elisrael

Chalom!

Autorisé oui, pour ceux qui se reposent sur la Rabbanout Harachit, mais il n'est pas Méhadrin, et il pourrait donc y avoir des problèmes pour ceux qaui mangent Laméhadrin, bien que comme vous le laissez entendre, les problèmes concernant le chocolatr noir sont bien évidemment moindres à coté des problèmes qui pourrait y a voir si vous consommez de la viande d'un tel Hech'cher.

Cf aussi http://www.torahacademy.fr/etre-invitee-et-manger-des-hekhcherim-qui-sont-un-peu-moins-bons

                http://www.torahacademy.fr/casherout-rabbanout

Pour les fromages, vous pouvez prendre les Hechchérim de Haéda Hah'arédit, et de Méhadrin Tenouva, et de H'atam Sofer etc. 

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Si dans cette croisière sont distribu_és des repas Cacher au même titre que sont distribués des repas qui ne le sont pas, il n'y a pas de problème de Marit hayan, vu que n'importe quelle personne sensée est sensée comprendre qu'il est fort probable que vous consommez des repas Cacher.

Essayez tout de même de conserver près de votre plateau le tampon du certificat de Cacherout ou autre indice qui montre bien que c'est Cacher.

Si vous voyez au regard d'une personne qu'elle vous suspecte de quelque chose, vous devez le lui dire de sorte à vous acquitter de "Vihitèm nékiim méHachem ou miIsraël". à savoir retirer les suspects et vous légitimer.

Kol touv et Néssia tova!

Chalom

1- Peut importe dans quel ustensile l'oeuf a été cuisiné, tout oeuf cuisiné par un non juif est interdite à cause de Bichoulé Akoum.

(Choulh'an Arouh' Yoré Déa chapitre 113 paragraphe 14).

2- Veuillez cf http://www.torahacademy.fr/cuisson-four-bassari pour une réponse circonstanciée.

En bref, après avoir lu la réponse citée vous comprendrez que dans ce cas où l'oeuf a déjà été cuit vu la formulation de la question, c'est autorisé pour les Sépharades de le consommer avec de la viande, et interdit pour les Ashkénazes.

Kol touv.

Chalom!

S'il s'agit de production artisanale il y a de grandes chances que des graisses animales soient introduites dans ce pain et donc on ne peut autoriser même en cas de grande nécessité.

Lorsqu'il s'agit  de pain confectionné de façon industrielle, comme dans les supermarchés ou lorsque le pain est manufacturé et tous les ingrédients bien vérifiés, un mélange de graisse animale avec le pain est peu probable puisque les mesures d'hygiène sont plus strictes et les risques de mélanges, moindres.

Toutefois, la confection à l’échelle industrielle pourrait comprendre d’autres problèmes de cacherout : il convient donc de vérifier dans la liste du consistoire régional.

Kol touv! 

Chalom!

Pour pouvoir envisager donner une permission, il faudrait que le couple se rende chez un Rav et qu'il réfléchisse avec eux selon tous les éléments qui entreront en ligne de compte.

Béhatslah'a!

Chalom!

Oui, les Décisionnaires écrivent qu'on peut rattraper après la fête de Pourim.

Mais dépêchez vous avant que ceci sorte de votre esprit.

Vous pouvez passer par le site pour accomplir cette coutume de façon Laméhadrin.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Je suis incapable de vous résumer ces lois à présent. Ceci prendrait au moins trois heures de cours à l'oral.

Ces lois sont très longues et compliquées.

Les deux principes de base autour desquels gravitent ces lois sont:

1- Autorisation lorsque le fait de ne pas travailler risque d'engendrer une perte d'argent, ou même un risque de perte.

2- Ne pas faire Maassé Ouman, c'est à dire un travail de professionnel mais Maassé Hediot, c'est à dire Maasé Hediot.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Oui, il est possible de prendre de l'aspirine, avec un peu d'eau en dehors du jeûne de Kippour où il faut essayer de le prendre sans eau, ou en rendant l'eau inapte à la consommation en la rendant amère par exemple, si vous êtes incapable de les prendre sans eau.

