Yosseph

Chalom !

Selon la coutume qui veut que l'on ne mange pas de lait après avoir consommé un plat cuit dans du Bassari, ce sera interdit. Or, telle est la coutume ainsi que le Choul'han ARoukh le tranche.

Kol touv !

Chalom Rav

Chalom !

Des casseroles ont été utilisées pour cuire une sauce à base de beurre et il se trouve que le beurre utilisé n'est pas dans la liste du consistoire. Il semble donc qu'il faille cacheriser.

Je suis séfarade.

1) tout les beurres sont ils cacher ? ( Ce qui ressort de la liste est que non )

Le beurre est censé être Cacher mais s'il en figure pas sur la liste c'est sûrement qu'ils y ont ajoutés des éléments non Cacher.

2) faut il attendre 24h sans utilisation avant ?

Pas obligatoire ! Dans le cas où vous êtes pressé mettez du savon ou autre dans l'eau au moment de la Cachérisation. 

3) une utilisation à froid interrompt elle ces 24h ?

Non. 

4) en les trempant dans l'eau bouillante la marmite qui contient l'eau devient elle assour ?

Non !

5) et si je met du liquide vaisselle dans l'eau bouillante faut il attendre 24h ? (Et cela aide t il par rapport à la 3)?)

Ibid. 

6) comment cacheriser un four sans pyrolyse qui aurait cuit dedans un plat mélanger à cette sauce ? Et faut il aussi 24h ?

Allumez le à la chaleur maximale pendant une vingtaine de minutes !

Il vaut mieux attendre 24 heures si possible.

7) quel sefer en hébreu ou en français me conseillez vous sur le sujet ( à part fondement de la cacherout que j'ai déjà étudié mais que je n'ai pas réussis à sortir la halakha dans ces cas là de issoura bala')

Le livre du Rav 'Hazan (Cacherout Hakélim) très bon liv re en hébreu.

C'est urgent car j'ai besoin des réponses pour le plus tôt possible

Merci beaucoup Rav pour tout kol touv

Béhatsla'ha !

Chalom !

Demain matin je donne cours à Bayt Végan Béézrat Hachem !

Donc appelez moi demain matin et je vous dirai où vous pouvez me les montrer !

Sinon vous pouvez venir chez moi en m'appelant avant sur Kyriat Moché !

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

Si le médecin pense que c'est important d'y procéder à ce moment là, il faut l'écouter et procéder à la radio.

Si le médecin dit que cela ne change pas grand chose, il faut remettre cela à son retour en France.

Moadim Lésim'ha !

Chalom Ouvrah'a!

Tout d'abord comme vous le dites il y a le problème de la musique. Cf aussi http://www.torahacademy.fr/musique-3-semaines

Mais en dehors de cela pour la même raison qu'il ne convient pas d'écouter de musique durant ces jours-ci il me semble qu'il ne convient pas non plus de détacher son esprit du deuil en regardant un film.

Au sujet des informations, s'il s'agit d'une longue musique, éteignez la radio jusqu'à ce que commencent les infos. Si c'est quelques secondes uniquement, ayez l'intention de ne pas profiter de cette musique et c'est bon!

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Je ne pense pas que les médecins disent qu'à cause du corona il faut se laver impérativement tous les jours. Je me trompe ??

A mon avis en tout cas, pour les Séfarades la Chavoua Chéhal Bo on peut se doucher à l'eau froide, voire tiède tendant vers le froid et non pas tiède tendant vers le chaud. 

A fortiori avec le corona qu'on pourra être plus indulgent.

Pour les Achkénazim en principe on ne se lave même pas à l'eau froide depuis Roch 'Hodech Av. Mais je pense que dans ce cas, on pourra se montrer plus indulgent et faire comme j'ai écrit au sujet des Séfarades.

En ce qui est du jour du 9 AV, il ne faut pas se doucher. Uniquement se laver les mains avec de l'alcoogel, ou eau et savon cette année à cause du corona.

Béhatsla'ha ! 

Chalom !

1- A Ticha Béav qu'elle le boit avec le minimum de liquide possible.

2- Pour Yom Kippour il faudra rendre l'eau inapte à la consommation en mettant un peu de soda, ou en faisant un thé très fort et étant ainsi inapte à la consommation. 

