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Nessim

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Toutes les questions posées par Nessim

Chabbat

Une voiture s'arrête Chabbat pour moi en Israël

- Mercredi 13 mai 2015 à 07h37 vu 970 fois

Chalom Rav,

Si une voiture s'arrête [en Israël] pour me laisser passer au piéton Chabbat, y'a-t'il un interdit de Onaa [profiter d'une transgression venant d'un juif] ? Ou bien considère-t-on que le juif étant tenu par la loi de s'arrêter de toute façon, il n'y a pas lieux d'interdire le profit ?

Si tel est le cas, doit-on quand même se montrer rigourer / est-ce préférable [Mitzva Min Amouv'har] d'éviter de se retrouver dans une telle situation, par exemple en s'assurant constamment avant de traverser qu'il n'y a pas de voitures sur notre passage? Je précise à nouveau que ma question porte sur un cas en Israël où l'on est quasi-certain que le conducteur est juif (il me semble qu'en Diaspora le problème ne se pose pas [Ora'h 'Haïm 276,3; Michna Broura, 27]).

Kol Touv

Chalom Ouvrah'a!

 

Il n'y a aucun problème de profit lorsque vous passez puisque vous ne profitez pas du fait qu'il est freiné, vous traversez, simplement s'il continuait à rouler ceci aurait été dérangeant, dès lors qu'il ne roule plus vous pouvez passer, mais ceci n'est pas considéré comme étant un profit direct, c'est considéré comme avoir retiré une chose qui dérange.

 

S'il s'est déjà arrêté pour vous laisser passer il n'y a aucune H'oumra à ne pas passer, au contraire si vous ne passez pas, c'est comme une invitation à poursuivre sa route.

 

Le problème qui se pose d'après certains décisionnaires est que lorsque vous vous apprêtez à traverser alors que vous savez que le conducteur va s'arrêter pour vous laisser passer, vous entraîner activement le fait qu'il freine etc. avec toutes les transgressions qui s'ensuivent. C'est pourquoi il vaut mieux essayer de passer à un moment où il n'y a pas de voiture plutôt que de passer alors qu'il y a des voitures en obligeant les conducteurs à s'arrêter.

 

Kol touv!

 

Allumer les bougies lorsque l'on est invité

- Dimanche 10 mai 2015 à 21h34 vu 1000 fois

Chalom Rav,

 

Un ou une célibataire ashkénaze ou séfarade (indépendant(e) de ses parents) qui est invité(e) pendant chabbat [famille, amis, etc..] a-t-il/elle l'obligation d'allumer les bougies ou peut-il/elle se reposer sur la bénédiction de son hôte.

 

Y'a-t-il une différence si son hôte est lui-même célibataire (et indépendant de ses parents) ?

 

A défaut d'avoir l'obligation d'allumer, est-ce tout de même mieux / préférable d'allumer soi-même (mitsva min amouv'har)?

 

Toutes références seront les bienvenues pour que je puisse approfondir le sujet dans les sources.

 

Besorot Tovot !

Chalom Ouvrah'a!

 

Je vous invite à écouter le cours suivant http://www.torahacademy.fr/allumage-des-nerot-lorsqu-on-est-invite qui répond de façon circonstanciée à toutes ces questions.

 

Les références c'est le Choulh'an Arouh' avec les propos des décisionnaires au chapitre 163.

 

Il faut bien étudier tous les paragraphes pour comprendre comment cette Halah'a s'organise!

 

Je vous recommande si possible de bien écouter ce cours avant de vous lancer dans cette aventure, ceci vous aidera à mon avis beaucoup, parce que c'est assez difficile de ne pas s'embrouiller si on n'a pas la structure de ces Halah'ot clairement définie.

 

Kol touv!

Retirer du verre son sachet de thé Chabbat?

- Dimanche 10 mai 2015 à 21h18 vu 1392 fois

Chalom Rav,

Retirer du verre son sachet de thé pendant chabbat rentre-il dans l'interdit de « Borer » [qu'on le retire avant ou après sa consommation] ?

Y'a-t-il une différence que le sachet soit retiré avec la main ou avec un ustensile ?

On m'a rapporté que le principe de « Borer » ne s'appliquait pas ici car le sachet de the n'est pas consommable en soi et il peut de plus être réutilisé.

Cet argument ne me semble pas évident à première vue, ne rentre-t-on pas ici dans le cas de « Péssolett Mi-Toh' Oh'el » (du déchet mélangé à un aliment) ?

Je suis preneur de toutes références [permettant et/ou interdisant l'acte] afin d'approfondir le sujet et de comparer les arguments ramenés par les Poskim.

Besorot Tovot !

Chalom Ouvrah'a!

