Bonjour Rav,
Avant son mikvé, lors de ces préparatifs ma femme se brosser minutieusement les cheveux ( lors de sa préparation à la maison puis une nouvelle fois avant d'entrée dans le mikvé ) .
J'ai lu qu'il fallait utilisé absolument un peigne .
Je suis donc inquiet tout les mikvé de ma femme sont donc tous invalide has véchalom ?
Kol tov
Chalom Ouvrakha !
Il est vrai que le terme employé par le Choul'han Aroukh (chap. 199) est " Masrek " que l'on gtraduit généralement par peigne, et telle est la coutume généralement, mais il semble évident qu'avec une brosse oà cheveux dont les dents sont collées l'une à l'autre il n'y a pas de problème (bien que je le répète il faille a prioiri faire avec un peigne).
Ce que viennent les déciisonnaires exclure lorsqu'ils mentionnent le peigne c'est principalement un brossage avec les doigts uniquement, et même dans ce cas là, a posteriori, les décisionnaires rendent valable cette immersion (cf. Badé Hachoul'han au début du chap. 199).
Donc, pas de souci.
Je profite de cette occasion pour rappeler à toutes que le brossage doit se faire alors que les cheveux sont humides, je rappelle aussi que l'eau utilisée pour la 'Hafifa des cheveux doit impérativement être chaude.
Kol touv !
Bonjour Rav,
Ma femme enceinte à perdu son bouchon muqueux accompagné de sang .
Aucun rav de ma yeshiva étant disponible , j'ai demandé à un membre de ma famille très religieux et calé ( petit fils du rav Amar ) et il m'a dit que cela ne rendait pas nidda .
J'ai par ailleurs vu sur cheela https://cheela.org/node/77013 et https://www.cheela.org/node/70213 que la rabbanit disait que cela ne rendait pas nidda non plus .
Je me suis donc permis d'allez avec ma femme en vérifiant qu'elle n'a pas vu de sang ni au toilette ni sur ces sous vertement etc comme en période de pureté .
Mais cependant j'ai vu un avis qui disait qu'une femme perdant son bouchon muqueux est nidda .
Je suis très stressé depuis car je suis entièrement respectueux de la Torah et des mitvoths je suis au Kollel et j'ai une énorme peur d'avoir fauté .
Merci de m'aider Kol tov
Chalom Ouvrakha !
Après tant d'avis je ne pourrai que vous donner un avis qui ira dans un sens ou dans un autre.
Je ne sais donc pas si cela vous rassurera.
Si le bouchon était sans sang, il ne rend pas la femme Nidda.
S'il était accompagné de sang, on considérera ce sang comme tout " Kétém " c'est à dire que s'il mesure moins qu'un Griss ou s'il se trouve sur un tissu coloré ou sur un support n'étant pas apte à recevoir l'impureté, elle reste pure.
Si la taille était plus grande qu'un Griss et que ceci a été trouvé sur un vêtement blanc et apte à recevoir l'impureté (comme une culotte et à l'exclusion d'un papier toilette par exemple ou de la cuvette des toilettes), elle deviendra Nidda.
C'est dans ce sens que je tranche la Halakha. J'ai vu aussi que c'est dans ce sens qu'a été le Or'hot Tahara (chap. 19 § 17) du Rav Ayzik Kahana chlita l'un des grands Moré Horaa de Jérusalem Ashkénaze. C'est aussi dans ce sens que va le Rav Yaakov Chéknazi chlita.
Le Rav Roubin chlita (dans le Maré Cohen chap. 1 § 6) rapporte au nom de certains grands décisionnaires que la femme est Nidda depuis ce moment là. Si quelques jours sont passés et qu'elle n'a toujours pas accouché elle devra consulter un Rav.
Dans votre cas de figure si après que le bouchon soit tombé vous avez été vérifié que les contractions n'ont pas commencé et que le processus d'accouchement n'était pas encore commencé, vous n'avez pas besoin de vous faire de souci.
Kol touv !
Bonjour Rav,
Je suis marié depuis environ 1 an et demi b"h.
Durant 4 mois après le mariage ma femme prenait la pilule et ces règles tombaient toujours à la fin de sa plaquette de pilule .
Par exemple elle prenait son dernier cachet le lundi 1er Nissan ( je dis cela au hasard ) le 2 Nissan au matin en posant son pied au sol elle avait ces règles .
Ainsi nous nous séparions la nuit du 1er Nissan au 2 Nissan car nous savions que dès le 2 elle serait impure .
Par la suite ma femme est tombé enceinte b"h et j'ai une jolie petite fille de 2 mois .
Ma femme vient de se tremper au mikvé et j'ai eu l'autorisation de mon Rav pour qu'elle prenne la pilule 6 mois pour qu'elle se repose ( je précise qu'elle n'allaite pas ) .
Je voulais savoir comment nous devrions effectué les Onot .
Considérons nous qu'à la fin de sa plaquette elle aura ces règles( comme avant son accouchement ) et donc la séparation ce fera la journée ( ou nuit) d'avant ?
ou dois-je calculer avec les 3 onots ( bénonite, aflaga et Hodech )?
Merci de votre aide, Kol tov
Chalom !
Tout d'abord Mazal Tov ! Qu'elle devienne une grande Tsadékét et qu'elle soit toujours en bonne santé etc.
Il s'agit de la même pillule (même marque et même comprimés) ou d'une autre ?
Bonjour Rav,
Ma femme a accouché il y a 5 mois et elle n'a eu qu'un mikvé depuis son accouchement.
