Bonjour,
un ami me pose la question suivante: peut on donner a un Juif un travail a effectuer, en sachant que ce dernier, hiloni, pourrait le faire pendant Shabat?
Je precise que le travail en question (montage de film) est la parnassa de cette personne au quotidien, donc il n'y a pas lieu de supposer qu'il fait ca le shabat, plus que d'autres, les gens se reposant generalement le shabat, plutot que de travailler.
Mon ami se demande s'il y a lieu de verifier, et s'il doit lui demander explicitement de ne pas travailler shabat? Merci
NP
Chalom!
Il n'y a pas d'interdiction. Toutefois vu que c'est possible qu'il le fasse Chabbat, je vous recommande vivement de lui poser de façon explicite et gentiment cette condition. Ainsi vous aurez plus de Brah'a dans ce que vous faites, et tout sera plus glatt et vous aurez contribué à ce qu'un juif transgresse moins le Chabbat.
Kol touv!
Bonjour j'ai eu differents sons de cloches au sujet de l'Advil et de sa cacherout. J'ai demande a une cousine pharmacienne, et elle m'a dit que les seuls gelules problematiques sont les rouges, qui contiennent du E124 (ou cochenille).
Confirmez vous?
Merci beaucoup NP
Chalom!
Au sujet de la cochenille veuillez lire la réponse suivante: http://www.torahacademy.fr/cacherout_7
Dans tous les cas, s'il n'y pas d'autre choix et qu'il s'agit d'un médicament sans goût on autorisera vu que c'est à but thérapeutique.
S'il y a des médicaments à la place et qui sont Cacher Laméhadrin, c'est indéniablement mieux.
Kol touv!
Bonjour rav,
j'ai achete des vitamines (de la marque Centrum), qui coutent relativement cheres (150 sh les 60 capsules), et je me suis rendu compte, apres avoir ouvert la boite et en avoir consomme une, que ces vitamines contiennent de la gelatine animale.
Elles n'ont aucun gout, et si gout il y a, c'est un mauvais arriere-gout.
Est il possible de se bser sur l'autorisation de la gelatine du rav Ovadya et de les consommer (je chercherai une autre marque casher pour la prochaine fois).
Petite precision, dont je ne sais pas si elle est importante ou pas: l'origine de la gelatine peut etre la peau ou l'os de l'animal. Je n'ai pas reussi a eclaircir dans mon cas de quelle partie la gelatine utilisee est fabriquee.
Merci Nathaniel
Chalom Ouvrakha !
Dans votre cas où c'est en plus pour des raisons de santé et om vous avalez le cachet sans même le manger, et où il n'y a pas de goût, vous pouvez les consommer pour cette fois-ci.
Kol touv !
Bonjour rav, nous savons qu'un boeuf n'est autre qu'un taureau castre.
Pouvez vous m'expliquer pourquoi il est casher malgre cette mutilation (est ce vraiment une mutilation aux yeux de la halacha)? Merci
Chalom Ouvrakha !
Je me suis dans un premier temps vraiment laissé convaincre pas votre question, du fait qu'il est formellement interdit de castrer un animal, et que ceci est interdit même lorsque l'on demande à un non-juif de le faire pour nous.
Lorsque le non-juif l'a fait pour nous la Guémara affirme ainsi que le Choul'han Aroukh (Even Haézer chap. 5 § 14) qu'il nous devient interdit d'en profiter.
D'où votre excellente question à moins que l'on dise que ce qu'on appelle aujourd'hui de la viande de boeuf c'est une expression empruntée et qu'en fait il s'agit de la génisse, ce qui est le cas généralement dans la plupart des pays sauf en Italie.
Mais après avoir réfléchi une minute, je me suis aperçu qu'en fait il n'y a pas vraiment de question. En effet, les Cho'hatim n'élèvent pas eux même ces animaux. Ce n'est donc pas eux qui les castrent.
Ils les achètent tels quels d'éleveurs non-juifs qui lorsqu'ils les ont achetés étaient déjà castrés. Les non-juifs ne l'ont pas fait alors que l'animal appartenait au juif, ceci ne pose déjà plus aucun problème.