Pour les jeûnes ordinaires or de Yom Kippour, les personnes qui souffrent de migraines (pas de simples maux de tête) sont dispensés du jeûne s'ils savent que celui ci va les conduire à une migraine très forte.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Le problème si vous ne récitez qu'une seule fois Boré néfachot à la fin de toutes les consommations en fin de journée est que vous perdez tous les Néfachot que vous auriez du réciter.

En effet lorsque vous avez consommé une boisson dès lors que celle ci a commencé à être digérée vous ne pouvez déjà plus réciter Boré néfachot.

L'eau se digère assez rapidement, d'après certains après déjà une dizaine de minutes. il s'avère donc que si vous buvez par exemple toutes les demies heures vous ratez la bénédiction de Boré néfachot que vous auriez du réciter après chaque verre.

Si par contre vous buvez un verre d'eau toutes les cinq minutes par exemple, alors effcetivement vous pouvez réciter un seul Boré néfachot à la fin de la consommation du dernier verre qui acquittera tout ce que vous aurez consommé d'ici là.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Cf svp http://www.torahacademy.fr/berakha-sur-le-talit-katan-torse-nu.

C'est ici exactement la même problématique. A savoir qu'il vaut mieux essayer de mieux se vêtir mais à posteriori concernant les bénédictions ordinaires hormis la Amida c'est toléré.

Au sujet de passer face à des livres de Kodech alors qu'on n'est pas convenablement vêtu, c'est autorisé tant qu'il ne s'agit pas de la nudité à proprement parler.

Kol touv!

Chalom!

Veuillez s'il vous plait préciser votre question.

Vous parlez des parents qui viennent marier leur propre enfant ou d'un donateur qui souhaiterait financer le mariage de quelqu'un à partir de cet argent?

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrakha !

1- Nos Sages nous enseignent que si l'homme se met en danger, il est possible qu'il meurt alors que D. n'avait pas prévu qu'il meurt.

Le Messilat Yécharim l'écrit explicitement, et il ajoute que cette personne sera gravement punie du fait que en dehors d'être mort, il a entraîné sur lui une mort  non prévue et non souhaitée par D.

En effet affirme-t-il D. a créé dans Son monde des choses dangereuses de sorte à pouvoir punir les mauvais par ces choses-là. Par exemple les bêtes féroces ont été créées entre autre pour pouvoir s'en prendre au mécréant.

Une personne qui au lieu de s'en protéger se mettrait en danger en leur présence serait passible de mourir.

En ce qui est de la cigarette c'est pareil à la différence prêt qu'il existe un concept nommé "Chomer Pétaïm Hachem".  Ce qui signifie que D. protège les personnes " inconscientes ". C'est à dire que, tant que les dangers de la cigarette n'étaient pas avérés, une personne qui fumait était protégée par D. étant inconsciente des dangers de la cigarette.

Certaines personnes souhaitent se reposer sur cela pour fumer aujourd'hui. C'est une erreur ! En effet, aujourd'hui nous sommes tous avertis des dangers de la cigarette, et il n'y a pas un paquet de cigarettes sur lequel n'est pas inscrit explicitement qu'il est formellement déconseillé de fumer. 

Il y aurait beaucoup de quoi s'allonger sur ce sujet, mais peut être que ce que je vous ai écrit est suffisant, sinon dites le moi. 

2- Il est évident que la tournure de l'histoire est grandement dépendante du comportement de l'homme. Ce sont des Parachyot entières de bénédictions ou 'Hassa Véchalom de l'inverse. 

Pointer du doigt un événement tel que celui de la Choa qui donne un frisson à toute personne entendant ce mot, et dire que c'est à cause de ceci ou de cela, ceci me semble être un peu ridicule, parce que nous ne sommes pas D.