Elle a effectuée son Hefsek Tahara dimanche, à fait sa bédika de J1 lundi , mardi, mercredi elle a eu une tâche que j'ai montré à un Rav spécialisé à Paris qui nous à dit qu'elle était kasher mais qu'au vue de la situation ( accouchement , nouvelle pilule etc..) il nous conseillait de faire juste le hefsek une bedika le J1 et une le J7 en attendant que le corps de ma femme se reconstruise.
Du coup depuis mercredi ma femme ne fait plus de bédika et on attend dimanche pour sa dernière bédika.
Le problème est qu'elle a beaucoup d'hémorroïdes et saigne de ces hémorroïdes .
Elle à vu du sang en allant au toilette et c'est essuyé à endroit des hémorroïdes et à trouver du sang .
Elle a ensuite vérifié de son vagin et n'a rien trouvé comme sang .
Pouvons nous nous basé sur le fait que le sang vient très très probablement des hémorroïdes ou devons nous considérer qu'il s'agit d'une perte de sang de lutérus ??
Merci
Chalom !
1- Vous pouvez vous reposer sur cela si les hémoroïdes saignent.
2- La prochaine fois quelle voit du sang qu'elle ne fasse pas de vérification interne.
3- Qu'elle ne regarde pas le papier aux toilettes.
4- Si elle voit du sang le jour J7 sur sa Bdika, qu'elle n'oublie pas de dire au Rav qu'elle souffre d'hémoroïdes.
Béhatsla'ha et Mazal Tov !
Bonjour Rav,
La gynécologue de ma femme lui a prescrit exceptionnellement d'enchainer deux plaquettes de pilule ce mois ci ( raison médical ) doit - elle faire une bédika du jour ou normalement après l'arrêt de sa pilule elle a ces règles ou pas ?
Sachant qu'elle ne les aura pas ce mois ci du fait qu'elle continue sa pilule .
Quand elle termine sa dernière pilule ( un lundi par exemple ) elle a ces règle le mercredi . Doit-elle faire une bedika ce mercredi malgré qu'elle continu la pilule ?
Kol toi j'attends de vous nouvelles en espérant vous voir rapidement en France BZH
Chalom !
Non, ce n'est pas la peine de faire une Bédika.
Je pense que ce sera difficile de faire un cours à Charenton parce que tous les soirs sont déjà remplis, mais je vous attend au moins à la grande soirée TorahAcademy qui sera organisée le Mardi soir 6 Février au 17ème. Les détails viendront sur le site Béézrat Hachem !
Kol touv !
Bonjour Rav,
Le Iyoun pour une femme se trempant au mikvé peut-il être effectué par la balanite ?
Ma femme par exemple me dis qu'avant de se tremper la balanite la regarde ( sous les pieds , ongles , passe sa main etc ) sur le corps de ma femme .
Est ce bien considéré comme un Iyoun
Merci kol tov
Chalom !
Comme toute obligation, celle ci peut être faite par l'intermédiaire d'un envoyé.
Pour ne prendre que deux exemples :
1- Une femme aveugle pourra se tremper au Mikvé. C'est une tierce personne qui lui fera le Iyoun.
2- La zone du dos ne peut pas être inspectée par la femme elle même, et pourtant l'immersion est valable. On se repose sur trois choses :
- Le fait que la Balanit l'inspecte.
- Le fait qu'avec ses bras elle essaye de laver et frotter son dos.
- Le fait que la femme ayant fait une bonne 'Hafifa on considère que c'est certain que le dos est lui aussi propre.
Pour toutes ces raisons si la Balanit la regarde c'est a posteriori suffisant.
Mais il est clair que l'idéal est qu'en dehors de cela elle aussi jette un coup d'oeil rapide sur son corps pour être certaine qu'elle est complètement propre.
Kol touv !
Bonjour Rav,
J'ai lu plusieurs réponses ou a posteriori ( et contre l'avis de beaucoup de décisionnaires ) un Hefsek fait ( par mégarde ) entre la Shkia et Tzets Hakohavim serait bon bédiavad ( Rav Ovadia Yossef et Rav Moshe Feinstein )
Est ce uniquement s'il est fait 13.5m zmaniot après la shkia ( tout comme l'horaire pour prier minha ) ou ce " heter " est t-il valable jusqu'à quelques minutes avant la sortie des étoiles ?
Kol tov
En général on préfère ne se reposer dessus que pendant les 13 minutes et demie.
Mais dans certains cas d'immense nécessité on se repose sur els décisionnaires selon lesquels Ben Hachemachot est plus long.
Kol touv !
Bonjour Rav,
Avant son mikvé, lors de ces préparatifs ma femme se brosser minutieusement les cheveux ( lors de sa préparation à la maison puis une nouvelle fois avant d'entrée dans le mikvé ) .
J'ai lu qu'il fallait utilisé absolument un peigne .
Je suis donc inquiet tout les mikvé de ma femme sont donc tous invalide has véchalom ?
Kol tov
Chalom Ouvrakha !
Il est vrai que le terme employé par le Choul'han Aroukh (chap. 199) est " Masrek " que l'on gtraduit généralement par peigne, et telle est la coutume généralement, mais il semble évident qu'avec une brosse oà cheveux dont les dents sont collées l'une à l'autre il n'y a pas de problème (bien que je le répète il faille a prioiri faire avec un peigne).
Ce que viennent les déciisonnaires exclure lorsqu'ils mentionnent le peigne c'est principalement un brossage avec les doigts uniquement, et même dans ce cas là, a posteriori, les décisionnaires rendent valable cette immersion (cf. Badé Hachoul'han au début du chap. 199).
Donc, pas de souci.
