit avant d'avoir été mis en bouteille. Une fois que le vin a été cuit il n'y a plus d'interdit de Yayin Nessekh et quand bien même un non juif le toucherait il ne sera pas interdit à la consommation par un juif.

La raison pour laquelle lorsque le vin est cuit il n'y a pas d'interdit est double.

Le Tour (chap. 123) explique que c'est parce que les idolâtres ne se servent pas de vin cuit pour leur idolâtries. 

Le Beth Yossef explique que comme ce genre de vin est rare, 'Hakhamim n'ont fait de Guézéra sur les choses rares. C'est donc autoirsé de le boire.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

1- C'est l'objet d'une discussion entre le Choul'han Aroukh qui l'autorise et le Rama qui écrit que la coutume Achkénaze est de l'interdire (chap. 532).

Ceux qui l'interdisent c'est pour la même raison que c'est interdit de se couper les cheveux ou de se raser pendant 'Hol Hamoèd.

2- Repasser c'est autorisé et laver du linge c'est interdit.
La raison est afin que les gens nettoient leurs vêtements avant la fête et n'entrent pas dans la fête alors qu'ils sont sales. Ainsi, les gens sachant que pendant 'Hol Hamoèd il leur sera interdit de faire la lessive se préoccuperont à la faire avant la fête et grâce à cela ils entreront pendant la fête avec des vêtements propres.

Kol touv et 'Hag Saméa'h !

Chalom Ouvrakha !

Les décisionnaires expliquent que cela provient du fait que la prière de Moussaf que l'on récite aujourd'hui vient à la place du sacrifice de Moussaf que l'on amenait le jour de Roch 'Hodech lorsque le Beth Hamikdach était.

Or au moment de ce sacrifice il y avait le jour de Roch 'Hodech une très grande joie, c'était un peu comme un jour de Yom Tov, on ne met donc pas les Téfilin à ce moment là.

De plus, ajoutent-ils, lorsque l"on récite Moussaf on fait la Kédoucha de Kéter qui est une couronne. On n'a donc pas besoin d'avoir de Téfilin qui sont la couronne du juif lorsque l'on mentionne la couronne de D. Et donc même dans la Téfila à voix basse il faut déjà les avoir retirés.

(Michna Béroura chap. 25 § 31), Lévouch (chap. 25 § 13) etc.  

Kol touv !

Chalom !

Oui s'il n'y a pas de contre-indication de son médecin, elle doit jeûner.

Le matin elle prend ses cachets si elle le peut sans eau, si elle est obligée de les boire avec un peu d'eau, il n'y a pas de problème.

Le Or Letsion recommande de rendre l'eau amère en y ajoutant par exemple du sel ou autre, mais en pratique de nombreux décisionnaires ont autorisé même sans cela, mais le minimum d'eau possible pas plus.

Kol touv !

Chalom !

Je n'y vois pas d'inconvénient. En effet mpeut être que personne ne les a encore invités avant vous. 

Donc vous aussi invitez les.

Béhatsla'ha !

Chalom !

Dans le cours suivant à la minute 4min40 je répond à votre excellente question !

http://www.torahacademy.fr/la-joie-de-pourim

Moadim Lésim'ha !

Chalom !

Très bien Baroukh Hachem, et vous ?

Je ne sais pas, si aucune autorité de Halakha n'a donné de Hechcher dessus, il ne faut pas les consommer pendant Pessa'h !

Kol touv !

bonjour rav , jespere que vous aller bien moi baroukh hachem je vais bien .

Je suis heureux de l'entendre !

1) peut répondre amen a sa propre brakha ( ex :kriate chéma , birkate hamazone les brakhote de la téfila .... ) ?

Toutes les lois à ce sujet sont explicites au chap. 215 de Ora'h 'Haïm. Dans la plupart des cas on ne dit pas Amen après ses propres Brakhot à quelques exceptions près. 

2) doit on a notre époque répondre amen a haute voix a la brakha de boné yérouchalyim du bircate hamazone ( jai vue lopinion du rama mais quand pour nous les séfaradim, ?

;Des propos du Kaf Ha'haïm ( chap. 188 § 2) il ressort que selon Maran même de nos jours il fait le réciter à voix basse. Telle est la coutume Séfarade.

3) pouvez me donner les sources ?

Bien sûr !

kol touv et merci beaucoup

Avec plaisir !

bonjour rav ,

Chalom !

je me pose une questions : quelle est la difference entre le tonnere et léclairs ?

Je vous envoie le lien vers le dictionnaire Larousse en ligne :

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais

En bref, l'éclair c'est le flach. Le tonnerre c'est le gros bruit. 

et quelle brakha quil faut faire sur ces deux signes ? et si jai fait la brakha une fois et que je revois le tonnerre ou leclairs une autre fois faut il faire la brakha une autre fois ?

Cf. http://www.torahacademy.fr/benediction-sur-les-eclaires-et-le-tonnerre

jaimerais avoir les sources s'il vous plait parce que j'en ai besoin

Cf. Choul'han Aroukh et Michna Béroura etc. au chap. 227.

Béhatsla'ha !

Chalom !

La Torah on l'a reçue au passé, non ? 