 

Il existe un problème de tri, dans ce cas de figure non pas à cause du sachet qu'on retire vu qu'on ne considère pas qu'il est mélangé au liquide, étant une entité à part, et grand, et solide dans un liquide (אין ברירה בלח) etc.

 

C'est un peu comme retirer un oeuf qui se trouve dans une casserole d'eau où il n'y a aucun problème ainsi que le rapportent les décisionnaires (Orh'ot Chabbat, Chmirat Chabbat etc.)

 

Le problème plus important est le fait que lorsque vous allez retirer le sachet, il va y avoir un tri qui va se faire entre l'eau qui se trouve entre les petites feuilles de thé et qui est vraiment mélangée à l'intérieur. Or, le sachet est considéré en plus comme étant un ustensile.

 

La solution sera donc de faire comme je l'ai exposé dans le cours suivant: http://www.torahacademy.fr/borer-4 à savoir prendre le tout avec une cuillère, si possible avec un peu de thé en dehors de celui qui se trouve dans le sachet de sorte à ce qu'il n'y ait pas de problème.

 

C'est clair que ce qu'on vous a dit, ne tient à mon avis pas du tout la route d'après la Halah'a!

 

Kol touv!

Faire rentrer Chabbath avant le Plag ?

- Dimanche 10 mai 2015 à 18h35 vu 919 fois

Chalom Rav,

 

Comme vous l'avez indiqué dans l'une de vos réponses, on ne peut pas allumer les bougies de chabbath tant que le Plag Hamin'ha n'est pas arrivé [1heure et 15 minutes Zmanit avant le coucher du soleil].

 

J'en déduis donc que faire rentrer chabbat avant le Plag [par l'allumage] n'est pas envisageable.

 

Mais quand est-il si l'on prit dans une communauté qui termine Arvith avant le Plag ?

 

En effet, l'heure la plus tardive du Plag en France [pour l'année 2015] est 20h18, de telle sorte qu'il est possible de voir certaines communautés finir l'office d'Avrit avant cet horaire.

 

Si une telle situation se présente, a-t-on fait rentrer chabbat avec l'office de Arvith Betsibou'h (c'est-à-dire avant 20h18) ?

 

Toutes références sont les bienvenues de sorte à ce que je puisse approfondir le sujet dans les textes. Kol Touv veBesorot Tovot

Chalom!

 

Non, on ne peut pas faire entrer Chabbat avant Plag Hainh'a. (décisionnaires au chapitre 263)

 

Je ne connais d'autre part aucune opinion selon laquelle il est possible de prier Arvit avant le Plag Haminh'a!

 

Kol touv!

Trier (Borèr)

Retirer du verre son sachet de thé Chabbat?

- Dimanche 10 mai 2015 à 21h18 vu 1392 fois

Chalom Rav,

Retirer du verre son sachet de thé pendant chabbat rentre-il dans l'interdit de « Borer » [qu'on le retire avant ou après sa consommation] ?

Y'a-t-il une différence que le sachet soit retiré avec la main ou avec un ustensile ?

On m'a rapporté que le principe de « Borer » ne s'appliquait pas ici car le sachet de the n'est pas consommable en soi et il peut de plus être réutilisé.

Cet argument ne me semble pas évident à première vue, ne rentre-t-on pas ici dans le cas de « Péssolett Mi-Toh' Oh'el » (du déchet mélangé à un aliment) ?

Je suis preneur de toutes références [permettant et/ou interdisant l'acte] afin d'approfondir le sujet et de comparer les arguments ramenés par les Poskim.

Besorot Tovot !

Chalom Ouvrah'a!

 

Il existe un problème de tri, dans ce cas de figure non pas à cause du sachet qu'on retire vu qu'on ne considère pas qu'il est mélangé au liquide, étant une entité à part, et grand, et solide dans un liquide (אין ברירה בלח) etc.

 

C'est un peu comme retirer un oeuf qui se trouve dans une casserole d'eau où il n'y a aucun problème ainsi que le rapportent les décisionnaires (Orh'ot Chabbat, Chmirat Chabbat etc.)

 

Le problème plus important est le fait que lorsque vous allez retirer le sachet, il va y avoir un tri qui va se faire entre l'eau qui se trouve entre les petites feuilles de thé et qui est vraiment mélangée à l'intérieur. Or, le sachet est considéré en plus comme étant un ustensile.

 

La solution sera donc de faire comme je l'ai exposé dans le cours suivant: http://www.torahacademy.fr/borer-4 à savoir prendre le tout avec une cuillère, si possible avec un peu de thé en dehors de celui qui se trouve dans le sachet de sorte à ce qu'il n'y ait pas de problème.

 

C'est clair que ce qu'on vous a dit, ne tient à mon avis pas du tout la route d'après la Halah'a!

 

Kol touv!