Je profite de cette occasion pour rappeler à toutes que le brossage doit se faire alors que les cheveux sont humides, je rappelle aussi que l'eau utilisée pour la 'Hafifa des cheveux doit impérativement être chaude.
Kol touv !
Bonjour Rav,
Le Iyoun pour une femme se trempant au mikvé peut-il être effectué par la balanite ?
Ma femme par exemple me dis qu'avant de se tremper la balanite la regarde ( sous les pieds , ongles , passe sa main etc ) sur le corps de ma femme .
Est ce bien considéré comme un Iyoun
Merci kol tov
Chalom !
Comme toute obligation, celle ci peut être faite par l'intermédiaire d'un envoyé.
Pour ne prendre que deux exemples :
1- Une femme aveugle pourra se tremper au Mikvé. C'est une tierce personne qui lui fera le Iyoun.
2- La zone du dos ne peut pas être inspectée par la femme elle même, et pourtant l'immersion est valable. On se repose sur trois choses :
- Le fait que la Balanit l'inspecte.
- Le fait qu'avec ses bras elle essaye de laver et frotter son dos.
- Le fait que la femme ayant fait une bonne 'Hafifa on considère que c'est certain que le dos est lui aussi propre.
Pour toutes ces raisons si la Balanit la regarde c'est a posteriori suffisant.
Mais il est clair que l'idéal est qu'en dehors de cela elle aussi jette un coup d'oeil rapide sur son corps pour être certaine qu'elle est complètement propre.
Kol touv !
Bonjour Rav,
La gynécologue de ma femme lui a prescrit exceptionnellement d'enchainer deux plaquettes de pilule ce mois ci ( raison médical ) doit - elle faire une bédika du jour ou normalement après l'arrêt de sa pilule elle a ces règles ou pas ?
Sachant qu'elle ne les aura pas ce mois ci du fait qu'elle continue sa pilule .
Quand elle termine sa dernière pilule ( un lundi par exemple ) elle a ces règle le mercredi . Doit-elle faire une bedika ce mercredi malgré qu'elle continu la pilule ?
Kol toi j'attends de vous nouvelles en espérant vous voir rapidement en France BZH
Chalom !
Non, ce n'est pas la peine de faire une Bédika.
Je pense que ce sera difficile de faire un cours à Charenton parce que tous les soirs sont déjà remplis, mais je vous attend au moins à la grande soirée TorahAcademy qui sera organisée le Mardi soir 6 Février au 17ème. Les détails viendront sur le site Béézrat Hachem !
Kol touv !
Bonjour Rav,
La gynécologue de ma femme lui a prescrit exceptionnellement d'enchainer deux plaquettes de pilule ce mois ci ( raison médical ) doit - elle faire une bédika du jour ou normalement après l'arrêt de sa pilule elle a ces règles ou pas ?
Sachant qu'elle ne les aura pas ce mois ci du fait qu'elle continue sa pilule .
Quand elle termine sa dernière pilule ( un lundi par exemple ) elle a ces règle le mercredi . Doit-elle faire une bedika ce mercredi malgré qu'elle continu la pilule ?
Kol toi j'attends de vous nouvelles en espérant vous voir rapidement en France BZH
Chalom !
Non, ce n'est pas la peine de faire une Bédika.
Je pense que ce sera difficile de faire un cours à Charenton parce que tous les soirs sont déjà remplis, mais je vous attend au moins à la grande soirée TorahAcademy qui sera organisée le Mardi soir 6 Février au 17ème. Les détails viendront sur le site Béézrat Hachem !
Kol touv !
Bonjour Rav,
J'ai lu plusieurs réponses ou a posteriori ( et contre l'avis de beaucoup de décisionnaires ) un Hefsek fait ( par mégarde ) entre la Shkia et Tzets Hakohavim serait bon bédiavad ( Rav Ovadia Yossef et Rav Moshe Feinstein )
Est ce uniquement s'il est fait 13.5m zmaniot après la shkia ( tout comme l'horaire pour prier minha ) ou ce " heter " est t-il valable jusqu'à quelques minutes avant la sortie des étoiles ?
Kol tov
En général on préfère ne se reposer dessus que pendant les 13 minutes et demie.
Mais dans certains cas d'immense nécessité on se repose sur els décisionnaires selon lesquels Ben Hachemachot est plus long.
Kol touv !
Bonjour Rav,
J'ai commencer un nouveau travail il y a quelques jours .
Je ne sais pas si je serai en mesure de poser des congés pour Hol Hamoed Pessah ( pour les Yamim tovims pas de problème ) .
Trois raisons :
1) Je viens d'arrivé et ma responsable peut refuser 1 semaine de congé après un mois dans l'entreprise .
2) Je n'ai pas assez de congé pour poser tous les Hol Hamoed + tous les Yamim tovim & fêtes je privilégie donc ces derniers Suis-je dans le cas de davar Haaved ?
Si oui quelles sont les restrictions que je pourrai faire au travail pour minimiser les "dégâts" .
Je précise que je suis Ingénieur et travail uniquement sur ordinateur . Cette situation me pèse beaucoup car je sais que celui qui travail Hol Hamoèd eyn lo helek leolam aba or je suis religieux
Merci Rav Kol tov
Chalom Ouvrakha !
Si vous riquez de vous faire renvoyer si vous refusez de travailler, c'est sûr que c'est Davar Haavéd et vous pouvez travailler normalement.
Pourquoi Ein Lo 'Hélék Léolam Haba ??
Kol touv !
Bonjour Rav, J'ai effectué il y a un an une guérout Lehoumra du fait que ma mère est convertie en bas âge par un Beth Din Orthodoxe mais n'est pas religieuse .