Ce sera quand pour vous le don de la Torah ?

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Si vous savez qu'elle souhaite suivre le Rav Ovadia et que cela lui rendra service que vous lui indiquiez la Halakha selon le Rav Ovadia, alors dites lui.

Si elle souhaite continuer à faire comme elle l'a toujours fait, elle peut tout à fait se reposer sur la majorité des décisionnaires qui l'autorisent à le faire.

Cf. http://www.torahacademy.fr/brachot-kriat-chema-femmes

Kol touv !

Chalom !

Vous faites un très beau raisonnement, mais lorsque vous venez de transpirer en dehors de la Kippa tout votre corps est en transpiration et c'est sûr qu'il ne convient pas, a priori de prier ainsi. 

Si vous parlez de cette Kippa une fois qu'elle aura séchée, je pense que cela dépend beaucoup du cas par cas. Si vraiment votre Kippa de sport a une mauvaise odeur etc. etc. vous avez raison, mpais sinon, pas de problème !

La Kippa de nuit qui vous dit que c'est uniquement parce qu'on transpire avec ? Est ce qu'en journée on ne transpire pas encore plus ? Je pense que c'est plutôt le fait que cette Kippa est usée comme vous le dites et déformée avec tout type de plis etc. et en plus son appellation " Kippa de nui " tout ceci fait que cette Kippa n'est aps appropriée à la Téfila. 

Kol touv et surtout continuez à faire ce genre de raisonnements c'est comme cela qu'on grandit en Torah !

Chalom Ouvrakha !

1- Un garçon qui a 12 ans et 1 jour et des poils pubiens n'est pas considéré comme étant Bar Mitsvah. Il a le statut de petit (certes " Moufla " (proche d'être adulte) mais petit tout de même) (Choul'han Aroukh chap. 55 § 9). 

Le Choul'han Aroukh (chap. 55 § 4) rapporte une opinion selon laquelle il est possible d'associer à 9 hommes un jeune enfant d'un âge supérieur à 6 ans et ayant une conscience religieuse suffisante pour savoir à qui on s'adresse lors de la Téfila.
 

Toutefois il s'empresse aussitôt de réfuter cette opinion. 

Le Rama quant à lui stipule " Et même si cet enfant tient un 'Houmach entre ses mains l'on ne peut l'associer selon cette opinion. Cependant il y en a qui ont la coutume de l'autoriser dans des cas d'extrême nécessité ". 

Le 'Hafets 'Haïm (chap. 55 § 24) rapporte l'opinion du Magen Avraham qui autorise d'associer un tel enfant s'il tient en plus un 'Houmach entre ses mains, puis il conclut " et de nombreux décisionnaires se montrent plus rigoureux et refusent d'associer un quelconque enfant quand bien même il y aurait un extrême urgence tant qu'il n'a pas 13 ans et 1 jour ". 

En pratique d'une façon générale l'on ne se repose pas sur cela. Dans des cas d'extrême urgence comme si par exemple sans cela il n'y aura pas du tout de Mynian fans toute la ville etc. il faut adresser la question spécifiquement avec tous les tenants et les aboutissants et alors il sera possible de donner, dans certains cas très rares une autorisation.  

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Les décisionnaires expliquent que cela provient du fait que la prière de Moussaf que l'on récite aujourd'hui vient à la place du sacrifice de Moussaf que l'on amenait le jour de Roch 'Hodech lorsque le Beth Hamikdach était.

Or au moment de ce sacrifice il y avait le jour de Roch 'Hodech une très grande joie, c'était un peu comme un jour de Yom Tov, on ne met donc pas les Téfilin à ce moment là.

De plus, ajoutent-ils, lorsque l"on récite Moussaf on fait la Kédoucha de Kéter qui est une couronne. On n'a donc pas besoin d'avoir de Téfilin qui sont la couronne du juif lorsque l'on mentionne la couronne de D. Et donc même dans la Téfila à voix basse il faut déjà les avoir retirés.

(Michna Béroura chap. 25 § 31), Lévouch (chap. 25 § 13) etc.  

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Si vous savez qu'elle souhaite suivre le Rav Ovadia et que cela lui rendra service que vous lui indiquiez la Halakha selon le Rav Ovadia, alors dites lui.

Si elle souhaite continuer à faire comme elle l'a toujours fait, elle peut tout à fait se reposer sur la majorité des décisionnaires qui l'autorisent à le faire.

Cf. http://www.torahacademy.fr/brachot-kriat-chema-femmes

Kol touv !

Chalom !

Oui s'il n'y a pas de contre-indication de son médecin, elle doit jeûner.

Le matin elle prend ses cachets si elle le peut sans eau, si elle est obligée de les boire avec un peu d'eau, il n'y a pas de problème.

Le Or Letsion recommande de rendre l'eau amère en y ajoutant par exemple du sel ou autre, mais en pratique de nombreux décisionnaires ont autorisé même sans cela, mais le minimum d'eau possible pas plus.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Tout d'abord je souhaite réfoua Chéléma à ce monsieur.