Kol touv !

Chalom !

1- Oui elle a encore le statut de femme qui allaite.

2- Oui exactement (Choul'han Aroukh chap. 330 § 8).

Kol touv !

Chalom!

Il faut laisser tremper la romaine dans de l'eau savonneuse quelques minutes puis rincez chaque feuille et vérifiez la à l'oeil nu.

Pessah' Cacher Vésaméah'!

Chalom

N'importe quel type de musique mais il faut que cette joie soit en l'honneur de Rabbi Chimon Bar Yoh'aï.

Autrement à partir du 34 au matin, c'est déjà possible d'écouter de la musique pour toute raison, et pas que en l'honneur de Rachbi.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

On m'a déjà posé cette question plusieurs fois, et je n'ai malheureusement encore trouvé aucun Grand Décisionnaire qui en parle de façon explicite.

Toutefois étant donné qu'on a nulle part trouvé de façon explicite qu'il y a une Mitsva d'écouter de la musique le Motsaé Chabbat, et qu'on a nulle part trouvé des allègements à ce sujet, pour le Motsei Chabbat, je ne vois donc aucune raison de se montrer indulgent à ce sujet.

La seule Koula que je connaisse, c'est au sujet de ceux qui ont la coutume d'écouter de la musique pendant la Mimouna, à l'issue de Pessah', on peut se montrer indulgent et leur autoriser d'écouter de la musique.

Cf aussi http://www.torahacademy.fr/fiancailles-et-omer

Enfin, on m'a rapporté au nom du Rav Méïr Mazouz Chlita qu'il autorise d'écouter de la musique le Vendredi après midi après H'atsot. Je me suis ensuite renseigné et cela se trouve dans son livre  Mékor Nééman chapitre 484.

Toutefois c'est clair qu'il s'agit d'un H'iddouch qu'on n'a entendu nulle part ailleurs.

D'après ses propos il est possible qu'on puisse autoriser ceci le Samedi soir avant H'atsot. Simplement lui même écrit qu'il ne l'autorise que Vendredi après midi et non le Samedi soir.

Kol touv.

Chalom !

Il suffit de vérifier qu'il n'y a pas du 'Hamets qui s'y trouve, on ne sait jamais si un enfant y a glissé du 'Hamets. Mais disons qu'en une minute trente vous pouvez avoir opéré à cette vérification. De même durant la Bédika il ne sera pas nécessaire plus que cela. 

C'est donc comme la bibliothèque exactement.

Kol touv !

Chalom !

Ce dont on sait qu'il n'a pas été vendu à Pessa'h est interdit certes Dérabanan, mais interdit.
Maintenant une fois que d'autres marchandises arrivent, il est clair que c'est déjà autre chose !

Kol touv !

Chalom ouvrah'a!

  -Concernant la première question, vous êtes le deuxième à me la poser aujourd'hui.

Il est vrai que le jour de Roch h'odèch il y a lieu de se montrer plus indulgent concernant certaines lois, plus que les autres jours du Omèr ainsi qu'on l'a dit dans le cours http://www.torahacademy.fr/se-couper-les-cheveux-pendant-le-omer au nom du Radbaz, concernant le fait de se raser ce jour de Roch H'odèch précisément. 

toutefois, en pratique on n'autorise pas d'écouter de la musique pour autant.

  -Durant Yom haatsmaout, la plupart des Décisionnaires ont considéré que ce jour ne différait pas des autres jours du Omèr concernant les lois de la musique et de se raser. 

Ceci étant, il est vrai que certains Rabbanim sionistes, ont autorisé ces deux choses ce jour ci.

  -Au sujet de la musique triste, de nombreux Décisionnaires se sont accordés à autoriser. Le Rav Nevantsal Chlita (élève très proche du Rav Oyerbah' zatsal) enseigne au nom du Rav Oyerbah' zatsal qu'il est autorisé d'écouter toute musique classique pendant cette période vu qu'il s'agit d'une musique sans rythme et qui ne réjouie pas particulièrement.

Kol touv.

Chalom

Le livre Vézoth Habérah'a est très complet et clair.

Il rapporte constamment toutes les opinions importantes y compris les décisions des Décisionnaires Sépharades telles que celles du Rav Ovadia Yossef et du Rav Mordeh'aï Eliahou zatsal.