Etant assez froum j'ai préféré effectuer une gérout Lehoumra et ayant 25 ans et étant marié le Rav ma refait des kiddouchines .
Cependant je continue toujours à me stresser énormement et me dire " imagine j'avais une hatsitsa pour le mikvé " ou choses semblables .
Je pense m'être bien préparé pour le mikvé , je me suis douché à l'eau chaude , j'ai peigné mes cheveux , je me suis regardé longtemps dans le miroir pour voir que j'avais rien de particuliers etc..
Mais les lois des hatsitsa sont tellements fines et nombreuses que j'angoisse à me dire que forcément j'ai surement dû oublier quelque chose .
A tel point que je pense refaire encore une gérout lehoumra mais cela me crée des problèmes avec ma femme qui n'accepte pas d'être "re marier " une troisième fois avec moi ( déjà que la première fois elle n'avais pas forcément apprécié ma démarche ) .
Je me pose tout un tas de question étant un homme assez poilus je me dis " forcément ya peu être un poil qui était sur mon corps " ou ayant des dents avec du tartre je me dis " peu être que sur un dent j'avais beaucoup de tarte ce qui à fait hatsitsa" ou "peu être j'avais mal coupé mes ongles etc.." .
Je rentre dans une espèce de paranoia dû au hatsitsot , et cela impact ma vie religieuse ( je suis en yéshiva pour 6 mois mais des fois dans mon limoud j'y pense et ça m'angoisse ) .
Je suis tellement makpid dans ma vie religieuse que je me dis que peu être il y a un an j'avais pas assez bien regardé . Sur le moment de mon mikvé en sortant j'était très content , j'ai jamais trouvé de hatsitsa en sortant mais je reste dans le " c'est possible mais je l'ai pas vu " .
Je sais que la Torah à été donné aux hommes et pas aux anges mais je trime dans le limoud , je m'abandonne totalement à Hachem en acceptant un travail moins bien rémunéré mais qui me permet d'étudier 2/3h par jour etc .
Et j'ai peur qu'au jugement final on me dise " ah bah regarde t'avais une hatsitsa ici c'est mort t'es pas juif " .
J'en ai parlé à mon Rav qui m'a dit de me rassurer en me disant que toutes ces hatsitsots n'était " que" dérabannane et que j'ai fait le maximum et que quoi qu'il arrive ma tvila est valable déoraita . (
Il ne dit pas cela pour relativiser importances des hatsitsot derabbanane has véchalom mais pour me rassurer ) .
Maintenant j'en arrive à un point ou je me pose 100 questions ( est ce que je me suis brossé les dents ? ai je assez vérifié ici ? N'ai je pas trop plier les genoux quand j'était dans l'eau ? ) toutes sortes de questions qui me perturbent .
Merci de m'éclairer je vous souhaite un bon Kippour et un gmar hatima tova
Chalom Ouvrakha !
Dans la course en cette veille de Kippour... débordé par les coups de fils etc.
Sur la plan de la Halakha votre immersion était bonne, cela ne fait aucun doute, les prioblèmes que vous soulevez sont non seulement d'ordre Rabbinique mais pour beaucoup d'entre eux sûrement pas en mesure de renrdre une immersion impropre.
Sur le plan psychologique, si c'est vraiment exagéré et permanent chez vous, à ce genre de problèmes je ne connais après avoir bien prié uniquement le remède d'un traitement psychologique qui en quelques mois vous libérera de ces " pensées obsessives ".
Bonjour Rav,
Je pars dans le sud de la France pour pessah .
J'ai vu votre video sur la fait de quitter sa maison à pessah et vous apporter 2 solutions dont une meilleure que l'autre
Cependant dans mon cas et contrairement à votre exemple je pars le 13 nissan au matin (et non le 14). Donc de ce fait étant dans les 30 jours je dois faire normalement une bedika chez moi (sans brakha) .
Mais logiquement il devrait dans mon cas être bon à priori de vendre TOUTE ma maison puisque de toute facon je ferai la bedika le 13 nissan au soir dans la maison que j'aurai loué (S.A 437) étant donné que j'aurai les clefs avant le 14
Donc je n'ai pas le soucis de "rater" la mitvah de bedika
Pouvez vous me confirmer que je peux donc vendre toute ma maison ne pas faire la bedika le 12 au soir (car je vais tout vendre) et bien la faire le 13 au soir dans la maison louée ? (Je parle ici selon l'avis de la majorité des décisionnaires qui considèrent qu'on ne fait la bedika que dans un endroit qui nous appartient PENDANT pessah)?
Deuxieme question : Comment ne serait ce pas une arama car au final je ne vais pas donnée mes clefs au beth din qui sera mon chaliah pour réaliser la vente
Donc même si je fais une vente belev chalem concretement le goy ne pourra pas rentrer chez moi s'il le souhaite Merci
Chalom Ouvrakha !
1- Je confirme, bravo vous avez bien compris mon cours !
2- Si le Goy s'adresse au Beth Din pour qu'on lui ouvre, le Beth Din s'adressera à vous et vous demandera de venir lui ouvrir.
Béhatsa'ha et Pessa'h cacher Vésaméa'h !!
Bonjour Rav,
Au travail je suis confronté à la problématique suivante : Je mange avec mes collègues ( tous non juifs ) je ramène bien évidemment mon plat avec mes couverts .
Pour faire la Brakha je met rapidement et discrètement ma manche sur ma tête .
En revanche le problème est pour la brakha Aharona et notamment Meyn Chaloch quand je mange des pâtes .