Ensuite, il faut savoir que les règles de deuil ne concernent pas les petits enfants mais uniquement les sept proches mentionnés dans la Torah (Vayikra chap. 21 verset 2), à savoir :

1. L'épouse
2. La mère
3. Le père
4. Le fils
5. La fille
6. Le frère
7. La soeur

C'est dans ce sens qu'a été le Choul'han Aroukh en complétant un peu et en entrant dans tous les détails (Choul'han Aroukh Yoré Déa chap. 374 § 4).

En ce qui est de vous résumer toutes les lois du deuil, avec toute la bonne volonté du monde, je ne pourrai pas le faire.

Ecoutez les cours sur le site et informez vous un petit peu. Et Béézrat Hachem que vous n'ayez pas besoin de les accomplir.

Kol touv !

Chalom !

C'est une erreur, vous avez le droit. Vous n'êtes pas concerné par les lois du deuil, comme je vous l'ai écrit au lien suivant :

http://www.torahacademy.fr/deuil_6

Peut être ce qu'on a voulu vous dire c'est de ne pas écouter de musique en présence de vos parents parce que le fils ou la fille de votre grand père n'a pas le droit d'écouter de la musique durant toute l'année de deuil. 

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Les décisionnaires expliquent que cela provient du fait que la prière de Moussaf que l'on récite aujourd'hui vient à la place du sacrifice de Moussaf que l'on amenait le jour de Roch 'Hodech lorsque le Beth Hamikdach était.

Or au moment de ce sacrifice il y avait le jour de Roch 'Hodech une très grande joie, c'était un peu comme un jour de Yom Tov, on ne met donc pas les Téfilin à ce moment là.

De plus, ajoutent-ils, lorsque l"on récite Moussaf on fait la Kédoucha de Kéter qui est une couronne. On n'a donc pas besoin d'avoir de Téfilin qui sont la couronne du juif lorsque l'on mentionne la couronne de D. Et donc même dans la Téfila à voix basse il faut déjà les avoir retirés.

(Michna Béroura chap. 25 § 31), Lévouch (chap. 25 § 13) etc.  

Kol touv !

Chalom !

1- Il faut voir alors à quel niveau se situe la porte est elle considérée comme Carméilt, ou comme Réchout Haya'hid ou comme Réchout Harabim. 

2- Cf. Choul'han Aroukh (chap. 21 § 3), Taz (§ 3), Caf Ha'haïm (§ 13), Michna Béroura (chap. 610 § 18).

Béhatsla'ha ! 

Chalom Ouvrakha,

Si je comprends bien, vous trouvez l'exigence d'être modeste et celle de dire que le monde a été crée pour soi contradictoire. Vous avez raison, c'est une bonne question.

On pourrait répondre de plusieurs manières, selon la compréhension qu'on a de "bichvili nivra haolam". Comme ce sont des paroles de Aggada, je précise d'abord que ce que je dis, n'engage que moi, je veut dire dans la formulation.

 Bichvili nivra haolam veut dire que de la même manière que concernant Adam Harichon la création entière était le lieu de son nissayon, puisqu'il était seul, ainsi en est-il pour chacun à chaque génération: tout ce que l'on rencontre a été envoyé par Hachem pour que l'on saisisse l'occasion de Le servir. 

Ce n'est pas de l'orgueil, c'est une énorme responsabilité: on m'attend à chaque instant et à chaque occasion pour voir si je vais faire le bien ou le mal car chaque chose est une occasion envoyée pour moi.

Bichvili ne veut pas dire "pour moi" dans le sens "pour me servir", cela veut dire "pour me tester", avouez que c'est différent.

Vous trouverez cette explication chez Rav Dessler. Malheureusement je n'ai plus la référence mais si je la trouve je vous l'envoie Bli néder.

Kol Touv  

Chalom !

S'il ne dépend vraiment pas financièrement de ses parents, à lui même. 

Mais le fait que les parents l'hébergent à leurs propres frais et le nourrissent à leurs propres frais, c'est déjà considéré comme étant dépendant de ses parents ainsi que l'expression le prouve " Samoukh Al Choulhano ".

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Je vous envoie la réponse du Rav Olivier à votre intention.

Il s’agit aussi et surtout de l’histoire de Yaakov. Surtout en regard du commentaire de Rachi, qui vient mettre en évidence le rapport entre l’histoire d’ Essav et celle de Yaakov.

Rachi sur ce 1er verset écrit :
« Ya‘aqov s’installa : Après t’avoir énuméré sommairement les séjours de ‘éssav et de ses descendants  – ni leur distinction ni leur importance ne justifiant un récit détaillé de leurs installations ni des guerres par lesquelles ils ont chassé les ‘Hori – le texte va s’arrêter longuement, et en en retraçant l’enchaînement des circonstances, sur les séjours de ya’acov et de ses descendants.

L’importance qu’ils revêtent devant Hachem vaut que l’on s’y attarde. On peut comparer la chose à une pierre précieuse qui serait tombée dans le sable. On fouille dans le sable, on le passe au tamis jusqu’à ce qu’on retrouve la perle. Une fois qu’elle a été trouvée, on jette le sable et on conserve la perle (Midrach tan‘houma vayéchèv 1). Autre explication : « Ya‘aqov demeura… : c’est comme un marchand de lin dont les chameaux arrivent chargés de balles de cette marchandise. Survient le forgeron qui se demande avec étonnement où l’on va pouvoir loger tout ce lin.