Sur le site il y a déjà pas mal de cours, et nous en rajouterons Béézrat hachèm au fur et à mesure.

Kol touv.

Chalom Ouvrah'a!

Le Choulh'an Arouh' traite de tous ces cas là au chapitre 104.

En un mot, s'il pensait que c'est permis de s'interrompre pour répondre Amen, il reprendra au début de la bénédiction dans laquelle il se trouvait! S'il se trouvait dans les trois premières bénédictions ou les trois dernières, il reprendra au début de celles ci.

S'il a fait exprès de s'interrompre alors que ceci est interdit, il doit bien évidemment se repentir d'avoir commis une telle faute. Ceci étant au sujet de la prière où il se trouve, le Michna Béroura (paragraphe 25) écrit que la Halah'a n'est pas évidente, parce que certains prétendent qu'il faut recommencer le prière depuis le début tandis que d'autres décisionnaires écrivent qu'il faut continuer comme s'il ne l'avait pas fait exprès.

En pratique dans un tel cas, les décisionnaires (Birké Yossef paragraphe 4, Kaf Hah'aïm paragraphe 33 etc. etc.) recommandent de ne pas recommencer depuis le début pour éviter de prononcer des prières inutiles!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il faut tout d'abord savoir ce qu'écrit le Kaf hah'aïm au chapitre 183 au nom de certains Décisionnaires dont le Ben ich h'aï, qu'il est recommandé d'être assis pour la récitation des bénédictions quelles qu'elles soient.

Ceci étant, la seule bénédiction où les Décisionnaires ont écrit de façon explicite qu'elle devait être récitée assis est le Birkat hamazone, ainsi qu'il est écrit "Vésavata" et Tossefot écrivent dans le traité de Brah'ot que ce mot peut aussi être départagé en deux autres mots "véchév ata" c'est-à-dire assis toi à présent.
Et pourtant même au sujet de cette bénédiction (qui est de la Torah d'après l'ensemble des Décisionnaires) le Choulh'an arouh' (chapitre 183 paragraphe 11) écrit qu'une personne qui a mangé en marchant parce qu'elle était pressée, peut réciter le Birkat hamazon en marchant. La raison en est, que nous souhaitons que cette personne puisse réciter sa bénédiction avec ferveur, or, si on l'oblige à s'asseoir alors qu'il est pressé, il risque de réciter sa bénédiction sans aucune ferveur.

De là, une première Halah'a claire. Une personne qui a mangé quoi que ce soit (même du pain et à plus forte raison un aliment dont la bénédiction finale est Boré néfachot), peut tout à fait réciter cette bénédiction en marchant.

Le cas qui va se poser réellement est celui d'une personne qui mange un aliment dont la bénédiction finale est Boré néfachot, tout en étant assise, et qui souhaiterait réciter ensuite sa bénédiction en marchant, peut-elle le faire ou non?

Au sujet du Birkat halazon les Décisionnaires ont explicitement écrit que cela est impossible. La raison en est que tout ce qu'on a autorisé c'est pour une personne pressée, de peur qu'elle perde sa ferveur. Mais une personne qui a mangé assise, cela prouve qu'elle a le temps, et si elle a du temps alors qu'elle prononce son Birkat hamazon assise.

Ceci étant, il me semble que cette Halah'a est propre au Birkat hamazon où il y a une Halah'a explicite qu'il doit être récité en étant assis. Cette Halah'a concerne d'après certains Décisionnaires  (Choulh'an Arouh' Orah' Haïm chapitres 178 et 184 d'après le Gaon de Vilna rapporté dans le Michna Béroura chapitre 183 paragraphe 35) aussi les aliments dont la bénédiction finale est Al hamihya, et telle est la Halah'a (Michna béroura chapitre 184 paragraphe 12) et d'après certains autres Décisionnaires (rapportés aussi dans le Choulh'an Arouh' aux chapitres précités), elle concerne tous les aliments dont la bénédiction finale est Méèn chaloch (inclus les fruits d'Israël etc.).

Mais il est clair que la bénédiction de Boré néfachot ne doit pas nécessairement  être récitée en étant assis.