Est il possible , si je pense a la cantine , à manger mes pates dans tous l'immeuble ( chose que je ne ferai pas ) faire tranquillement après manger la brakha Aharona a mon bureau qui est 2 étage au dessus ( même bynian )?
De même pour Minha je me met dans un petit parc tranquillement et parfois il pleut . Est il possible de faire minha assis dans ma voiture ? ( je pense que oui bédiavad d'après le Rambam Hilkhot Tefila 5,2 .
Merci de votre aide
Chalom !
Pour Al Hamy'hia, l'idéal est de la réciter à l'endroit où on a mangé. Par contre ce que vous pouvez faire c'est manger la dernière bouchée dans votre bureau et alors faire la Brakha A'harona là bas.
Sinon vous pouvez faire comme si vous voulez vous assoupir quelques secondes et poser votre tête entre vos bras et poser votre manche sur votre tête et personne ne sera que vous êtes non pas en train de vous reposer mais de réciter une Brakha.
Pour Min'ha c'est autorisé assis si votre concentration sera meilleure et que vous n'avez pas d'autre choix.
Kol touv !
Bonjour Rav,
Au travail je suis confronté à la problématique suivante : Je mange avec mes collègues ( tous non juifs ) je ramène bien évidemment mon plat avec mes couverts .
Pour faire la Brakha je met rapidement et discrètement ma manche sur ma tête .
En revanche le problème est pour la brakha Aharona et notamment Meyn Chaloch quand je mange des pâtes .
Est il possible , si je pense a la cantine , à manger mes pates dans tous l'immeuble ( chose que je ne ferai pas ) faire tranquillement après manger la brakha Aharona a mon bureau qui est 2 étage au dessus ( même bynian )?
De même pour Minha je me met dans un petit parc tranquillement et parfois il pleut . Est il possible de faire minha assis dans ma voiture ? ( je pense que oui bédiavad d'après le Rambam Hilkhot Tefila 5,2 .
Merci de votre aide
Chalom !
Pour Al Hamy'hia, l'idéal est de la réciter à l'endroit où on a mangé. Par contre ce que vous pouvez faire c'est manger la dernière bouchée dans votre bureau et alors faire la Brakha A'harona là bas.
Sinon vous pouvez faire comme si vous voulez vous assoupir quelques secondes et poser votre tête entre vos bras et poser votre manche sur votre tête et personne ne sera que vous êtes non pas en train de vous reposer mais de réciter une Brakha.
Pour Min'ha c'est autorisé assis si votre concentration sera meilleure et que vous n'avez pas d'autre choix.
Kol touv !
Bonjour Rav,
Je viens de déménager dans un appartement en location .
Je sais que j'ai 30 jours pour poser les mézouzot et c'est seulement au bout de ces 30 jours que je pourrai faire la Brakha .
En revanche j'ai eu les clefs le 1er février mais n'est commencé à y habiter que le 25 février .
Dois je compter les 30jours à partir du 1er février ou du 25 ?
Merci kol tov
Chalom !
Effectivement, posez les au bout de 30 jours avec Brakha (cf. Choul'han Aroukh chap. 286).
On compte à partir du moment où on habite réellement.
Kol touv et Ychouv Tov !
Shalom Rav,
Je suis employé dans une société mais je le statut de "cadre autonome" c'est à dire que je ne suis pas payé à l'heure de présence mais à la journée .
Je n'ai pas d'horaire imposé ( hormis le fait d'être présent globalement aux horaires ou l'équipe est présente ) .
Je peux , lorsque j'ai peu de travail arrivé à 10h et partir à 16h comme arrivé à 8h et partir à 23h et je suis payé le même prix .
En tant que cadre autonome l'entreprise ne me paye pas à l'heure ni à la tache effectué mais par du principe qu'en fonction de mon travail je dois l'adapter moi même .
Il en est de même pour les pauses , je n'ai pas de temps de pauses pré définies .
Dans ce contexte m'est-il permis lorsque j'ai peu de travail , ou des trous dans la journée de lire des paroles de Torah , de regarder un cours etc..?
Kol tov
Chalom !
Oui sans problème si cela ne fait pas de 'Hilloul Hachem 'Hass Véchalom !
Cf. aussi http://www.torahacademy.fr/travail-questions-diverses
Kol touv et Béhatsla'ha !!
Bonjour Rav ,
Je suis salarié d'une entreprise dans laquelle je badge pour avoir un travail horaire ( je suis obligé de faire 8h par jour ) .
J'ai parfois "tricher" sur les horaires en badgant au bout de 30 minutes de pause alors que je suis resté 1h par exemple . Ceci c'est produit plusieurs fois .
J'ai de plus fait des heures supplémentaires ( 35 ) mais qui ne peuvent pas compenser ma triche car elles seront payées à la fin de mon contrat . Je souhaiterai réparer cette erreur et il ne me reste que 2 mois dans cette entreprise . J'ai pensé à faire l'inverse de ce que je faisais : A savoir badger à 17h30 mais resté au travail jusqu'à 18h30 par exemple afin de "rembourser" une heure de travail à mon employeur . Je ne pourrai pas tout rembourser je pense mais je souhaiterai faire au mieux.
Merci de vos conseil
Chalom!
Il s'agit d'une société dont le directeur est juif ou pas?
Merci
Bonjour Rav,
Tout d'abord Hanouka smalah à vous et votre famille .
J'habite actuellement avec ma femme de façon temporaire chez ma belle mère .
Ma femme est normalement à la maison mais depuis 2 semaines elle à commencée une formation qui dure un mois .