Un homme astucieux lui répond : « Une étincelle sortira de ta forge et fera tout flamber ! » De même ya’acov, voyant tous les princes issus de ‘éssav énumérés plus haut, s’est demandé avec inquiétude comment il pourrait jamais en venir à bout. Or, que lisons-nous ensuite ? « Voici les générations de ya’acov : yossef… ». Et il est écrit ailleurs : « La maison de Ya‘aqov sera feu, et la maison de Yossef flamme, et la maison de ‘Essaw fétu de paille » (‘Ovadya 1, 18). Une étincelle sortira de Yossef, qui les consumera tous (raba 84, 5) ».

Mais comment expliquer que c’est yossef  qui représente l’histoire de Yaakov ? Sûrement parce que  Yossef utilise la force de ya’acov, de traverser toutes sortes d’épreuves en exil.  Yaakov, via yossef continue le devenir d’ « Israël » aux dépens d’Essav.

Il ne faut pas oublier que toute l’histoire de cette Paracha est le prolongement de l’histoire des Bérakhots acquises de justesse par Yaakov. En fait, toute l’histoire après Yaakov est l’histoire de Yaakov. C’est l’histoire d’Israel.

Conclusion : l’histoire de Yossef est mise en perspective dans la Torah en tant qu’elle est la production de celle de Yaakov, et une « répétition » de celle-ci.

Kol touv !

Bonjour,

Le Midrach Béréchit Rabba remarque l'absence de vav dans le second Efrone du verset. Donc Bravo pour votre remarque.

Le Midrach interprète cela comme une allusion aux conséquences de "l'œil du mal" dont a usé Efron.

Il faut comprendre Ain Hara ici comme poser ses yeux sur les biens de l'autre par affolement pour le gain.

En citant un verset du livres des Paraboles  (Michlé 28), les Sages montrent que celui qui se précipite affolement sur le capital finira sans rien. C'est ce qui est arrivé à Efron qui s'est précipité sur l'occasion de "se faire de l'argent". on a fini par lui enlever la lettre Vav.  

Pourquoi la lettre vav ? ce n'est pas écrit dans le midrach, mais l'on peut dire que la lettre vav est la lettre du lien (son rôle est de relier les mots et les phrases, elle a aussi la forme d'un crochet, etc. ) et que Efron a perdu tout lien avec la spiritualité, avec la société, et peut être a t il perdu aussi son argent , tout ca pour ne pas avoir regarder les bien d'Avraham avec bienveillance.

C'est une grande leçon pour nous tous.

(Concernant le chiffre 6, je ne sais pas à quoi vous faites référence. même si vav a comme valeur numérique 6 , je ne connais pas une série de 6 quoi que ce soit à part les 6 ordres de la Michna et les 6 tomes du Michna Broura. )

Amicalement    

bonsoir rav je n'ai pas reçu les réponses a mes questions est ce normal ?

N'exagérez pas !

Il y a des questions auxquelles j'ai répondu !

Mais par exemple celle que vous allez poser à présent, je ne peux pas comme je vais vous l'indiquer !

1) pouvez vous me rédiger a lécrit et non en vidéo svp lhistoire complete et sinthéthique de yossef hatsadik

Non je ne peux pas pour l'instant parce que je suis débordé ! J'espère que vous comprenez je n'ai pas le temps à présent pour répondre à des dizaines de coup de fils qui me sont adressés, alors qu'il s'agit de questions urgentes. Vous comprenez que vous faire un résumé de la Paracha je ne peux pas !

Mais si vous voulez je peux demander à quelqu'un d'autre s'il est d'accord de vous aider !

2) il y a une difference entre un ness et un pélé ness= miracle qui ne peut etre expliqué par personne pélé= miracle qui peut s'expliqué

C'est possible, encore faut-il le prouver.

si on dit cela à hanouka la guerre hachmonayim vs grecs (LES GRECS ETAIENT BEAUCOUP PLUS FORT et NOMBREUX... mais ils ont perdu) cela peut s'expliqué en théorie car les hachmonayim s'était leur jour de chance ils étaient en forme ect. donc = pélé + le miracle de la fiole d'huile = ness

D'accord...

mais dans le al hanissim pas une trace du '' ness ''

D'accord !

Pour l'instant c'est exactement ce que j'ai expliqué dans la vidéo à laquelle je vous ai renvoyé l'autre jour !

pourim: amane a voulu nous anéantir mais il n'a pas réussi car miracle peut etre était il déboussolé et pour le coup a perdu le nord donc = pélé

D'accord !

hachém nous a sauvé du décret d'extermination grace a mordékhaye = ness

Pourquoi Ness, cela aussi est selon vous, un Pélé, puisqu'on peut expliquer de 1000 façons que Mordé'haï étant le mari de Ester etc. etc.

ma question est pourquoi nos sages ont convenu de mentioner les niflaoot l'essence meme qu'il faudrait mentionner cest les nissim si on commence par mentioner les niflaot que fait hachem ,lorsqu hachem nous rend notre hachem sa aussi cest un miracle incontestable donc sa vaut bien un al hanissim non ?