Il est donc clair qu'il y a une énorme distinction entre le Birkat hamazon où on n'autorise de le réciter en marchant (c'est-à-dire sans être assis) que dans un cas de grande nécessité et entre Boré néfachot où il n'y a pas besoin d'être assis du tout.
Je n'ai pas vu que les Décisionnaires écrivent qu'il y a une différence entre réciter une bénédiction debout sans marcher ou en marchant bien que logiquement il est clair que c'est plus facile à se concentrer lorsqu'on est sur place que lorsqu'on se meut. D'ailleurs le Choulh'an arouh' (orah' haïm chapitre 63 paragraphes 1 et 3) écrit explicitement qu'il est autorisé de réciter la Kriat chéma en se déplaçant, et même le premier verset c'est autorisé d'après la stricte loi, mais il vaut mieux s'efforcer de rester sur place pour le réciter.

Et même concernant  le cas de la prière du Chmoné esré où il faut nécessairement être non seulement debout mais aussi sur place, le Choulh'an Arouh' écrit au chapitre 94 qu'une personne qui est en chemin peut prier en marchant, et ce à nouveau de peur qu'elle n'arrive à se concentrer si on l'oblige à s'arrêter et qu'elle sait qu'elle "perd du temps".

J'ai d'ailleurs déjà vu des Grands Rabbanim qui récitaient des bénédictions tels que achèr yatsar en marchant lorsqu'ils étaient pressés.

En conclusion, il est clair que l'idéal est de s'asseoir ainsi que l'a écrit le Kaf Hah'aïm, ceci étant ce n'est pas du tout obligatoire d'après la stricte loi. Si vous devez de toute façon être debout, il est sûr qu'il vaut mieux être debout et erster sur place que de marcher, mais ce n'est qu'une mesure de piété et pas obligatoire d'après la Halah'a.

Kol touv.

Chalom Ouvrah'a!

Le Choulh'an Arouh' au chapitre 225 paragraphe 6 écrit explicitement qu'un fruit qui ne pousse pas d'années en année, bien que cela fait longtemps qu'une personne précise ne l'a pas consommé, il ne doit pas réciter la bénédiction de Chéhéhyanou.

Il faut connaitre quelques principes à ce sujet:

1. On ne récite pas Chéhéhyanou sur des fruits qui poussent pendant toute l'année. Mais uniquement sur des fruits saisonniers qui ne poussent qu'à certaines périodes de l'année.
2. Les fruits qui ne poussent qu'à une période précise mais qu'on conserve dans des réfrigérateurs et de ce fait, on les trouvent sur le marché durant toute l'année, et on ne peut faire la différence entre ceux de cette récolte et ceux de la récolte de l'année précédente, on ne récite pas cette bénédiction sur ces fruits là.(Michna béroura paragraphe 18 au nom du Chla Hakadoch). Si on arrive à voir à l'aspect des fruits lesquels proviennet de la nouvelle récolte et lesquels proviennent de l'ancienne récolte, on peut réciter Chéhéhyanou sur ceux de la nouvelle récolte. (Michna béroura)
3. Des fruits qui ne poussent qu'à une certaine saison dans le continent dans lequel on se trouve, mais qui sont durant toute l'année importés d'autres pays, et de ce fait durant toute l'année on trouve facilement ces fruits sur le marché, on ne peut désormais plus réciter Chéhéhyanou sur les fruits, même ceux de la nouvelle récolte du fait qu'on est habitué toute l'année à voir ces fruits (Mon Maître le Rav Sternbuh' Chlita dans son livre Téchouvot véhanhagot tome 1 chapitre 201).
4. Des nouveaux fruits qui auraient été macérés ou broyés et cuits en confiture etc. ou en conserve etc. étant donné qu'on ne peut voir à leur aspect si ils sont de la nouvelle récolte ou de l'ancienne, on ne récite pas Chéhéyanou même si on sait qu'ils sont de la nouvelle récolte.

Après toutes ces restrictions il ressort que sur beaucoup de fruits tels que les pommes et les poires etc. on ne peut réciter cette bénédiction vu que durant toute l'année ils se trouvent sur le marché et qu'on ne sait faire la différence entre celles de la nouvelle récolte et celles de la récolte passée.

Ceci étant sur les pastèques, mangues, kiwi etc. on peut réciter la bénédiction vu que ce sont des fruits typiquement saisonniers. 