En effet, il est écrit nulle part qu'un animal castré devient impropre à la consommation, il est écrit simplement qu'il est interdit de le castrer.
C'est un peu comme un ustensile non trempé au Mikvé. C'est certes interdit de s'en servir tant qu'on ne l'a pas trempé au Mikvé mais il n'en demeure pas moins que la nourriture qui y a été introduite demeure Cacher.
Ps : je termine en ajoutant que j'ai l'autre jour autorisé à une femme de faire castrer son chien selon une procédure réfléchie et très précise. Mais d'une façon générale c'est interdit. Si une personne st dans ce cas qu'elle m'interroge et je lui expliquerai exactement comment y procéder.
Béhatsla'ha !
Bonjour rav,
j'ai achete des vitamines (de la marque Centrum), qui coutent relativement cheres (150 sh les 60 capsules), et je me suis rendu compte, apres avoir ouvert la boite et en avoir consomme une, que ces vitamines contiennent de la gelatine animale.
Elles n'ont aucun gout, et si gout il y a, c'est un mauvais arriere-gout.
Est il possible de se bser sur l'autorisation de la gelatine du rav Ovadya et de les consommer (je chercherai une autre marque casher pour la prochaine fois).
Petite precision, dont je ne sais pas si elle est importante ou pas: l'origine de la gelatine peut etre la peau ou l'os de l'animal. Je n'ai pas reussi a eclaircir dans mon cas de quelle partie la gelatine utilisee est fabriquee.
Merci Nathaniel
Chalom Ouvrakha !
Dans votre cas où c'est en plus pour des raisons de santé et om vous avalez le cachet sans même le manger, et où il n'y a pas de goût, vous pouvez les consommer pour cette fois-ci.
Kol touv !
Bonjour Rav, une question concernant la vente, j'ai l'habitude chaque annee de me debarasser de tout hametz Vaday (pates, farine, gateaux, aliments a base d'amidon...) avant pessah et de ne pas le vendre, et de vendre le reste, incluant tout ce qui n'est pas veritablement Hametz ou safek, type medicaments au bon gout.
Or, l'on m'a montre que le Or letsion voyait cela d'un mauvais oeil, car la vente vend precisement du Hametz et que s'il y a un doute sur la presence de Hametz, cela rend la vente invalide.
Comment faire par consequent?
Ne rien vendre du tout, et garder le safek? Tout jeter?
Que faire des medicaments qui ne sont pas casher lepessah? Merci encore
Nathaniel
Chalom Ouvrah'a!
Au risque de vous contredire le Or Letsion ne dit pas que le doute rend la vente invalide, il dit que dès lors qu'on procède à la vente, on n'a pas l'intention de faire le Bitoul H'amets de ce qui a été vendu, or si le H'amets qu'on a à la maison est en quantité moindre que Chavé pérouta, il ressort que la vente est nulle et non avenue, et il s'avère qu'il reste donc du H'amets chez soi qui n'a pas été annulé.
Si vous étudiez bien cette Téchouva vous voyez bien qu'il propose cela comme une éventualité et non comme une évidence.
En effet, rien ne vous empêche d'avoir l'intention de l'annuler si la vente n'a pas lieu.
En dehors de cela lorsque le Rav procède à cette vente il ne vend pas que votre H'amets mais aussi celui des autres personnes et c'est certain qu'en tout et pour tout il y a plus qu'une somme de chavé prouta, et donc la vente a lieu.
Alors qu'en contre partie si vous ne procédez pas à la vente vous ne pouvez pas vous reposer uniquement sur le Bitoul H'amets vu que vous n'êtes pas intéressé à annuler le H'amets qui se trouve dans vos médicaments ou autres.
C'est pourquoi mon conseil est de procéder à la vente bien que vous vous êtes débarrassé du vrai H'amets qui se trouve chez vous!
Kol touv!
Bonjour Rav dans beaucoup d'aliments achetes en grande surface, se trouve la mention amilan sans plus de precision s'il s'agit d'amilan de ble ou de mais.
Pourriez vous m'apporter quelques precisions quant au comportement a adopter avec ces aliments la? Les jeter, les vendre? (Partant du principe que je m'efforce de ne pas garder de hametz du tout a Pessah)
Merci
Nathaniel
Chalom Ouvrah'a!