Allumage des bougies

Allumer les bougies lorsque l'on est invité

- Dimanche 10 mai 2015 à 21h34 vu 1000 fois

Chalom Rav,

 

Un ou une célibataire ashkénaze ou séfarade (indépendant(e) de ses parents) qui est invité(e) pendant chabbat [famille, amis, etc..] a-t-il/elle l'obligation d'allumer les bougies ou peut-il/elle se reposer sur la bénédiction de son hôte.

 

Y'a-t-il une différence si son hôte est lui-même célibataire (et indépendant de ses parents) ?

 

A défaut d'avoir l'obligation d'allumer, est-ce tout de même mieux / préférable d'allumer soi-même (mitsva min amouv'har)?

 

Toutes références seront les bienvenues pour que je puisse approfondir le sujet dans les sources.

 

Besorot Tovot !

Chalom Ouvrah'a!

 

Je vous invite à écouter le cours suivant http://www.torahacademy.fr/allumage-des-nerot-lorsqu-on-est-invite qui répond de façon circonstanciée à toutes ces questions.

 

Les références c'est le Choulh'an Arouh' avec les propos des décisionnaires au chapitre 163.

 

Il faut bien étudier tous les paragraphes pour comprendre comment cette Halah'a s'organise!

 

Je vous recommande si possible de bien écouter ce cours avant de vous lancer dans cette aventure, ceci vous aidera à mon avis beaucoup, parce que c'est assez difficile de ne pas s'embrouiller si on n'a pas la structure de ces Halah'ot clairement définie.

 

Kol touv!

Cacherout

Achats de produits agricoles en Israël

- Mardi 21 octobre 2014 à 11h51 vu 1125 fois

Chalom,

 

Je viens tout récemment de m'installer en Israël (Ramat Aviv) et suis un peu désemparé sur la question de la cacheroute et plus particulièrement concernant les fruits et légumes avec l'année de Chemita.

Je me suis privé d'en consommer jusqu'à maintenant car je ne sais pas où je peux acquérir ces produits sans entrer dans des complications halakhique.

Je sais qu'en plus de la Chemita, les produits agricoles d'Israël sont soumis à tout types de prélèvements (térouma guédola, maasser richone, maasser cheni, maasser ani), ce qui rend l'achat encore plus ardu pour le novice que je suis en matière de cacheroute israélienne.

 

D'où mes questions:

 

1- Quelle expression en hébreu (généralement inscrite sur les panneaux posés devant les comptoirs des fruits/légumes ou sur les étiquettes) m'indique que la réglementation halakhique sur ces produits a bien été respectée (chemita, prélèvements)?

En l'absence de telles inscriptions, cela signifie que je ne peux pas acheter les produits ?

J'ai entendu dire qu'on pouvait les acheter sans problème dans les supermarchés des centres commerciaux mais je ne sais pas quel crédit donner à cette affirmation.

2- Est-ce que je peux me reposer sur le fait qu'un restaurant possède une Hachgah'a (style Rabanoute de Tel Aviv) pour y consommer des produits agricoles (exemples : salade de thon, tarte au pomme) ? Je pose cette question car je suis récemment allez dans un tel restaurant avec Hachga'ha  et en demandant au serveur si tout était bien « Chomer Chemita », la réponse fut négative. J'attends avec très grande impatience votre réponse qui me permettra, je l'espère, de manger autre chose que du thon et des pitotes :)

 

Kol Touv

Chalom Ouvrah'a!

 

A votre question je vois combien vous êtes consciencieux et c'est un plaisir de pourvoir vous répondre que vous attendez avec impatience.

 

1- Concernant les problèmes de Troumot et de Maasserot, il vous est possible d'acheter des fruits dans n'importe quel supermarché et de procéder de vous même au prélèvement de sorte à acquitter ces fruits au cas où le prélèvement n'a pas été fait convenablement.

 

Pour savoir comment y procéder je vous invite à écouter les cours sur le site, et en particulier ces deux cours pratiques et complets: cf 

 

http://www.torahacademy.fr/teroumot-oumaasserot-preambule-au-guide-pratique

http://www.torahacademy.fr/guide-pratique-des-teroumot-oumaasserot

 

Il est clair qu'il vaut tout de même mieux acheter dans un endroit où il y a un Hechcher Méhadrin pour pouvoir acheter toutes les espèces de fruits et légumes sans se poser trop de questions et en étant sûr que les fruits ne sont pas Orla etc.

 

Au sujet de cette année où il y a les problèmes de Chviit qui se posent, il est urgent d'acheter vos fruits et légumes dans des endroits où il y a un bon Hechcher. J'ai donné un cours hier soir à ce sujet où j'explique bien quels Hechcher acheter etc.; il sera mis en ligne je l'espère au plus tard Dimanche.

 

En attendant, les fruits que vous trouvez, ces jours ci vous pouvez les consommer, ils ne sont pas encore concernés par la Chmita. Pour les légumes c'est déjà un grand problème, comme vous le comprendrez en écoutant le cours Béézrat hachèm.