Quelques fois les épreuves de l'homme ne sont pas uniquement la résultante d'une faute mais une façon de le faire avancer etc. ainsi que la Guémara au début du traité de Brakhot l'affirme qu'il y a des " Yissourim Chel Ahava ". C'est à dire des épreuves données aux Tsadikim pour les faire grandir. 

En résumé, il est clair que l'homme de par son comportement peut influencer en bien ou en mal sa situation non seulement évidemment dans le monde futur, mais aussi dans le monde présent.

A présent, penser que vous pourrez prescrire à D. votre avenir serait une grande erreur.

Béhatsla'ha !   

Chalom!

Ce n'est pas écrit 30 grammes par 30 grammes mais il est écrit moins que 56 grammes (Cabétsa).

En effet, le Michna Béroura au chapitre 170 paragraphe 19) écrit qu'il faut tenir dans sa main moins que 56 grammes de pain même si on avale des bouchées inférieures à 56 grammes chacune.

La Gémara écrit que tenir une grande quantité de pain paraît être glouton. Ce n'est qu'en l'honneur du repas de Chabbat que ceci est autorisé et même recommandé pour bien montrer combien on est attaché au repas de Chabbat et combien on compte manger des grandes quantités en l'honneur de Chabbat. (Choulh'an Arouh' chapitre 271).

En pratique les décisionnaires se sont interrogés quant à la consommation d'un sandwich qui comme vous l'imaginez est bien supérieur à 56 grammes.

Le Or Letsion (Tome 2 chapitre 46 paragraphe 7) écrit que c'est autorisé et ce n'est pas une marque de gloutonnerie vu que telle est la coutume de consommer des sandwichs ou falafels etc. 

En revanche l'opinion du Rav Ficher zatsal (Vézoth Habérah'a chapitre 2 paragraphe 14) est d'éviter de le faire.

Ce que vous prétendez est donc l'opinion du Rav Ficher zatsal.

Lorsque dans mes cours je rapporte l'opinion du Rav Ficher les élèves sont toujours très étonnés. Je ferai de cela Bli Neder un cours sur le site prochainement.

Kol touv!

Chalom!

1- Oui s'il y avait une bonne raison. Mais sans bonne raison, c'est dommage de détruire un Mynian déjà existant et fonctionnel. Proposant un autre genre de prière et d'autres horaires je suppose.

2- Ils ne peuvent pas vous obliger à rester si vous ne vous sentez pas à l'aise là bas ou que le rite est différent. Les décisionnaires l'écrivent explicitement, que c'est une Mitsva de bâtir de nouveaux Mynianim si c'est non pas pour faire des Mah'loktot mais pour proposer au public un autre style de prière dans une autre ambiance et selon d'autres rites et coutumes.

Kol touv!

Chalom,

Il existe une interdiction pour un homme de porter des bijoux appartenant à une femme.
Elle est explicite dans la Thora Lo Ylbach Gévèr etc.

Le Choulhan Arouh' stipule cette loi dans Yoré Déa chapitre 182.

Concernant les habits qui sont intrinsèquement des habits d'hommes tels que le pantalon, mais que de nos jours ils ont malheureusement été adoptés par certaines femmes, il existe une controverse quant à savoir s'il y a l'interdiction de la Thora ou pas. Le Minhat Ytshak tranche que oui. Rav Ovadia Yossef que non. Le problème de manque de pudeur bien évidemment reste et est totalement interdit.

Cependant, si le bijou ou l'habit a été conçu de sorte à ce qu'on voit qu'il est destiné à être porté par des hommes ou vice-versa pour les femmes les décisionnaires l'autorisent vu qu'une bague n'est pas un bijou de femme uniquement comme on le voit dans la Gémara à plusieurs reprises.

Ceci étant c'est sûr que cette coutume n'a rien de juif, et que les juifs n'ont aucune raison de la suivre.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il est certain qu'il vaut mieux d'une façon générale célébrer la Brith juste après l'office du Nets pour accomplir la Mitsva avec zèle.

Toutefois si ceci peut provoquer des conflits, c'est certain que ce Hidour Mitsva ne peut en aucun cas contrebalancer les fautes de vexation, affliction, disputes etc. qui risquent d'en découler.