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

La femme n'a pas d'obligation de réciter toute la Kriat chéma. C'est juste le premier verset qu'elle est tenue de réciter pour recevoir sur elle le joug divin ainsi qu'il est écrit dans le Choulh'an Arouh' (Chapitre 70 paragraphe 1).

Dès lors que l'obligation n'est pas de réciter la Kriat chéma en tant que Kriat chéma mais que c'est une obligation indépendante qui ne vise qu'à recevoir sur soi le joug divin il ressort donc qu'elle n'est pas tenue de réciter cette Kriat chéma (si elle ne récite pas les bénédictions du Kriat chéma) à des horaires précis au même titre que les hommes.

Il ressort donc, aussi qu'elle peut s'interrompre entre cette lecture de la Kriat chéma et la Amida (à nouveau si elle récite son chéma sans les bénédictions, parce que sinon il y a un problème de s'interrompre entre Gaal Israël et le début de la Amida.

Par contre au sujet de la prière de la Amida, elle doit s'en tenir aux temps indiqués par les Décisionnaires.

Kol touv!

Chalom!

Il me semble que 15 minutes pour la Kriat Chéma et la Amida est suffisant. Si vous réussissez à vous plier à ce temps c'est l'idéal de sorte à être dans les temps.

Toutefois si vous sentez que votre prière est bâclée de cette façon là, alors vous pouvez prier dans ces conditions là vu que c'est un cas de grande nécessité.

Kol touv!

Chalom !

Nos Sages affirment que la parole avant l'acte a un pouvoir fou, c'est pourquoi c'est bien avant chaque Mitsva de dire le Léchém Yhoud etc. c'est pourquoi aussi que c'est bien lorsqu'on fait les courses de Chabbat de dire " Likhvod Chabbat " etc.

Toutefois il est possible de dire une fois pour toute que l'étude de toute l'année soit Léilouy Nichmat Untel fils de Une telle etc.

Mais, il reste évident que c'est bien de le répéter de temps à autres !

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

1- Effectivement le Taz (chapitre 40 paragraphe 1) écrit que bien qu'il ne faille pas tenir la Téfila de la tête par les lanières et laisser le boitier suspendre ne serait ce que pendant un instant, il est toutefois autorisé de le faire au moment où on met les Téfilin, parce qu'étant donné que c'est la façon de les mettre cela ne dénote aucune forme de mépris pour ceux ci.

Le Baér hétèv rapporte cet avis au paragraphe 1. Le Mah'atsit hachékèl écrit qu'il est propable que le Magèn Avraham soit lui aussi d'accord avec cette opinion.

Le Michna béroura paragraphe 2 rapporte cette opinion. Il rapporte toutefois aussi une seconde opinion selon laquelle il vaut mieux laisser poser le boitier sur un support au moment où on les met sur la tête de sorte à ce qu'ils ne soient pas en suspend. 

Certains ont la coutume de les mettre sur la tête en tenant avec leur main le boitier, et il est clair que de cette façon là on évite tout problème.

2- On essaye dans la mesure du possible de prier face au mur sans qu'il n'y ait quoi que ce soit qui fasse interruption entre l'homme qui prie et le mur (Choulh'an Arouh' chapitre 90 paragraphe 21). Ce n'est toutefois pas impératif si par exemple vous n'avez pas d'autre endroit où prier etc. (Michna béroura paragraphe 63).

Si l'objet qui fait séparation est spacieux (80 cm de hauteur et 40 cm de large, cet objet ne fait pas écran. (Choulh'an Arouh' et Rama).

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Effectivement, certains grands Rabbanim embrassaient la poussière d'Israël lorsqu'ils avaient le bonheur de s'y rendre pour la première fois.

De la même façon que les Décisionnaires écrivent qu'il est bon d'embrasser la Mazouza à chaque fois qu'on passe devant. De même la Michna Béroura recommande d'embrasser la Matsa le soir du Séder, par preuve de respect et d'attachement aux Mitsvots.

Pour ce qui est du résumé de ces lois, j'essayerai de vous rédiger un tel résumé Bli Nédèr dès que je trouverais le temps, parce que c'est assez long.