 

2- Je vous recommande vivement de ne pas vous reposer sur la Hachgah'a de Tel Aviv uniquement mais de manger dans des restaurants Méhadrin, pour tout type de raisons.

 

Cf http://www.torahacademy.fr/etre-invitee-et-manger-des-hekhcherim-qui-sont-un-peu-moins-bons

     http://www.torahacademy.fr/casherout-rabbanout

 

Si vous mangez dans des restaurants avec des bons Hechchérim vous pouvez vous reposer sur eux même pour les problèmes de Chviit.

 

Ceci étant, c'est impossible qu'un restaurant qui a un certificat de Cacherout, même s'il n'est pas très rigoureux, qu'il n'observe pas la Chviit, visiblement ils n'ont pas compris votre question.

 

N'hésitez pas à me dire si certains points ne sont pas suffisamment clairs.

 

Kol touv!

 

Fêtes juives

Devinette : havdala sans Boré Péri Haguefen ?

- Jeudi 02 avril 2015 à 11h32 vu 1026 fois

Chalom Rav,

J'ai assisté à un cours cette semaine à Bnei Brak où l'intervenant proposé une devinette pour le soir du Seder, laquelle était la suivante :

"Dans quel cas peut-on être amené à réciter la Havdala [sur du vin] sans avoir à réciter dessus la bra'ha de Boré Péri Haguefen ?".

J'aimerais faire partager cette devinette demain soir à la table du seder mais je ne me souviens hélas que des très grandes lignes du raisonnement (n'ayant pas pris de notes..).

La question part du principe que lorsque Pessa'h tombe un samedi soir, la Havdala est incluse dans le kiddouch, c'est-à-dire lors du premier des quatre verres de vin.

Or voilà que quelques minutes se sont passés et que le maître de maison se rend compte qu'il a oublié de prononcer la Havdala lors du Kiddouch [on se trouve à ce moment entre le premier et le second verre].

La question est : que doit-il faire ?

Peut-il réciter la Havdala avec la bénédiction de Boré Péri Haguefen?

Peut-il bi'hlal consommer le verre de la Havdala alors que l'on sait qu'il est problématique de boire du vin entre la première et la deuxième coupe vin [or le verre de la Havdala n'a ici aucun rapport avec les 4 verres, il vient s'ajouter à ceux-ci et on pourrait ici y voir un problème]?

 

Il y a ici beaucoup d'éléments manquants mais la conclusion était de dire que le chef de famille doit prononcer la Havdala entre les deux premiers verres [sans boré péri Haguefen] car il peut se reposer sur la bénédiction récité lors du kiddouch.

 

Ma question est de savoir si cela vous est possible de clarifier / remettre en ordre les tenants et les aboutissants de cette question pour que la devinette contienne plus d'éléments consistants dans son développement.

 

Cette question n'est à l'évidence pas facile et j'imagine que la réponse l'est d'autant moins (à plus forte raison en cette veille de Pessa'h), mais peut-être arriverez-vous à trouver un peu de votre précieux temps pour me répondre avant la fête (et certainement que la réponse servira à d'autres personnes du site intéressées comme moi à captiver et maintenir éveillés les convives lors de cette belle soirée).

 

Merci et Kol Touv!

Chalom!

 

Pour l'instant je poste cette devinette pour que ceux qui veuillent la partager puissent le faire.

 

Rédiger une Téchouva à ce sujet en cette veille de Pessah' m'est impossible. Je suis désolé, c'est effectivement une question qui contient différents aspects.

 

Mais peut être à une autre occasion Béézrat Hachèm... On a encore du temps jusqu'à ce que Pessah' tombe un Samedi soir... :)

 

Toutefois si vous souhaitez reconstituer cette H'aboura de vous même je vous invite à lire les proipos du Michna Béroura au chapitre 473 paragraphe 5 et surtout ceux du Caf Hah'aïm au même chapitre paragraphe 22).

 

Béhatslah'a!

Pessah'

Devinette : havdala sans Boré Péri Haguefen ?

- Jeudi 02 avril 2015 à 11h32 vu 1026 fois

Chalom Rav,

J'ai assisté à un cours cette semaine à Bnei Brak où l'intervenant proposé une devinette pour le soir du Seder, laquelle était la suivante :

"Dans quel cas peut-on être amené à réciter la Havdala [sur du vin] sans avoir à réciter dessus la bra'ha de Boré Péri Haguefen ?".

J'aimerais faire partager cette devinette demain soir à la table du seder mais je ne me souviens hélas que des très grandes lignes du raisonnement (n'ayant pas pris de notes..).

La question part du principe que lorsque Pessa'h tombe un samedi soir, la Havdala est incluse dans le kiddouch, c'est-à-dire lors du premier des quatre verres de vin.