Je me retrouve donc seul à la maison avec ma fille (de 3 mois ) et ma belle mère est souvent présente .
Je suis en général enfermé dans ma chambre en train d'étudier mais je me suis dis que j'était surement dans une situation de Yihoud ( j'y es pensé ce matin ) .
De ce fait , j'ai entre ouvert un peu la porte d'entré de l'appartement qui donne sur des escaliers.
Je précise que ma femme ne travaille pas dans la même ville et que mon beau père non plus .
Suis-je en situation de Yihoud et comment devrais je procéder pour m'en sortir durant ces 2 semaines qui restent ?
Je vous remercie de votre aide Kol tov
Chalom Ouvrakha !
Oui il s'agit effectivement d'une situation de Y'houd !
Pire encore, la Halakha considère qu'on entretient souvent une certaine familiarité avec sa belle-mère et ceci rend les lois du Y'houd encore plus compliquées.
Selon certains laisser la porte entre ouverte sur le domaine public n'est pas suffisant dans le cas où on se trouve avec ce genre de personnes familières. Selon d'autres c'est autorisé.
S'il n'y a aucun autre choix, il est possible de se reposer sur cela en laissant la porte bien entreouverte et demandez aussi à un voisin de rentrer à l'improviste de temps à auters ou à voter épouse d'essayer de venir à un horaire complètement inhabituel de temps à autres.
Kol touv !
Bonjour Rav, Je voulais vous souhaiter un grand mazal tov à vous et votre épouse pour la naissance de votre fille . Je vous souhaite qu'elle soit en bonne santé et qu'elle illumine le peuple d'Israël .
Kol tov
Amen !
Merci beaucoup !
Bisma'hot Etsalakem !
Je peux vous dire que c'est le mérite du Tsibour qui a fait que tout s'est tellement bien passé.
A 3h20 du matin nous sommes arrivés à l'hôpital, à 4h00 elle est née. Vraiment une Siyata Dichmaya énorme !
Quelques minutes après la naissance mon épouse me dit : " J'étais un peu inquiète au fait que je doive accoucher un Lundi matin parce que je ne voulais pas que tu doive annuler tes 3 cours du Lundi matin, mais Baroukh Hachem, D. a fait que tout se passe rapidement pour que tu puisse être à l'heure à ton premier cours à 9h00 après t'être occupé des enfants " !
C'est beau de voir combien certaines femmes ont cet amour de la Torah ! C'est grâce à elle que je fais ce que je fais !
Et c'est grâce au mérite du Tsibour qui nous suit que D. est tellement avec nous !
Kol touv !
Bonjour Rav,
Ne possédant pas certains ouvrages je souhaiterai si possible avoir le texte ( et sa traduction ) des sources suivantes parlant de conversions ( si vous les possedez ) . Tzitz Eliezer XVI, §61. resp. Ah'iezer III, §28 resp. Maharsham VI, §109 Merci De plus savez vous en France ou je pourrai trouver ces ouvrages? Kol tov
Bonjour Rav,
J'ai une petite question concernant les interdits sanctionnés par la pire peine ( Karet ) . Faut-il être conscient de l'interdis ET savoir que cet interdis est Karet pour l'être ? Je m'explique : J'ai grandi dans une famille plutôt traditionnaliste , j'ai toujours "fait" chabbat mais entre mes 16 et 20 ans j'ai mangé des choses pas cachère ( jamais de viande ) j'ai eu des relations avec des filles (juives) mais donc qui étaient nidda etc..
Bh depuis 4 ans je suis rentré complètement dans le chemin de la Thora , je me suis marié j'étudie la Thora tous les jours au moins 1h30 , je prie au netz tous les jours je respect au maximum avec ma femme les lois de nidda j'essaye de garder mes yeux , je donne des cours de Thora à mes amis éloignés etc..
Mais malgré le fait que je fais téchouva tous les jours je me demande si avec toutes les fautes que j'ai fait par le passé je ne suis pas Karet ..
A l'époque je savais qu'avoir une relation avec une fille était " interdis dans la religion " mais de là à m'imaginer que c'était Karet et surtout j'avais déjà entendu ce mot mais je savais pas ce qu'il signifiait .
A aucun moment personne ne m'a expliqué et à aucun moment je faisais ces actes dans un moment de rebellions vis à vis d'Hachem parce que aussi bas que je suis tombé j'ai toujours garder le chabbat .
Si on m'avais appris que ces fautes étaient Karet et qu'est ce que cela impliquait jamais j'aurai fais ces choses là et encore plus si j'avais grandi dans une famille qui m'avaient éduqués un peu plus dans le chemin de la Thora aussi jamais j'aurai fait ces fautes là .
Aujourd'hui j'en suis très stréssé et me demande tout le temps si je suis pas Karet.. merci de votre éclaircissement
Chalom Ouvrakha!
Vous êtes dans la bonne voie. La Téchouva est valable dans tous les cas même au sujet des H'iyouvé Kareth.
Je lis à vos lignes que votre téchouva est très sincère et vous devez dorénavant arrêter de vous stresser. Si D. vous a mis dans cette situation de Chogeg, et que vous avez reçu une telle éducation, c'est que ce qu'il attend de vous c'est non pas d'avoir réussi en son temps à éviter cela, mais plutôt maintenant à prendre de l'avant. Ce que vous avez l'air de faire de façon considérable.
Lors du Vidouy rien ne vous empêche de penser aussi à cela, et intensifiez au maximum votre Torah et Téfila.