On en a déjà très brièvement parlé (du fait de se déchirer les vêtements lorsqu'on arrive au Kotel (mûr des lamentations). Nous mettrons ce cours en ligne Béézrat Hachèm!

Kol touv!

Chalom !

L'essentiel n'est pas combien d'années les études durent. C'est surtout de les faire dans un cadre Cacher, faire un métier qui nous plait, et s'assurer que durant ces années on pourra s'occuper de sa famille etc. comme il faudra.

J'ai été assez bref, faute de temps. 

Kol touv ! 

Chalom.

Dans ses livres Yabia Omère le Rav zatsal traite de la question concernant la récitation du Halèl à Yom haatsmaout, ou sa non récitation, mais il ne parle pas des Tah'anounim.

Toutefois des témoignages disent que dans la synagogue du Rav zatsal la coutume était de ne pas dire les Tah'anounim.

Concernant les autres Rabbanim H'arédim, ils ne sont pas d'avis qu'il ne faut pas réciter les Tahanounim (en tous cas la grande majorité d'entre eux).

Mais à vrai dire je ne pense vraiment pas que ce sujet doit vous travailler outre mesure. 

Kol touv.

Chalom!

Toucher sans aucune intention est autorisé.

Le choulhan Aroukh, (chapitre 21, paragraphe 7) interdit d'embrasser sa grande soeur.
Il précise qu'il s'agit d'un acte d'imbéciles, dégoûtant et d'une interdiction.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Ces choses là sont très relatives.

Par exemple, dans de nombreux endroits la Halah'a nous enseigne qu'au jour d'aujourd'hui nous n'avons plus de vrai Talmid Hah'am.

En effet, l'exemple même du vrai Talmid Hah'am c'est celui qui connait parfaitement tout le Chass au point qu'il maîtrise parfaitement même la Masseh'èt kalla (que généralement personne ne connait).

Toutefois chaque génération connait ses Talmidé hah'amim. Le Rav Ovadia zatsal avait l'habitude de rapporter les Décisionnaires qui écrivent que le critère fondamental permettant de définir qui est vraiment Talmid H'ah'am est de savoir combien il est capable de trancher des halah'ot.

Pour les références essayez de consulter le petit livret rédigé par le Rav Itsh'ak Yossef Chlita intitulé "Igérèt lébén Torah".

Pour connaitre les lois dues au Talmid Hah'am je vous invite à étudier en détail toutes les lois qui sont rapportées dans le Choulh'an Arouh' Yoré Déa au sujet des lois de Talmoud Torah d'une part, et de Kvod Harav (qui se trouvent avec les lois du respect du aux parents).

J'espère avoir été assez complet, bien que je sais que je pourrais encore écrire des pages sur cela.

Kol touv!

Chalom!

Oui, les séances de champoing il ne vaut mieux pas!

Kol touv!

Chalom!

Toucher sans aucune intention est autorisé.

Le choulhan Aroukh, (chapitre 21, paragraphe 7) interdit d'embrasser sa grande soeur.
Il précise qu'il s'agit d'un acte d'imbéciles, dégoûtant et d'une interdiction.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Lorsqu'on finit l'étude d'un traité du Talmud bavli ou Yerouchalmi on fait un repas de joie et de Mitsva qui s'appelle "Siyoum masseh'et".

Concernant les Michnayot: Quand on finit un Sédèr entier. (par exemple, tout Nachim ou tout Nézikin etc.), on procède à ce Syoum. Il y a une discussion entre nos Maîtres quant à savoir si ceci est valable pour une seule Massehèt de Michna. (Chout Beth Israël (Tome 1 chapitre 47) dit de faire. Le Péri Hassadé (Tome 2 chapitre 92) réfute cela.

Celui qui finit l'étude d'un des tomes du Choulh'an Arouh' doit faire une Séoudat Siyoum (Chout Beth Avi).

Celui qui finit l'étude de l'un des livres des H'amicha h'oumché torah, doit faire un Siyoum.

De même celui qui finit l'étude du zohar doit faire un Siyoum.

J'ai été un peu bref parce qu'on pourrait s'étendre beaucoup sur tout ce sujet. A l'occasion béézrat hachèm!

Il existe un livre bien écrit qui s'appelle יומא טבא לרבנן et qui traite de tout ce sujet sur le plan de la Halah'a et de la Hachkafa.