Or voilà que quelques minutes se sont passés et que le maître de maison se rend compte qu'il a oublié de prononcer la Havdala lors du Kiddouch [on se trouve à ce moment entre le premier et le second verre].

La question est : que doit-il faire ?

Peut-il réciter la Havdala avec la bénédiction de Boré Péri Haguefen?

Peut-il bi'hlal consommer le verre de la Havdala alors que l'on sait qu'il est problématique de boire du vin entre la première et la deuxième coupe vin [or le verre de la Havdala n'a ici aucun rapport avec les 4 verres, il vient s'ajouter à ceux-ci et on pourrait ici y voir un problème]?

 

Il y a ici beaucoup d'éléments manquants mais la conclusion était de dire que le chef de famille doit prononcer la Havdala entre les deux premiers verres [sans boré péri Haguefen] car il peut se reposer sur la bénédiction récité lors du kiddouch.

 

Ma question est de savoir si cela vous est possible de clarifier / remettre en ordre les tenants et les aboutissants de cette question pour que la devinette contienne plus d'éléments consistants dans son développement.

 

Cette question n'est à l'évidence pas facile et j'imagine que la réponse l'est d'autant moins (à plus forte raison en cette veille de Pessa'h), mais peut-être arriverez-vous à trouver un peu de votre précieux temps pour me répondre avant la fête (et certainement que la réponse servira à d'autres personnes du site intéressées comme moi à captiver et maintenir éveillés les convives lors de cette belle soirée).

 

Merci et Kol Touv!

Chalom!

 

Pour l'instant je poste cette devinette pour que ceux qui veuillent la partager puissent le faire.

 

Rédiger une Téchouva à ce sujet en cette veille de Pessah' m'est impossible. Je suis désolé, c'est effectivement une question qui contient différents aspects.

 

Mais peut être à une autre occasion Béézrat Hachèm... On a encore du temps jusqu'à ce que Pessah' tombe un Samedi soir... :)

 

Toutefois si vous souhaitez reconstituer cette H'aboura de vous même je vous invite à lire les proipos du Michna Béroura au chapitre 473 paragraphe 5 et surtout ceux du Caf Hah'aïm au même chapitre paragraphe 22).

 

Béhatslah'a!

Rituel de la prière

Se lever pendant la Hachkava ?

- Jeudi 11 septembre 2014 à 12h29 vu 1963 fois

Chalom Rav, Y'a t'il une obligation de se lever à la synagogue pendant la Hachkava, qu'on soit ou non de la famille du défunt pour qui est faite cette prière ?

Merci et Kol Touv.

Chalom!

 

Non, c'est plutôt une coutume.

 

Kol touv!

Minh'a et Arvith après le plag

- Jeudi 11 septembre 2014 à 12h25 vu 1162 fois

Chalom Rav,

Dans la synagogue où je prie, ils ont fixé la prière de Minh'a à 19h00 suivi de Arvith, sachant que le plag est à 18h52 en ce moment à Paris (ce qui est a priori problématique).

Ma question : Pour éviter de rentrer dans cette contradiction, vaut-il mieux prier beya'hid (seul, sans minyan) en faisant Arvith chez soi à la tombée de la nuit?

Ou bien considérer que l'importance de la prière betsibour (en communauté) prévaut sur cette problématique et ainsi faire minh'a et arvith à la synagogue aux horaires indiquées ?

Y'a t'il une différence le vendredi soir ?

Je précise que certaines personnes ne viennent pas à l'office pour éviter de rentrer dans ce problème (et prient donc seul chez eux). Si vous auriez la gentillesse de ramener les références.

Merci et Kol Touv.

Chalom Ouvrah'a!

 

Vous devez dans un tel cas prier avec votre communauté malgré la contradiction.

Michna béroura chapitre 233 paragraphe 11).

 

Et ce, aussi bien en semaine que Vendredi soir.

 

Kol touv.

Deuil

Se lever pendant la Hachkava ?

- Jeudi 11 septembre 2014 à 12h29 vu 1963 fois

Chalom Rav, Y'a t'il une obligation de se lever à la synagogue pendant la Hachkava, qu'on soit ou non de la famille du défunt pour qui est faite cette prière ?

Merci et Kol Touv.

Chalom!

 

Non, c'est plutôt une coutume.

 

Kol touv!

Keria au Kotel veille de Chabbat

- Mardi 24 février 2015 à 10h06 vu 1439 fois

Chalom Rav, Je voyage a Jerusalem ce vendredi pour y passer chabbat et nous comptons faire l'office de Kabbalat Chabbat au Kotel.