La question est de savoir est ce que vraiment ceci risque de provoquer des conflits ou pas? Si vous expliquez gentiment etc.peut être qu'ils comprendront...

Béhatslah'a!

Chalom!

Effectivement de nombreux décisionnaires dont le H'azon Ich écrivent que la majeure partie des juifs non pratiquants sont considérés comme étant Tinok chénichba, c'est pourquoi dans de nombreux cas la Halah'a se montre plus indulgente.

Par exemple, au sujet de les associer au Mynian.

                    au sujet du vin touché par un juif non pratiquant

                    etc. etc.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Lorsque les deux parents respectifs ont le même prénom cela ne dérange en aucune façon.

Le problème se pose lorsque le prénom de la fille est identique à celui de la mère du garçon ou lorsque le prénom du garçon est identique à celui du père de la fille.

Même dans un tel cas, de nombreux Décisionnaires autorisent le Chidouh et sous certaines conditions, si vous voulez je ferai un cours sur cela Béézrat Hachèm!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Tout d'abord je pense qu'il faut attendre que son problème soit résolu. Peut- être un psychologue ou psychiatre pourrait l'aider. 

Simplement ensuite vous pourrez envisager de lui proposer une fille.

Au sujet du fait de cacher son passé, il faudra à ce moment savoir s'il est complètement guéri ou pas, et si le fait qu'il ait souffert de ces problèmes peut encore avoir une incidence dans sa vie de tous les jours.

Kol touv.

Chalom Ouvrah'a!

Oui, c'est tout à fait autorisé si cette personne s'engage à observer dans le cadre du travail (que ce soit dans le bureau que ce soit de chez lui dès lors que c'est pour le travail en commun) les lois du Chabbat ainsi que toutes les autres lois relatives aux problèmes d'argent etc.

Kol touv!

Chalom!

A la maison c'est autorisé.

Bien évidemment toute femme se montrant plus rigoureuse à ce sujet sera digne de bénédiction (en particulier par rapport à ses frères).

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il existe une interdiction de Hassagat Gévoul, c'est à dire que c'est interdit de prendre la clientèle de quelqu'un d'autre.

C'est pourquoi les personnes que vous avez connu en travaillant à cet endroit, c'est un problème de leur dire explicitement et directement que vous allez ouvrir ailleurs de sorte à ce qu'ils viennent chez vous!

Ceci étant, vous pouvez faire de la publicité dans les journaux ou sur internet etc. de sorte à ce que les personnes qui souhaitent dorénavant venir chez vous puissent le faire.

Dans un tel cas même si des anciens clients viennent il y a pas de problème.

Si vous rencontrez dans la rue l'un de vos anciens clients vous pouvez dans la discussion lui dire que vous ne travaillez plus dans cet endroit. Si de lui même il décide de vous interroger où vous travaillez à présent, il vous sera autorisé de lui répondre.

Kol touv!

Chalom!

Voici le réponse du Rav Olivier en votre honneur:

tout d'abord rien ne dit que ces âmes produites à Haran étaint amenées à être intégrées au peuple d'Israel, peut être ce sont des âmes rapprochées du Créateur mais pas "juives", un tant soit peu que le terme juif puisse convenir pour cette période.

mais surtout, rappelons ce Midrach (dont j'essaierai de retrouver la référence) qui dit que ces âmes sont retournées au point où elles étaient avant le prosyléthisme Abrahamique et que ces gens abandonnèrent ce qu'Avraham leur avait apporté. 

a bientot

Kol touv

Chalom!

Je vous poste la réponse qu'a écrit à votre attention le Rav Chmouel Olivier:

"Pour bien comprendre l'originalité de l'approche du Rav Kook, il faut se rappeler que le judaïsme contemporain a dû compter avec deux bouleversements qui ne peuvent pas laisser indifférent : la sécularisation (ou h'ilonisation) de la quasi-totalité du peuple juif, ainsi que le mouvement sioniste.