Je ne comprend pas un mot de cette phrase !

et de plus selon cette definition cité plus haut ness/pélé pourquoi ne pas mentionner péssah dans al hanissim

Demandez à celui qui vous a donné cette explication de Ness et pélé.

Peut être vous dira-t-il que le Halel est suffisant, je ne sais pas !

quhachem vous bénisse vous rav et votre famille et les membre de torah academy pour tout se que vous entreprenez pour nous merci

Amen !

jespere que vous avez passer un bon péssah parce que moi j'en ai passer un tres bon baroukh hachem

Baroukh Hachem, merci beaucoup !

Chalom !

Selon le Rav Ovadia et le Rav Ben Tsion Abba Chaoul elles ont le droit.
Selon la majorité des décisionnaires Achkénzes c'est interdit excepté le Rav Feinstein qui souhaite autoriser mais conclut en n'autorisant que lorsqu'il y a une vraie nécessité.

Moadim Lésim'ha !

Chalom !

Dans le cours suivant à la minute 4min40 je répond à votre excellente question !

http://www.torahacademy.fr/la-joie-de-pourim

Moadim Lésim'ha !

Bonjour Rav Azriel Cohen !

j'attends vos messages avec impatience, je pense que vous êtes pris par le ménage de péssah je m'en doute pas.

Non, je ne suis pas encore dans le ménage, je suis encore au Beth Hamidrach toute la journée grâce à mon épouse qui me laisse étudier tellement de temps. 

1) est ce que on doit prendre pour Pessah des shampoing avec un Heikhcher je trouve bidon de le prendre avec heikhchere car qui mange du shampoing ? il y aurai q'un fou qui ferais cela !

Effectivement !

Cf. http://www.torahacademy.fr/le-rouge-a-levres-a-pessah

2) doit t-on prendre des boissons avec heikhchere pour pessah la idem je trouve bizarre que pour du jus d'orange il y est du hamets (quand je dit jus d'orange vous pouvez étendre a d'autre boisson rav) ?

Ce qui est de la nourriture efforcez vous de n'acheter qu'avec Hechcher, parce qu'on ne peut savoir ce qu'ils y mettent, ou alors achetez des oranges et pressez les vous même !

pessah cachère véssaméakh et mes sincères bénédiction à toute l'équipe torah académy

Amen ! Vous aussi !

ps : j'avais une série de questions sur la paracha que j'ai poser mais je ne les vois toujours pas ( je les poser il y a une semaine mais je ne vois pas vos réponses )

Le Rav Olivier vous a répondu à pal mal de questions je pense, non ?

Soyez heureux d'avoir un Rav de cette envergure qui vous répond à vos questions !

toda raba et kol touv

Avec plaisir !

Chalom Ouvrakha,

C'est une bonne remarque.

Les "h'asserot" et "yétérot" résultent de la transmission de l'écriture du Sefer Torah sans que l'on sache systématiquement pour quelle raison l'écriture est pleine ou déficiente. Dans beaucoup d'éditions du Mikraot Guédolot le "Min'hat Chay" rend compte de ces traditions sans qu'elles fassent l'objet de Drachot. Ceci dit, il y a des endroits où les 'Hakhamim interprètent le changement, comme dans "soukot" avec et sans vav, mais ici je n'ai rien trouvé. En fait, il y a plus de h'asser et yeter non-interprétés que d'interprétés.    

Kol Touv

Chalom,

Il est vrai que le kidouch yadayim veraglayim demande une certaine souplesse.

(Surtout le jour de Kippour où l’opération se répète une dizaine de fois, à chaque changement de vêtements, avant et après.

Même pour les jours ordinaires, si l’on se suffit d’une ablution pour toute la journée, il arrive parfois que le cohen doive renouveler le geste s’il s’interrompe pour dormir, faire ses besoins, etc.)

A ce propos, il est bon de lire la brayta ramenée par la Guémara Zva’him 19b dans laquelle les ‘Hakhamim discutent avec Rabbi Yossi Bar Yéhouda pour savoir s’il « suffit » que la main droite soit posée sur le pied droit et pareil pour la gauche, ou s’il faut mettre ses deux pieds avec ses deux mains pour laver les 4 membres groupés et en même temps. ‘Hakhamim considèrent que c’est déjà trop demander au cohen ! Mais Rabbi Yossef dans la guémara suggère que le cohen se fasse aider par un collègue.

Donc, effectivement, il faut être souple.

Mais de toutes les façons, la Avoda au Beth Hamikdach de manière générale demande du zèle et du savoir-faire. : La Ché’hita (qui n’est pas forcément une Avoda à proprement parler mais nous désignerons par le terme de Avoda ce qui se faisait au Temple tout statut confondu), la réception du sang, le transport des différentes parties de l’animal etc.  

En particulier, le jour de Kippour, le cohen devait être particulièrement entrainé. Le transport de la pelle avec les kétoret et les autres articles avec ses deux mains relevaient de la prouesse.

Mais les kohanims n’étaient pas paresseux. Pour preuve, la nécessité de procéder à un tirage au sort pour ne pas se disputer en courant vers l’Autel.

(cf. Michnayot Yoma et Tamid).