 

Je sais que celui qui n'a pas apercu le Kotel depuis plus de 30 jours a l'obligation de proceder a la Keriia (dechirer son vetement) mais j'ai egalement lu que l'on est exempte de la Keri'a si l'on se rend au Kotel la veille de Chabbat apres 'Hatsote - ce qui est mon cas - (Piské Téchouvot (Tome 6 chap. 561 par. 3).

 

Ma question : Quelle est l'opinion du Rov Aposkim sur cette question ?

 

Peut-on se baser uniquement sur le Piské Téchouvot pour eviter la Keria veille de chabbat alors que le Choulh'ane Aroukh ne fait pas mention de cette situation ? Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

 

La grande majorité des décisionnaires réfute cette coutume, selon laquelle on ne se déchire pas les vêtements le Vendredi après H'atsot, et affirme qu'elle n'est pas fondée.

(Rav Ovadia Yossef zatsal dans H'azon Ovadia sur lois de deuil page 268, Zih'ron Betsalel en page 112, Le Rav Grosberg au nom du H'azon Ich zatsal, mon maître le Rav Sternbuh' Chlita dans son livre Téchouvot Véhanhagot Tome 1 chapitre 334 qui rapporte que le H'azon Ich criait sur cette coutume, Chout Avné Ichpé (Tome 2 chapitre 55).

 

Le seul à rapporter cette coutume en ne s'y opposant pas, bien qu'il écrit lui même que d'après la Halah'a cette coutume est non fondée est le Chout Batsel Hahohma (Tome 5 chapitre 12). Le Rav Feinstein zatsal (Igerot Moché Orah' H'aïm tome 5 chapitre 37) dit qu'il n'y a aucune raison de ne pas se déchirer les vêtements le Vendredi après midi, et que seuls dans les endroits où cette coutume existe et s'est propagée, il y a lieu d'autoriser de ne pas se les déchirer.

 

En somme je vous recommande de les déchirer comme le stipulent la plupart des grands décisionnaires.

 

Kol touv!

 

Mitsvots en vigueur en Israël

Achats de produits agricoles en Israël

- Mardi 21 octobre 2014 à 11h51 vu 1125 fois

Chalom,

 

Je viens tout récemment de m'installer en Israël (Ramat Aviv) et suis un peu désemparé sur la question de la cacheroute et plus particulièrement concernant les fruits et légumes avec l'année de Chemita.

Je me suis privé d'en consommer jusqu'à maintenant car je ne sais pas où je peux acquérir ces produits sans entrer dans des complications halakhique.

Je sais qu'en plus de la Chemita, les produits agricoles d'Israël sont soumis à tout types de prélèvements (térouma guédola, maasser richone, maasser cheni, maasser ani), ce qui rend l'achat encore plus ardu pour le novice que je suis en matière de cacheroute israélienne.

 

D'où mes questions:

 

1- Quelle expression en hébreu (généralement inscrite sur les panneaux posés devant les comptoirs des fruits/légumes ou sur les étiquettes) m'indique que la réglementation halakhique sur ces produits a bien été respectée (chemita, prélèvements)?

En l'absence de telles inscriptions, cela signifie que je ne peux pas acheter les produits ?

J'ai entendu dire qu'on pouvait les acheter sans problème dans les supermarchés des centres commerciaux mais je ne sais pas quel crédit donner à cette affirmation.

2- Est-ce que je peux me reposer sur le fait qu'un restaurant possède une Hachgah'a (style Rabanoute de Tel Aviv) pour y consommer des produits agricoles (exemples : salade de thon, tarte au pomme) ? Je pose cette question car je suis récemment allez dans un tel restaurant avec Hachga'ha  et en demandant au serveur si tout était bien « Chomer Chemita », la réponse fut négative. J'attends avec très grande impatience votre réponse qui me permettra, je l'espère, de manger autre chose que du thon et des pitotes :)

 

Kol Touv

Chalom Ouvrah'a!

 

A votre question je vois combien vous êtes consciencieux et c'est un plaisir de pourvoir vous répondre que vous attendez avec impatience.

 

1- Concernant les problèmes de Troumot et de Maasserot, il vous est possible d'acheter des fruits dans n'importe quel supermarché et de procéder de vous même au prélèvement de sorte à acquitter ces fruits au cas où le prélèvement n'a pas été fait convenablement.

 

Pour savoir comment y procéder je vous invite à écouter les cours sur le site, et en particulier ces deux cours pratiques et complets: cf 

 

http://www.torahacademy.fr/teroumot-oumaasserot-preambule-au-guide-pratique

http://www.torahacademy.fr/guide-pratique-des-teroumot-oumaasserot

 

Il est clair qu'il vaut tout de même mieux acheter dans un endroit où il y a un Hechcher Méhadrin pour pouvoir acheter toutes les espèces de fruits et légumes sans se poser trop de questions et en étant sûr que les fruits ne sont pas Orla etc.