Le Rav Kook, pour plusieurs raisons et dans un esprit prophétique, kabalistique, et philosophique, a abordé ces deux phénomènes comme une marche vers la Délivrance et la Réparation du monde. Pour cela, il faut être capable de surmonter les contradictions apparentes de la réalité pour y voir l'unité cachée derrière ces phénomènes. C'est une vision qui demande une hauteur de vue quasi-prophétique. Dans la pratique, le Rav Kook a soutenu la résurrection du Yichouv en Eretz Israel et a eu un regard à la fois critique mais rempli d'espoir sur les éléments laïcs qui participèrent à ce renouveau.

Bien sûr, cette approche a pu irriter les membres de l'ancien Yichouv, connus pour leur piété. Mais il faut se rappeler que même Rabbi Yossef H'ayim Zonnenfeld, chef de l'ancien Yichouv et opposant du Rav Kook, a mené des combats communs avec lui lorsque cela était nécessaire, comme le fameux long voyage qu'ils effectuèrent tous les deux dans les Yichouvim, pour renforcer l'observance de la Torah. Parler de polémique est donc réducteur, puisque dans la pratique il était admiré par l'ensemble des maitres d'israel.( Meme si quelques une de ces phrases ont pu parfois irriter les opposants au sionisme, comme celle lancée lors du discours d'inauguration de l'université hébraïque de Jérusalem où il compara cela avec le verset : "ces des portes de Sion que la Tora sortira", etc.

Bref, c'est peut-être un peu exagéré. Ou l'identification du Dr Herzl avec le Machiah' Ben Yossef.) C'est peut être face aux implications et aux confusions que peuvent engendrer les textes compliqués du Rav Kook que la H'azon Ich permit l'étude de ses ouvrages halakhiques mais pas haggadiques.

C'est après l'indépendance de l'état mais surtout après la guerre des 6 jours que les différentes approches se radicalisent puisque certains y voient la Délivrance. Mais ce n'est plus le Rav Kook père puisque celui-ci est décédé avant 48, ce sont les élèves. Les clivages sont alors plus marqués et le débat plus pratique et halakhique que philosophique : l'armée, le hallel le jour de Yom Haatsmaout, la restitution de territoires, etc."

Chalom Ouvrah'a!

Yaakov n'a pas été "abusé" par Rah'el, il l'a été par Lavan.

Ce n'est qu'une fois décidé que Léa sera amené (Or Hah'ayim Hakodosh admet la possibilité qu'elle ait été prise de force par son père), que Rah'el, pour qui la honte que pourra subir la sœur ne peut en aucun cas laisser indifférent,  risque sa ''carrière" conjugale. Quant à la tromperie envers Yaakov, le Midrash évoque un vif bras de fer entre Yaakov et Léa au réveil, celle-ci mettant en avant les tromperies antérieures de Yaakov.

Donc les choses ne sont pas simples et les ruses des patriarches ne sont pas à prendre à la légère, ils véhiculent des enjeux capitaux.

(réponse rédigée par R. Chmouel Olivier)

Kol touv!

Chalom 

D'une parle D. s'est adressé à l'homme, d'autre part les termes employés par le verset sont que le peuple a "vu" la voix de D. (Chémot chapitre 20 verset 15).

Le Kli Yakar propose l'explication suivante. Les Bnei Israël ont effectivement entendu la voix du créateur, simplement cette voix était tellement créatrice que au même moment les Bné Israël pouvaient percevoir et voir ces paroles, c'est à dire que ces paroles étaient retranscrites face à leurs yeux en écriture, et ils pouvaient donc voir ou lire ces paroles.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il faudrait d'abord s'assurer qu'il est sincère et qu'il souhaite vraiment adhérer au judaïsme!

Si tel est le cas, qu'il s'adresse à la Rabbanout Harachit Léisraël, et qu'il leur demande quelle est la procédure à suivre!

Je ne pense pas vous avoir beaucoup aidé, mais je ne sais pas ce que je pourrais ajouter!

Kol touv!