Sinon, vous pouvez consulter les Décisionnaires qui traitent du Siyoum masséhèt pour être dispensé du jeûne la veille de Pessah', ils rapportent ces sujets brièvement. (Cf H'azon Ovadia Pessah', et Piské téchouvot chapitre 470). 

Kol touv.

Chalom !

A Kippour le Chiour de la consommation n'est pas de 30 grammes, ce n'est pas un Cazaït, et lorsqu'on dit 30 grammes on pourrait aussi dire 33 grammes ou 28 grammes, c'est juste une façon de donner une indication de ce que l'on peut se permettre 

Au sujet du Birkat, quelle est votre question ? Que si on mange 26 grammes, il se peut qu'on soit 'Hayav du Birkat selon le volume alors que ce n'est pas le cas selon les grammes ? 

Vous avez raison, c'est pourquoi il faudra essayer de ne pas manger des quantités trop justes de ce genre.

Le Rav Mordékhai Eliahou quand à lui, dit au nom du Ramabam que les vraies quantités sont des grammes et non pas des volumes, que ce soit Lékoula ou La'houmra ! C'est vrai que c'est un 'Hiddouch !

Béhatsla'ha !

Chalom

Je n'ai pas compris pourquoi vous ne souhaitez pas la donner à l'association à laquelle vous étiez sensé la donner.

C'est une boite qui se trouve chez vous ou dans un domaine public?

Ce n'est que vous qui avez mis l'argent dans cette boite ou d'autres personnes aussi?

Lorsque vous avez mis l'argent dans cette boite à l'origine, votre intention était de remettre cet argent à cette association?

Répondez moi à ces différentes questions pour que je puisse vous aider.

Merci.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Vous avez raison, le Choulh'an Arouh' au chapitre 146 des lois relatives à l'idolâtrie écrit qu'il faut lorsqu'on fait allusion à des idolâtries mentionner un nom de mépris.

Certains Décisionnaires tels que le Taz disent que cette loi est valable aussi bien en Israël qu'à l'étranger, et qu'il n'y a aucune raison de faire une différence à ce sujet.

Le Chah' par contre dans le Nékoudot hakessef, écrit que cette loi ne concerne qu'Israël, parce qu'au même titre que c'est en Israël qu'on a le devoir de détruire toutes les idolâtries, au même titre c'est en Israël qu'on doit appliquer cette loi, vu que ces deux lois ent été déduites du même verset.

Kol touv! 

Chalom Ouvrah'a!

Ces choses là sont très relatives.

Par exemple, dans de nombreux endroits la Halah'a nous enseigne qu'au jour d'aujourd'hui nous n'avons plus de vrai Talmid Hah'am.

En effet, l'exemple même du vrai Talmid Hah'am c'est celui qui connait parfaitement tout le Chass au point qu'il maîtrise parfaitement même la Masseh'èt kalla (que généralement personne ne connait).

Toutefois chaque génération connait ses Talmidé hah'amim. Le Rav Ovadia zatsal avait l'habitude de rapporter les Décisionnaires qui écrivent que le critère fondamental permettant de définir qui est vraiment Talmid H'ah'am est de savoir combien il est capable de trancher des halah'ot.

Pour les références essayez de consulter le petit livret rédigé par le Rav Itsh'ak Yossef Chlita intitulé "Igérèt lébén Torah".

Pour connaitre les lois dues au Talmid Hah'am je vous invite à étudier en détail toutes les lois qui sont rapportées dans le Choulh'an Arouh' Yoré Déa au sujet des lois de Talmoud Torah d'une part, et de Kvod Harav (qui se trouvent avec les lois du respect du aux parents).

J'espère avoir été assez complet, bien que je sais que je pourrais encore écrire des pages sur cela.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Je vais être honnête avec vous en vous disant qu'il me semble que c'est extrêmement difficile de retenir les Halah'ot d'un livre tel que le Yalkout Yossef.

En effet, la mémoire de l'homme est assez restreinte, ce n'est pas un ordinateur ou une encyclopédie. Généralement on réussit à retenir ce qu'on a bien compris.

Or, ce genre de livres de résumés qui n'expliquent généralement pas le pourquoi et le comment, ne permettent pas d'accéder à une bonne compréhension suffisante pour retenir.