 

Au sujet de cette année où il y a les problèmes de Chviit qui se posent, il est urgent d'acheter vos fruits et légumes dans des endroits où il y a un bon Hechcher. J'ai donné un cours hier soir à ce sujet où j'explique bien quels Hechcher acheter etc.; il sera mis en ligne je l'espère au plus tard Dimanche.

 

En attendant, les fruits que vous trouvez, ces jours ci vous pouvez les consommer, ils ne sont pas encore concernés par la Chmita. Pour les légumes c'est déjà un grand problème, comme vous le comprendrez en écoutant le cours Béézrat hachèm.

 

2- Je vous recommande vivement de ne pas vous reposer sur la Hachgah'a de Tel Aviv uniquement mais de manger dans des restaurants Méhadrin, pour tout type de raisons.

 

Cf http://www.torahacademy.fr/etre-invitee-et-manger-des-hekhcherim-qui-sont-un-peu-moins-bons

     http://www.torahacademy.fr/casherout-rabbanout

 

Si vous mangez dans des restaurants avec des bons Hechchérim vous pouvez vous reposer sur eux même pour les problèmes de Chviit.

 

Ceci étant, c'est impossible qu'un restaurant qui a un certificat de Cacherout, même s'il n'est pas très rigoureux, qu'il n'observe pas la Chviit, visiblement ils n'ont pas compris votre question.

 

N'hésitez pas à me dire si certains points ne sont pas suffisamment clairs.

 

Kol touv!

 

Comportement

Keria au Kotel veille de Chabbat

- Mardi 24 février 2015 à 10h06 vu 1439 fois

Chalom Rav, Je voyage a Jerusalem ce vendredi pour y passer chabbat et nous comptons faire l'office de Kabbalat Chabbat au Kotel.

 

Je sais que celui qui n'a pas apercu le Kotel depuis plus de 30 jours a l'obligation de proceder a la Keriia (dechirer son vetement) mais j'ai egalement lu que l'on est exempte de la Keri'a si l'on se rend au Kotel la veille de Chabbat apres 'Hatsote - ce qui est mon cas - (Piské Téchouvot (Tome 6 chap. 561 par. 3).

 

Ma question : Quelle est l'opinion du Rov Aposkim sur cette question ?

 

Peut-on se baser uniquement sur le Piské Téchouvot pour eviter la Keria veille de chabbat alors que le Choulh'ane Aroukh ne fait pas mention de cette situation ? Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

 

La grande majorité des décisionnaires réfute cette coutume, selon laquelle on ne se déchire pas les vêtements le Vendredi après H'atsot, et affirme qu'elle n'est pas fondée.

(Rav Ovadia Yossef zatsal dans H'azon Ovadia sur lois de deuil page 268, Zih'ron Betsalel en page 112, Le Rav Grosberg au nom du H'azon Ich zatsal, mon maître le Rav Sternbuh' Chlita dans son livre Téchouvot Véhanhagot Tome 1 chapitre 334 qui rapporte que le H'azon Ich criait sur cette coutume, Chout Avné Ichpé (Tome 2 chapitre 55).

 

Le seul à rapporter cette coutume en ne s'y opposant pas, bien qu'il écrit lui même que d'après la Halah'a cette coutume est non fondée est le Chout Batsel Hahohma (Tome 5 chapitre 12). Le Rav Feinstein zatsal (Igerot Moché Orah' H'aïm tome 5 chapitre 37) dit qu'il n'y a aucune raison de ne pas se déchirer les vêtements le Vendredi après midi, et que seuls dans les endroits où cette coutume existe et s'est propagée, il y a lieu d'autoriser de ne pas se les déchirer.

 

En somme je vous recommande de les déchirer comme le stipulent la plupart des grands décisionnaires.

 

Kol touv!

 

Coutumes

Bar mitzva un chabbath

- Dimanche 29 mars 2015 à 14h05 vu 1155 fois

Chalom,

Mon petit frère fêtera b'h sa Bar Mitsva le samedi 8 août 2015 [23 Av, jour de sa naissance hébraique] pour y lire la parachat Ekev.

Il souhaite que le plus grand nombre de personnes, famille et amis, puisse faire le déplacement pour venir l'écouter lire la Torah, or cela sera difficile du fait que l'unique occasion qui lui est offerte de lire sa paracha tombe un chabbath (il ne pourra en effet pas lire la première montée de Ekev le jeudi précédant, n'ayant pas atteint les 13 ans à cette date là).

Pour palier à ça, nous avons pensé faire la mise des Téfilin + lecture de la 1ère montée de Rée le lundi suivant, c'est à dire le 10 Août 2015 pour que le plus grand nombre de personnes puisse venir l'honorer et écouter sa lecture (et qu'importe s'il ne s'agit pas de sa paracha, l'essentiel pour lui est d'être parmi les siens pendant la lecture).