Aujourd'hui dans de nombreux produits l'amidon utilisé est à bas de maïs.
S'il s'agit d'acide citrique contenant de l'amidon de blé, le Rav Ovadia Yossef dans Yéh'avé Daat tome 2 l'autorise, tandis que le Or Letsion au chapitre 8 et le Minh'at Itsh'ak l'interdisent.
Le Or Letsion autorise de le conserver si on le vend.
Dans un cas de doute, il me semble que vous pouvez largement vous reposer sur la vente vu que d'après certains il ne s'agit pas de H'amets pour toutes les raisons évoquées dans la réponse du Rav Ovadia Yossef zatsal.
Kol touv!
Bonjour Rav dans beaucoup d'aliments achetes en grande surface, se trouve la mention amilan sans plus de precision s'il s'agit d'amilan de ble ou de mais.
Pourriez vous m'apporter quelques precisions quant au comportement a adopter avec ces aliments la? Les jeter, les vendre? (Partant du principe que je m'efforce de ne pas garder de hametz du tout a Pessah)
Merci
Nathaniel
Chalom Ouvrah'a!
Aujourd'hui dans de nombreux produits l'amidon utilisé est à bas de maïs.
S'il s'agit d'acide citrique contenant de l'amidon de blé, le Rav Ovadia Yossef dans Yéh'avé Daat tome 2 l'autorise, tandis que le Or Letsion au chapitre 8 et le Minh'at Itsh'ak l'interdisent.
Le Or Letsion autorise de le conserver si on le vend.
Dans un cas de doute, il me semble que vous pouvez largement vous reposer sur la vente vu que d'après certains il ne s'agit pas de H'amets pour toutes les raisons évoquées dans la réponse du Rav Ovadia Yossef zatsal.
Kol touv!
Bonjour Rav, une question concernant la vente, j'ai l'habitude chaque annee de me debarasser de tout hametz Vaday (pates, farine, gateaux, aliments a base d'amidon...) avant pessah et de ne pas le vendre, et de vendre le reste, incluant tout ce qui n'est pas veritablement Hametz ou safek, type medicaments au bon gout.
Or, l'on m'a montre que le Or letsion voyait cela d'un mauvais oeil, car la vente vend precisement du Hametz et que s'il y a un doute sur la presence de Hametz, cela rend la vente invalide.
Comment faire par consequent?
Ne rien vendre du tout, et garder le safek? Tout jeter?
Que faire des medicaments qui ne sont pas casher lepessah? Merci encore
Nathaniel
Chalom Ouvrah'a!
Au risque de vous contredire le Or Letsion ne dit pas que le doute rend la vente invalide, il dit que dès lors qu'on procède à la vente, on n'a pas l'intention de faire le Bitoul H'amets de ce qui a été vendu, or si le H'amets qu'on a à la maison est en quantité moindre que Chavé pérouta, il ressort que la vente est nulle et non avenue, et il s'avère qu'il reste donc du H'amets chez soi qui n'a pas été annulé.
Si vous étudiez bien cette Téchouva vous voyez bien qu'il propose cela comme une éventualité et non comme une évidence.
En effet, rien ne vous empêche d'avoir l'intention de l'annuler si la vente n'a pas lieu.
En dehors de cela lorsque le Rav procède à cette vente il ne vend pas que votre H'amets mais aussi celui des autres personnes et c'est certain qu'en tout et pour tout il y a plus qu'une somme de chavé prouta, et donc la vente a lieu.
Alors qu'en contre partie si vous ne procédez pas à la vente vous ne pouvez pas vous reposer uniquement sur le Bitoul H'amets vu que vous n'êtes pas intéressé à annuler le H'amets qui se trouve dans vos médicaments ou autres.
C'est pourquoi mon conseil est de procéder à la vente bien que vous vous êtes débarrassé du vrai H'amets qui se trouve chez vous!
Kol touv!
Bonjour Rav
Je lisais dans la hoveret "seder hayom bahalacha oubahagada" (du rav Naki), l'importance de toujours veiller a la proprete du corps apres avoir ete aux wc, en particulier les gdolim (j'essaie de m'expliquer de la facon la plus pudique pour ne pas choquer, et je ne trouve pas tous les mots en francais).
