Chalom Rav,
Un ou une célibataire ashkénaze ou séfarade (indépendant(e) de ses parents) qui est invité(e) pendant chabbat [famille, amis, etc..] a-t-il/elle l'obligation d'allumer les bougies ou peut-il/elle se reposer sur la bénédiction de son hôte.
Y'a-t-il une différence si son hôte est lui-même célibataire (et indépendant de ses parents) ?
A défaut d'avoir l'obligation d'allumer, est-ce tout de même mieux / préférable d'allumer soi-même (mitsva min amouv'har)?
Toutes références seront les bienvenues pour que je puisse approfondir le sujet dans les sources.
Besorot Tovot !
Chalom Ouvrah'a!
Je vous invite à écouter le cours suivant http://www.torahacademy.fr/allumage-des-nerot-lorsqu-on-est-invite qui répond de façon circonstanciée à toutes ces questions.
Les références c'est le Choulh'an Arouh' avec les propos des décisionnaires au chapitre 163.
Il faut bien étudier tous les paragraphes pour comprendre comment cette Halah'a s'organise!
Je vous recommande si possible de bien écouter ce cours avant de vous lancer dans cette aventure, ceci vous aidera à mon avis beaucoup, parce que c'est assez difficile de ne pas s'embrouiller si on n'a pas la structure de ces Halah'ot clairement définie.
Kol touv!