Je reviens au lavage au Kior. Quelle en est la raison ? Les Richonims évoquent le Kavod qui en ressort pour le Temple, lorsque les cohanims se lavent pour y travailler. Ce n’est pas un simple lavage pour la propreté puisque même si le cohen est propre au matin il doit se laver. C’est une manière d’honorer le Temple que de se laver les mains et les pieds pour y travailler. Pour les mains, c’est évident, elles sont toujours au contact avec la saleté.  Mais pourquoi les pieds ? Parce que les cohanims étaient pieds nus au Temple. (cf. Ramban Ki Tissa et ‘Hinoukh 106).

Certains interprètent le lavage par le cohen comme expiation pour le pécheur. Les mains et les pieds du fauteur sont lavés par le lavage du cohen. (cf. Otsar Hamidrachim Taryag Mitsvot Mitsva 106 au nom du Ir Miklat ).

Bien à vous.  

Chalom Ouvrakha,

Si je comprends bien, vous trouvez l'exigence d'être modeste et celle de dire que le monde a été crée pour soi contradictoire. Vous avez raison, c'est une bonne question.

On pourrait répondre de plusieurs manières, selon la compréhension qu'on a de "bichvili nivra haolam". Comme ce sont des paroles de Aggada, je précise d'abord que ce que je dis, n'engage que moi, je veut dire dans la formulation.

 Bichvili nivra haolam veut dire que de la même manière que concernant Adam Harichon la création entière était le lieu de son nissayon, puisqu'il était seul, ainsi en est-il pour chacun à chaque génération: tout ce que l'on rencontre a été envoyé par Hachem pour que l'on saisisse l'occasion de Le servir. 

Ce n'est pas de l'orgueil, c'est une énorme responsabilité: on m'attend à chaque instant et à chaque occasion pour voir si je vais faire le bien ou le mal car chaque chose est une occasion envoyée pour moi.

Bichvili ne veut pas dire "pour moi" dans le sens "pour me servir", cela veut dire "pour me tester", avouez que c'est différent.

Vous trouverez cette explication chez Rav Dessler. Malheureusement je n'ai plus la référence mais si je la trouve je vous l'envoie Bli néder.

Kol Touv  

Chalom !

J'ai besoin de plus amples détails. Il s'agissait d'un repas communautaire ? Chacun apportait son vin ? 

Donnez moi un maximum de détails pour que je puisse vous aider.

Kol touv !

Chalom !

1- Itim s'écarit avec un Ayin.

Je comprend votre question. Mais je pense que la fonction originelle était bel et bien de camoufler la faute etc. mais une fois que cette fonction du vêtement a été occupée, le vêtement selon son apparance etc. peut aussi honorer l'homme qui le porte.

D'autre part il se peut que même sans la faute de Adam les hommes importants tels que le Cohen auraient eu l'ordre Divin de porter des vêtements.

2- Vous avez raison c'est toute la différence entre une maison et le Michkan. Le Michkan devait être fait avec une pureté d'intention etc. inégalable.

Béhatsla'ha !

Chalom !

Un jeu de mots de temps en temps etc. ce n'est pas bien grave mais si votre étude devient une succession de blagues ce n'est pas bien.

Je vous conseille de demander à votre compagnon d'étude de vous aider à arrêter cela en lui montrant bien que si cela continue vous allez devoir arrêter d'étudier avec lui et que cela sera dommage pour vous deux.

Mais réalisez, vous ne faites pas le bac bien que vos parents y tiennent parce que vous adorez l'étude ! Vous ne pouvez pas vous désavouer en rigolant pendant toute votre étude !!!

Béhatsla'ha !

Chalom !

Moi aussi ça m'a fait très plaisir de vous rencontrer. Merci. 

1- Hanakha peut être mais tout se passe dans le même Réchout. Vous n'avez même pas à faire 4 Amot d'un endroit à un autre.

2- Le Talith Gadol est un vêtement de Téfila. Et il faut donc le retirer un peu comme l'écrit le Michna Béroura au sujet du Kittel que portent les Achkénazes le jour de Kippour.

Kol touv !

Oui.
C'est la reconnaissance.
Des exemples : http://www.torahacademy.fr/chemot-et-reconnaissance

Kol touv !

Chalom!

Cf. http://www.torahacademy.fr/erouv-sur-un-oeuf-quand-le-consommer

Kol touv et Chana Tova !

Chalom !

Bien sûr, pourquoi pas! La Torah c'est pour toujours !

Kol touv !

Chalom !

Il faudrait peut être que vous trouviez des cours donnés par un Rav pédagogue et qui enseigne la méthode pour apprendre la Torah. 

Une fois que vous aurez l'habitude vous vous débrouillerez très bien dans le Tour et le Choul'han Aroukh. 

Cf. aussi : http://www.torahacademy.fr/commencer-l-etude-de-la-guemara

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Au sujet de se raser et de se couper les cheveux, selon les Séfarades c'est autorisé jusqu'à Chavoua Ché'hél Bo Tiché Béav, c'est à dire jusqu'à l'entrée de Chabbat (puisque pendant Chababt c'est de toute façon interdit de se couper les cheveux) (Choul'han Aroukh chap. 551 § 3).