Il me semble que la seule façon de bien retenir est d'étudier la Halah'a depuis les fondements de la Gémara et des Richonim en comprenant bien les principes de base desquels découlent toutes les lois. De cette façon vous pourrez retenir à très long terme les Halah'ot de façon très précise.

C'est au passage ce que j'essaye de faire dans les cours de Halah'a que je donne. Je ne me contente pas de dire ceci est permis et ceci est autorisé, mais je m'efforce de toujours apporter les fondements et d'expliquer comment la Halah'a découle de ces fondements et comment compte tenu des raisons explicitées, la Halah'a va différer entre un cas et un autre.

De nombreux élèves m'ont fait part du fait que cette façon d'enseigner la Halah'a est assez novatrice, et qu'elle permet vraiment non seulement de comprendre, d'apprécier la logique implacable de la Halah'a mais aussi de bien retenir cette Halah'a!

Béhatslah'a!

Chalom!

C'est totalement déconseillé vu que selon de nombreux décisionnaires règne dans les toilettes un vent d'impureté, et que c'est donc interdit d'y introduire des aliments.

C'est dans ce sens que vont trancher le Ben Ich H'aï, et le Rav Ovadia Yossef zatsal dans Yabia Omer (Tome 4 Orah' H'aïm réponse 5 paragraphe 3).

En cas de grande nécessité (comme si vous n'avez pas d'autre endroit etc. il est possible de se reposer sur les propos du Or Letsion qui écrit que dans les toilettes de nos jours de seule la zone qui se situe au dessus de l'espace des toilettes est concernée par cette impureté et non toute la salle des toilettes. 

En particulier si ce ne sont des toilettes dans lesquelles on ne fait qu'uriner.

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Compatible avec une Yéchiva classique Litaïte c'est pas évident.

Mais vous pouvez lors de votre Iyoun mettre un accent particulier sur l'étude du Roch, du Rif, et du Rambam, et  à la fin de votre Iyoun étudier le Beth Yossef puis le Choulh'an Arouh' et ses commentateurs. 

D'après le Rav Sternbuh' avec lequel j'ai longuement parlé de ce sujet, il suffit d'une heure journalière d'étude de Halah'a (avec le Beth Yossef etc.) pour pouvoir au fur et à mesure acquérir de nombreuses connaissances en matière de Halah'a.

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Etudiez bien le Choul'han Aroukh (Yoré Déa chap. 145 § 3) vous verrez que dans certains cas c'est autorisé, mais attention si les idoles ont été retirées. Tant qu'elle s'y trouvent c'est interdit.

Kol touv ! 

Chalom

Il est vrai que le Or Letsion tomes 2 et 3 ont été rédiges par les élèves du Rav Abba Chaoul zatsalet ils prétendent que telle était l'opinion du Rav lui même!

Cependant il est clair qu'il n'y a aucune ressemblance entre le contenu du tome 1 rédigé par le Rav lui même et les deux seconds tomes.

Il est clair qu'on peut se fier a ces écrits vu que les élèves du Rav sont eux même des Talmide Hahamim, simplement il faut savoir quel crédit donner a ces écrits, c'est a dire que ce n'est pas forcement l'avis du Rav, mais c'est peut être l'avis des élèves ou l’interprétation des élèves de ce que le Rav a pu dire de son vivant.

Effectivement c'est toujours difficile à faire parler un Rav après sa mort, surtout que sur certains points le Rav lui même a quelques fois change d'avis etc.

Le Rav Ovadia Yossef dans Yabia Omer a une longue Techouva dans laquelle il remet en questions un certain nombres de points de ce qui y est écrit.

Kol Touv et a bientôt!

Chalom!

Oui, c'est vrai!

Si la mère a un prénom qui n'a rien de juif, ce n'est pas grave, cela ne dérange pas, c'est tout de même son nom.

Si elle a un diminutif, il vaut mieux tout de même mentionner son vrai prénom.

Kol touv.

Chalom !

L'essentiel n'est pas combien d'années les études durent. C'est surtout de les faire dans un cadre Cacher, faire un métier qui nous plait, et s'assurer que durant ces années on pourra s'occuper de sa famille etc. comme il faudra.

J'ai été assez bref, faute de temps. 

Kol touv !