Révisez constamment les lois de Nidda et accomplissez les de la façon la meilleure.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav ,
Je vous avais contacté il y a quelques semaine car j'étais stréssé du fait que ma mère a été converti en bas âge par le consistoire de Paris par des dayanims cachers mais qu'elle n'était pas religieuse et du coup j'avais peur de ne pas être juif malgré que je suis froum et que j'ai tous les papiers en ordre .
J'ai effectué il y à environ un mois une guérout lehoumra car j'étais vraiment stréssé . Je l'ai fait avec le beth din du Rav Rottenberg chlita . Cependant je suis toujours stréssé car je me pose pleins de questions ( et si quelques choses avait fait hatsisa entre l'eau et mon corps ? et si j'ai pas eu les bonnes kavanot etc..)
Ce doute provient du fait que lors de mon mikvé j'avais un pansement temporaire sur la dent mais je ne savais pas que cela pouvait faire obstacle et personne ne me l'a dis . J'ai regardé votre cours concernant les pansements temporaires et je suis dans les temps indiqués .
J'ai mis le pansement en mars qui dure minimum un mois et j'ai passé le mikvé en octobre donc je l'avais depuis plus de 7 mois et il était resté en place . Je suis profondement religieux j"étudie la Thora , j'était en yeshiva , je suis bh marié ( le rav m'a refait mon mariage après le gihour lehoumra ) mais je me dis que parfois la Halakha est tellement "pointilleuse" qu'un "rien" suffirai à que je ne sois finalement pas juif .
Je parle même pour un cas autre que le mien : Imaginez une femme se trempe en vue d'une conversion elle se rend pas compte quelque chose faisant hatsitsa au final elle vie comme une juive ses enfants pareil etc.. mais en fait au niveau du ciel elle n'est pas juive ni ces enfants ni rien mais elle ne le sais pas et personne ne le saura.. Cela me perturbe un peu. merci de m'éclairer
Chalom!
Tout d'abord les Rabbanim généralement vérifient bien qu'il n'y ait pas de H'atsitsa. Ensuite d'après la Torah la Tvila est valable ce n'est que Dérabanan que les H'atsitsot rendent non valide d'immersion.
Enfin, au sujet de ces pansements, il y aurait plein de raisons de dire que c'est a posteriori Cacher et même Dérabanan même s'ils ne restaient pas une longue période. (Par exemple le fait que l'on soit intéressé à ce qu'ils restent sur la dent pour la santé, le fait qu'ils ne dérangent pas parce qu'ils sont souvent presque invisibles de l'extérieur etc.).
Déstressez vous!
Si vous n'y arrivez pas, téléphonez moi.
Kol touv!
Bonjour Rav ,
Je me représente je m'appel Samuel j'ai 24 ans et je me considère comme une personne religieuse ( j'ai étudié à la yeshiva à Jérusalem et je continue d'étudier bh chaque jour en fixant un moment d'étude).
Cependant j'ai un espèce de "blocage" malgré le fait que j'ai posé mes questions à une dizaine de rabbins qui m'ont tous confirmé la même chose c'est à dire que je suis juif à 100 %.
Pour remettre dans la situation , je suis né d'une mère converti en bas âge au judaisme ( à 10 ans ) par le consistoire de Paris en 1975 sous la direction du Grand Rabbin Ernest Gugenheim zatsal. Ma mère a été converti suite à la conversion de ma grand mère maternelle la même année. Je sais de ma grand mère que cette conversion s'est déroulée sérieusement . Je sais aussi que ma mère n'a pas refusé sa conversion après sa majorité religieuse . Cela n'empeche que j'ai un doute qui est dans mon esprit et qui me fait énormement énormement m'inquieter sur ce sujet car ma mère n'est pas chomeret chabbat. Comme évoqué précédemment, j'ai posé la question de ma judaité à de nombreux rabbanims et j'ai toujours eux la même réponse : Vous êtes juif car votre mère à été converti par un tribunal rabbinique compétent et n'a pas refusé sa conversion à sa majorité . J'ai aussi pris contact avec un dayan à Jerusalem à qui j'ai transmis les documents ( certificat de conversion ) qui s'est renseigné pour moi au consistoire pour me dire qu'il n'y a pas de problème. J'ai moi même pris rendez vous avec le consistoire de Paris qui m'a délivré mon certificat de judaisme necessaire à mon mariage . Ainsi sur le plan purement pratique je suis juif à 100 % . En revanche du fait de mes interogations , j'ai beaucoup étudié les lois concernant la guerout ( qui par ailleurs me passionnent ) . Shoukran Aroukh Yoré Dea, Tsits Eliezer, Rambam (Issouré Bia ( Sefer Kedoucha), et sefer Melakhim) etc.. . Etant assez " pointilleux" sur tous les termes de la halacha dans ma vie quotidienne et me sentant " proche" du milieu ultra orthodoxe de Jerusalem je n'ai pu m'empecher d'étudier ce que disent les grands décisionnaires de ce milieu et notamment le Rav Hagaon Moché Feinstein . Il ressort de ces écrits que puisque ma grand mère ( et ma mère ) ne font pas chabbat alors je ne suis pas juif . Je sais que ma grand mère à fait chabbat après sa conversion pendant plus d'un an mais la conversion de ma mère est indépendante de celle de ma grand mère puisqu'elle à été converti en bas âge . Il y à un point que je n'arrive pas à comprendre: Comment un converti doit-il respecter tant que chose pour obtenir sa convertion ( et même après sa conversion sinon certains decisionnaire la considère comme nulle ) et qu'un enfant en bas âge ( comme ma mère ) suffit à ne rien dire à 12 ans et 1 jours ( Yoré déa pg 268 alinéa 