En sortant il faudra donc bien essuyer l'endroit avec savon, ou lingettes humides si pas de savon etc.
Le rav dans ce livret rajoute qu'il est interdit de repondre amen aux brahot d'un officiant qui ne suivrait pas ces halachot.
Or, je remarque que malheureusement trop peu de gens connaissent cette marche a suivre, et bien souvent les personnes qui montent comme officiants sont de parfaits ignorants (sans vouloir denigrer personne, ce n'est surement pas tres agreable a entendre mais je les juge plus ou moins a leur allure, a leur precision dans les mots de la tfila, a leur vitesse d'expedier ou pas la tfila...), et il est clair a ce moment la qu'a moins de tomber sur une personne naturellement tres propre, il y a de fortes chances que l'endroit soit toujours souille.
Que faire selon vous, pourrait-on repondre amen dnas le doute, il me semble avoir entendu le principe de "safek amen lehakel".
Et si ca reste assour alors que faire si par exemple le minyan problematique est celui ou je descends tous les jours a mon travail? Merci beaucoup!
NP
Chalom Ouvrah'a!
C'est une erreur de dire que toute personne qui ne s'essuie pas avec de l'eau reste sale et que c'est interdit de répondre Amen etc.
C'est clair que pour s'assurer de sa propreté il est conseillé de se servir d'eau, mais de là penser que toutes les personnes qui ne le font pas restent sales, sûrement pas.
La coutume de tous les Gédolim était de prier même à des Mynianim où il y des H'azanim ignorants et de répondre Amen.
N'oubliez pas ce qu'écrit le Magen Avraham et le H'afets H'aïm au début des lois des Brah'ot à savoir qu'aujourd'hui l'officiant ne nous acquitte plus de l'essentiel de la prière mais uniquement des Kaddich et Kédoucha, vu qe la prière on la prie nous même individuellement, et c'est pour cela qu'on n'est pas très vigilants quant à l'érudition du Chaliah' Tsibour.
Kol touv!
Bonjour, je fais Arvit au travail en ce moment, et comme beaucoup de personnes partent tot, nous organisons le minyan avant tset hakohavim (apres la shkia).
Bien souvent le shaliah tsibour (d'obediance ashkenaze) prie comme une fusee, je commence les berachot du kryat shema 2 minutes avant tout le monde, car si je commence en meme temps qu'eux, je n'ai aucune chance d'arriver a la amida a temps.
Il est a noter que bizarrement, il semble qu'il n'y a que moi et un autre des fideles, qui rencontrons ce probleme.
Les autres arrivent a suivre apparemment.
Ma question est donc de savoir si c'est ok de commencer seul, sachant que le fait de prier avant la nuit est je pense plutot une permission donnee pour le tsibour.
Mais mon raisonnement est que je fais cela justement pour pouvoir prier avec le tsibour l'essentiel de la tfila qui est la amida.
Merci nathasion
Chalom !
Si c'est après la Chkia et que vous avez prié Min'ha bien avant vous pouvez prier même sans Tsibour.
De plus vous avez raison que l'essentiel de la prière Bétsibour c'est la Amida.
Bref, pas de problème !
Kol touv !
Bonjour Rav est il permis de porter des habits neufs (+ sheheh'iyanou) pendant l'année de deuil pour un parent has veshalom?
Merci
Chalom!
Veuillez lire cette réponse svp :
http://www.torahacademy.fr/vetements-sur-lesquels-on-ne-fait-pas-chehe-heyanou.
Béssorot tovot!
Bonjour Rav, une de mes collègues, qui a perdu ses parents récemment, me demande s'il y a un inconvénient a vendre leur maison dans l'année suivant le décès, ou cela ne pose pas de problème. Elle a entendu dire que la neshama des défunts reste présente dans la maison durant la premiere année. Je sais que c'est vrai pour les shiva mais après cette période, je n'ai su que répondre.
Merci de m'éclairer. Nathaniel
Chalom!
Il n'y a pas de problème à vendre la maison.