Selon les Achkénazim c'est interdit depuis le 17 Tamouz et il n'y a pas d'autorisation le vendredi en l'honneur de Chabbat (Rama chap. 551 § 4).

Au sujet de la coupe des ongles, le Michna Béroura (chap. 551 § 20) rapporte deux opinions. A ce sujet même les Achkénazes seront d'accord que c'est autorisé jusqu'à la semaine où tombe le 9 Av (Chaar Hatsioun § 27). 

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Le Choul'han Aroukh (Ora'h 'Haïm chap. 55 § 11) stipule : " un fauteur s'associe dans le compte du Mynian ".

Le Michna Béroura (§ 46) précise que ceci ne concerne que le cas d'un fauteur qui faute " par appétit " c'est à dire parce qu'il n'a pas le courage de s'assujettir aux Mitsvots de la Torah et qu'il veut pouvoir tout s'autoriser. Par contre, s'il enfreint des commandements de la Torah par volonté de mettre D. en colère, quand bien même il ne le ferait qu'au sujet d'une seule faute, il a le statut de non-juif (tant qu'il n'aura pas fait Téchouva) et ne peut donc compter parmi les 10 membres du Mynian.  

Il existe toutefois une Mitsva qui lorsque la personne ne l'observe pas, s'exclue de la communauté bien que ce n'est que par pur appétit. Il s'agit de la Mitsva du Chabbat. De même une personne qui nierait l'existence de D. ou qui renierait l'un des 13 articles de foi du juif. 

Donc logiquement parlant nous serions tentés se répondre à votre question par la négative, à savoir que ces personnes ne s'associent pas au Mynian, et il faudrait absoloument exiger que se trouvent 10 personnes observant le Chabbat pour qu'il y ait Mynian.

Ceci étant, il convient de préciser qu'une telle réponse serait une méconnaissance de la réalité actuelle et de la façon dont les Géants de noter génération considèrent les non-religieux d'aujourd'hui. 

En effet, les grands de la Halakha ont considéré s aujourd'hui la quasi-majorité des juifs non-religieux comme étant des " Tinokot Chénichbou " c'est à dire des enfants qui n'ont jamais entendu parler de judaïsme, de Torah etc. Ces personnes n'ont pas le statut Halakhique d'un non-juif, bien qu'ils n'accomplissent aucune Mitsva. Ceci provient de ce qu'ils ne se conduisent pas de cette façon par mépris mais par ignorance.

Et combien ceci est vrai aujourd'hui où les médias sont tellement mensongers à l'égard des religieux etc. que une personne non religieuse qui n'a pas eu le mérite d'être éduquée dans une maison de Torah c'est normal qu'elle ne s'intéresse pas tellement à la Torah. Ces personnes bien qu'elles n'observent pas le Chabbat, elles peuvent s'associer à un Mynian. Certains décisionnaires ajoutent qu'il suffit que si cette personne était en présence d'un éminent Rav le jour de Chabbat ne fumerait pas devant lui pour que l'on puisse effectivement considérer cette personne comme n'étant pas effrontée mais plutôt ignorante. 

Cf. Chout Bynian Tsion (chap. 23), 'Hazon Ich (Yoré Déa chap. 1 et 2), Yabia Omer (tome 5 chap. 12). Je vous passe de référence parce que j'en ai au moins trente sous la main, et qui vont toutes dans le même sens.

Béhatsla'ha ! 

Tout d'abord Chalom Ouvrakha !

il y a une guemara dans pessahim selon mes vagues souvenir je crois que ses pages 66 :la colère amène l'homme à l'oublie.

Effectivement La Guémara de Pessa'him 66 b et de Chabbat 64 a.

je voudrais savoir svp si Moché c'est énervé pour avoir oublier la halakha pour pouvoir venger l'honneur D'hachem dans parachat Pinhas ?

Non, ce n'est pas évident qu'il a oublié la Halakha qu'on peut tuer Zimri, bien que c'est ce qui semble ressortir des propos de Rachi à la fin de la Parachat Balak (mais les commentateurs tentent de comprendre ces propos de Rachi), et en tout état de cause ce n'est pas dû à une colère de sa part,  il a laissé la tâche à Pin'hass, pour la raison que j'ai expliquée au cours suivant : http://www.torahacademy.fr/pinh-ass-la-reconstruction-du-temple-est-entre-nos-mains...

La Halakha qu'il a oublié, c'est celle de la façon dont on cachérise les ustensiles dont se sont servis les non-juifs. Cette Halakha était d'actualité après la guerre contre Mydian alors qu'ils avaient des ustensiles qui avaient servi pour de la nourriture non Cacher (cf. Rach chap. 31 verset 21). 

et si il cest énervé quand cest-il énervé ?

Il s'est mis en colère dans la Parachat Matot (chap. 31 verset 14), contre les chefs de l'armée qui ont laissé en vie les femmes de Mydian. 

et je voudrais savoir aussi svp on dis que Moché a pleuré est ce que c'est pleur son des pleur de colére suite au dialogue de Zimri Ben Salou?

Je ne vois pas à quel pleur vous faites allusion !

et est ce que quand une personne pleur de colere cela est comparer comme si quil c'était énerver ?