Il me semble qu'il n'y a pas de contre-indication à agir ainsi mais je voulais avoir votre confirmation avant de lancer les invitations.

Merci d'avance pour votre réponse.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

 

Il n'y a aucun aucun problème!

 

A vrai dire cette coutume d'organiser la "pose des Téphilin" n'est qu'une coutume et rien de plus!

 

En Israël par exemple dans le monde orthodoxe cette coutume est très peu répandue!

 

L'essentiel est de se réjouir du fait que le jeune Bar Mitsva procède à la Mitsva de la pose des Téfilin et qu'il monte à la Torah! S'il en est ainsi il peut aussi bien le faire après le Chabbat Bar Mitsva!

 

Kol touv!

Keria au Kotel veille de Chabbat

- Mardi 24 février 2015 à 10h06 vu 1439 fois

Chalom Rav, Je voyage a Jerusalem ce vendredi pour y passer chabbat et nous comptons faire l'office de Kabbalat Chabbat au Kotel.

 

Je sais que celui qui n'a pas apercu le Kotel depuis plus de 30 jours a l'obligation de proceder a la Keriia (dechirer son vetement) mais j'ai egalement lu que l'on est exempte de la Keri'a si l'on se rend au Kotel la veille de Chabbat apres 'Hatsote - ce qui est mon cas - (Piské Téchouvot (Tome 6 chap. 561 par. 3).

 

Ma question : Quelle est l'opinion du Rov Aposkim sur cette question ?

 

Peut-on se baser uniquement sur le Piské Téchouvot pour eviter la Keria veille de chabbat alors que le Choulh'ane Aroukh ne fait pas mention de cette situation ? Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

 

La grande majorité des décisionnaires réfute cette coutume, selon laquelle on ne se déchire pas les vêtements le Vendredi après H'atsot, et affirme qu'elle n'est pas fondée.

(Rav Ovadia Yossef zatsal dans H'azon Ovadia sur lois de deuil page 268, Zih'ron Betsalel en page 112, Le Rav Grosberg au nom du H'azon Ich zatsal, mon maître le Rav Sternbuh' Chlita dans son livre Téchouvot Véhanhagot Tome 1 chapitre 334 qui rapporte que le H'azon Ich criait sur cette coutume, Chout Avné Ichpé (Tome 2 chapitre 55).

 

Le seul à rapporter cette coutume en ne s'y opposant pas, bien qu'il écrit lui même que d'après la Halah'a cette coutume est non fondée est le Chout Batsel Hahohma (Tome 5 chapitre 12). Le Rav Feinstein zatsal (Igerot Moché Orah' H'aïm tome 5 chapitre 37) dit qu'il n'y a aucune raison de ne pas se déchirer les vêtements le Vendredi après midi, et que seuls dans les endroits où cette coutume existe et s'est propagée, il y a lieu d'autoriser de ne pas se les déchirer.

 

En somme je vous recommande de les déchirer comme le stipulent la plupart des grands décisionnaires.

 

Kol touv!

 

Autre

Bar mitzva un chabbath

- Dimanche 29 mars 2015 à 14h05 vu 1155 fois

Chalom,

Mon petit frère fêtera b'h sa Bar Mitsva le samedi 8 août 2015 [23 Av, jour de sa naissance hébraique] pour y lire la parachat Ekev.

Il souhaite que le plus grand nombre de personnes, famille et amis, puisse faire le déplacement pour venir l'écouter lire la Torah, or cela sera difficile du fait que l'unique occasion qui lui est offerte de lire sa paracha tombe un chabbath (il ne pourra en effet pas lire la première montée de Ekev le jeudi précédant, n'ayant pas atteint les 13 ans à cette date là).

Pour palier à ça, nous avons pensé faire la mise des Téfilin + lecture de la 1ère montée de Rée le lundi suivant, c'est à dire le 10 Août 2015 pour que le plus grand nombre de personnes puisse venir l'honorer et écouter sa lecture (et qu'importe s'il ne s'agit pas de sa paracha, l'essentiel pour lui est d'être parmi les siens pendant la lecture).

Il me semble qu'il n'y a pas de contre-indication à agir ainsi mais je voulais avoir votre confirmation avant de lancer les invitations.

Merci d'avance pour votre réponse.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

 

Il n'y a aucun aucun problème!

 

A vrai dire cette coutume d'organiser la "pose des Téphilin" n'est qu'une coutume et rien de plus!

 

En Israël par exemple dans le monde orthodoxe cette coutume est très peu répandue!

 

L'essentiel est de se réjouir du fait que le jeune Bar Mitsva procède à la Mitsva de la pose des Téfilin et qu'il monte à la Torah! S'il en est ainsi il peut aussi bien le faire après le Chabbat Bar Mitsva!

 

Kol touv!

L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka. 

Merci de prier pour lui !!