7 ou 8 je m'en rappel plus ) pour être considérée comme juive ainsi que sa descendance? Je repense aussi aux histoire de j'ai pu lire sur le Rav Goren et le rav Sherman . Il est d'après moi clair, pour être objectif, que si has vechalom j'avais besoin un jour , d'annuler ma judaicité qu'au vu de ces écrits cela soit possible . A partir du moment ou , une autorité compétente peut annulé ma judaicité comment puis je me considérer comme juif à 100%? Ma mère n'est pas chomeret chabbat , elle allume en revanche les bougies, fait le kiddouche lorsque je ne suis pas présent , mange cacher et fais ces brakhots le matin . Elle s'est de plus, marié avec mon père religieusement ce qui prouve qu'elle accepte à 100% d'être juive ( elle même ne s'imagine pas une seconde autrement ) . Je sais que la Thora à plusieurs explications, plusieurs commentateurs avec des opinions différentes et c'est celà qui fait la beauté de notre Thora . En revanche sur l'identité comment une personne peut-elle être juive selon le Rambam, selon le consistoire de Paris , selon le Tsits Eliezer, selon le Choulkran Aroukh etc.. Mais considéré comme "non juive " ou "douteuse " par une autre autorité rabbinique. Je vous prie de croire que mes sentiments sont vraiment purs et que je recherche une réponse à mes questions car elles me trottent reelement dans la tête et m'empeche parfois de servir au mieux Hachem . Car souvent lorsque je prie par exemple la amida et que je lis la benediction parlant des tsaddikims etc.. et des guers tsedek je me dis : "Et si ma mère n'en faisait pas partie et que je n'étais juif que sur le papier mais que , dans le olam haba ont me disent t'es pas juif toi ". J'ai intellectuellement du mal, à appliquer des houmroth et me dire que je ne considèrent pas certaines ( celles du rav Feinstein par exemple ) car si je les suit alors c'est un "non juif" qui suit ces houmroth. Malgré que beaucoup de rabbinims trés compétents me rassure sur ce sujet je n'arrive pas moi même à être rassuré. J'ai pensé à un gihour lehoumra mais le dayan que j'ai contacter m'a assuré que celà n'étais pas la peine et que j'allais rentré dans d'autres problèmes halachique . Je suis de plus maitenant marié bh , entièrement respectueux ( ma femme et moi même ) des mitvoth de la Thora . En vous souhaitant chabbat Chalom Cordialement
Chalom Ouvrah'a!
Je n'ai pas pris le temps de lire votre question. Je me suis arrêté au fait que vous avez déjà posé votre question à une dizaine de Rabbins. Généralement c'est totalement déconseillé de poser une même question à une dizaine de Rabbins.
Si vous avez déjà eu la réponse à votre question alors qu'elle a été soumise à des autorités, c'est dommage que je sois le onzième à vous répéter la même chose.
Et si j'arrive à la conclusion qu'ils se sont tous trompés, (ce qui est quasiment impossible s'il s'agit d'autorités de Halah'a) dans tous les cas je ne ferai pas le poids tout seul contre 10 puisqu'on doit suivre le Rov.
Donc je vous propose de vous convaincre que la réponse que vous avez eu est bonne.
Si je peux vous aider, dites le moi.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav Une fille ayant eu des relations avant le mariage à t-elle besoin d'un guet pour se marier car il me semble que le Bia est un des mode d'acquisition d'une femme Kol tov
Chalom !
Si elle a eu des relations sans aucune intention de se marier avec cet homme bien que ce soit une chose à ne surtout surtout pas faire et que c'est interdit etc. elle n'a toutefois pas besoin de Guet.
Si avant la relation il lui avait dit qu'il le faisait pour qu'ils soient mariés et qu'il y avait des témoins etc. c'est autre chose et dans ce cas il faut se rendre dans un Beth Din pour que les Juges rabbiniques jugent de la situation au cas par cas.
Béhatsla'ha !
Bonjour Rav,
Dans le cas d'un enfant converti en bas âge doit-on lui préciser à sa majorité qu'il a été converti afin qu'il accepte ou ceci n'est pas la peine ?
Que se passe t-il si nous avons une mère converti en bas âge qui ne se rappel pas de sa conversion ?
Je crois avoir lu de la part du Rav Sternbuch ( Téchouvot Véhanhagot Helek 4 chééla 231 ) qu'on a pas besoin de préciser à l'enfant cela a sa majorité mais je n'ai pas compris toute sa tshouva Merci
Chalom Ouvrakha !
1- Le Choul'han Aroukh (chap. 268 § 7) tranche qu'un enfant que les parents auraient convertis, a un statut de converti, mais a condition qu'à l'instant où il devient Bar Mitsva ou Bat Mitsvah, ils ne se désistent pas.
C'est pourquoi certains décisionnaires stipulent de l'en tenir au courant afin qu'il puisse confirmer sa démarche et parachever sa conversion pour toujours.
La Téchouva de mon Maître, le Rav Sternbukh chlita traite d'un cas où l'enfant a été adopté. Il stipule que dans un tel cas l'enfant été pris en charge " ratuitement " par les " parents " c'est établit de façon certaine qu'il ne renoncera pas à la conversion ayant peur qu'on le renvoie de la maison, ce qui n'est pas le cas d'un enfant biologique qui est certain que se sparents ne l'abandonneraont jamais quand bien même il refuserait d'adhérer au judaïsme.
Dans le cas où la mère s'est convertie avant la naissance de l'enfant, il est juif et ne pmeut pas remettre ceci en question.
2- C'est compliqué, il faut plus de détails ! Elle a une Kétouba par exemple ?
Kol touv !