S'il est énervé, c'est un problème. S'il ne l'est pas ce n'est pas un problème. Le pleur ne change à mon avis rien à la donne.

merci de vos réponse kvod harav

Béhatsla'ha !

Chalom !

Au jour d'aujourd'hui les bandages sont autoirsés qu'il s'agisse d'une nouvelle bande ou d'une ancienne, contrairement à l'époque où il y avait une différence dans la Halakha ainsi que le tranche le Choul'han Aroukh au chapitre  328. 

En ce qui est du noeud, vous pouvez selon les Séfarades faire un double noeud si vous comptez le défaire dans les 24 heures, Les Achkénazes et le Ben Ich 'Haï interdisent le double noeud si on peut en tout cas se débrouiller autrement. 

Cf. http://www.torahacademy.fr/peut-on-mettre-un-foulard-le-chabbat_2

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Le Choul'han Aroukh (chap. 162 § 10) tranche que dans le cas d'un pansement il est possible de faire la Nétila sur le reste de la main. 

Toutefois les décisionnaires précisent que ceci n'est valable que s'il est impossible de retirer le pansement par exemple parce que la plaie est encore ouverte ou que le médecin l'interdit formellement. 

Sinon, il faudra le retirer puis le remettre.

Kol touv !

Chalom !

Très bien Baroukh Hachem, merci, et vous, vous allez bien ? 

La Guémara dit que celui qui se met en colère, sa sagesse se retire.

Je pense que l'une des explications que l'on peut donner sans rentrer dans une profonde analyse psychologique, est que la 'Hokhma est une dimension spirituelle. 

La colère est tellement grave comme l'affirme la Guémara (Chabbat 105) qu'elle est assimilée à l'idolâtrie etc. et lorsqu'elle a de l'emprise sur quelqu'un son esprit ne mérite plus d'être respectable de Sagesse qui est tellement spirituelle.
 

Kol touv !

Chalom !

Ecoutez le cours suivant, il traite de votre problème !

http://www.torahacademy.fr/chemot--comment-ne-pas-devenir-tordu

Ps: J'espère qu'on se verra lors de ma tournée !!

bonjour trés cher rav ,

Chalom Rabbénou !

je ne pense qu'a vous chaque jour grace a la photo que on n'a pris ensemble baroukh hachem !

Ca me fait plaisir ! Envoyez la moi alors comme cela moi aussi je penserai à vous ! Mais à vrai dire même sans photo je pense à vous et j'espère que vous ferez les bons choix au sujet de votre bac et des études en Torah etc. etc. 

1) y a t-il une kavana - intention . a avoir en embrassant une mezouza ou tout autre objet kadach - saint . ? moi pour la mezouza je pense dans ma tete les raché tévote - l'acronyme . Chomére Daltote Israel mais est ce que cest bien de faire cela !

La meilleure Kavana à avoir en embrassant est que l'on affectionne les Mitsvots et les choses saintes.

En ec qui est de la Mézouza plus particulièrement, regardez le Rambam à la fin des lois de la Mézouza il indique la Kavana à avoir lorsqu'on franchit la porte et que l'on voit la Mézouza. 

2) pouvez vous s'il vous plait, mettre sur le site la liste des hékhchérim de cacheroute qui sont bien ? ( c à d : de rabanim qui ont de la yrat chamaym - crainte du ciel. dans la cacherout )

Non, c'est trop épineux. 

3)dans quel cas applique t-on qu'il vaut mieux qu'une personne reste béchoguégue plutot qu'elle devienne bémézide en lui faisant une hatraa ? ( dorayeta , dérabanane ...)

Ragardez le Choul'han Aroukh et Michna Béroura dans les lois de Kippour au chapitre 608. Vous aurez une vue d'ensemble sur tout cela. 

4) ma grand mère est depuis maintenant 4 mois à l'hôpital , ma mère a un diplôme d'assistante maternelle elle reçoit des offres mais elle a fait une promesse a sa mère a savoir : quelle la prendrais chez nous a la maison en hospitalisation domicile. on attend la réponse de l'organisme qui se charge de tout cela

la question que ma mère pose est :si ma mere la prend chez nous et s'occupe d'elle apparemment elle sera payer par cette organisme sur quelle voie doit - elle ce pencher ,la garde des bébé ou sa mére ?

Désolé je n'ai pas compris la question. Quel organisme, quelle paye et quelle voie ? 

kol touv et merci pour tout ce que vous faite pour nous !

Avec immense plaisir !

Kol touv !

Chalom !

Une fois que la Méhitsa va être retirée, évidemment que vous n'avez plus le droit de vous trouver dans les parages.

En ce qui est de l'assise mixte, personnellement je ne le serai pas assis. Ceci étant, vous n'êtes pas moi, et je pense que cela dépend beaucoup des personnes avec lesquelles vous allez être assis, de leur tenue vestimentaire etc. ainsi que de votre aptitude à retirer vos lunettes et à ne pas retirer.

Et bien sûr que ce ne peut en aucun cas être un 'Hilloul Hachem que d'expliquer gentiment que vous ne souhaitez pas être assis avec des femmes pour des raisons évidentes de Kédoucha. 

Béhatsla'ha Raba !