Pendant les Chiva c'est vrai que ceci est écrit, mais je ne suis pas certain que ceci ait une influence sur la vente de la maison.
Kol touv !
Bonjour,
avant pessah, un de mes collegues de travail non religieux est venu m'apporter un parchemin de mezouza en m'expliquant qu'en demenageant son appartement, une de ses affaires a butté contre le boitier qui a explose et le klaf est tombe.
Ne sachant quoi en faire, il me l'a apporte.
Je l'ai pris afin qu'il ne finisse pas je ne sais trop ou, et je ne suis ensuite demande s'il n'y avait pas la une question de hashavat aveda.
Je lui ai demande s'il y a une possibilite de parler au proprietaire qui voudrait peut etre la recuperer. Que dois-je faire exactement?
Merci Nathaniel
Chalom Ouvrakha !
Etant donné que l'on sait d'où elle est tombée, il y a affectivement un devoir de Hachavat Avéda.
S'il vous dit qu'il a déjà fait Yéouch, il n'empêche que celui qui a provoqué cela doit le lui rendre, parce que c'est d'une certaine façon du vol.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav, j'ai commande une montre a mon fils sur un site chinois. La montre n'etant pas arrive (merci notre chere poste) apres 2 mois, j'ai fait une reclamation, et j'ai ete rembourse par le site. Finalement, j'ai recu la montre, dois-je contacter les chinois pour leur payer la montre? Merci Nathaniel
Chalom Ouvrakha!
C'est un paragraphe explicite de mon livre sur Hachavat Avéda, qui va bientôt paraître Béézrat Hachem!
Non, vous n'avez pas besoin de rendre à moins que vous soyez certain que cela va engendrer un Kidouch Hachem auquel cas c'est recommandé mais pas obligatoire.
En effet, votre cas est le cas classique de Hachaat Avéda à un non-juif.
Béhatslah'a!
Bonjour Rav, je souhaite avoir votre avis quant a la situation suivante.
J'ai un cousin qui va se fiancer la semaine prochaine avec une demoiselle qui est en cours de conversion.
Il vit deja avec elle bien entendue, et le mariage aura lieu apres qu'elle soit convertie.
Je ne cautionne bien entendu pas du tout cela et idealement je n'ai aucune envie d'assister a cet evenement sans valeur a mes yeux.
Mais voila, les pressions se font ressentir du cote de la famille. Y a-t-il une interdiction a y aller du fait de "messaye bide overey avera" ou est ce que ca peut etre considere comme un consenti implicit? Que faire?
Merci
Chalom!
Il vaut mieux éviter mais il n'y a pas de véritable interdit. Dans tous les cas ils le feront.
Donc, essayez d'éviter et d'expliquer votre point de vue gentiment aux membres de votre famille susceptibles de se fâcher mais si vous sentez que cela va faire un scandale familial etc. il est permis d'y sauter quelques minutes.
Kol touv!
Bonjour Rav,
est-il permis de prendre une canette (de coca pour l'exemple) qui se trouve dans le frigidaire d'une societe, lorsque celle-ci n'a aucun signe particulier, a savoir elle est tout simplement posee dans le frigidaire, et il n'y a aucun moyen pour personne de savoir que c'est la sienne.
Est ce que le frigo est considere ???? ?????
En ce qui me concerne, je vois souvent la ou je travaille, des canettes posees dans le frigo, et elles ne disparaissent jamais.
Car il semble bien que leur proprietaire ne sache pas qu'elle soit la, ou l'a sciemment abandonne.
Merci. Nathaniel
Chalom !
En principe si vous voyez une canette vous n'avez pas le droit d'y toucher puisque quelqu'un l'a vraisemblablement posée dans l'intention de venir la récupérer lorsqu'il souhaitera.
Si vous voyez que cette même canette est depuis longtemps au même endroit et qu'il est certain que la personne les a oubliées, il vous sera possible de les prendre.
Béhatsla'ha !
Bonjour,
l'annee derniere, au milieu de l'annee scolaire, nous avions achete une gourde a ma fille pour l'ecole.
Elle l'a perdue au bout de 2 jours. Puis au debut de l'annee scolaire en cours, il y a donc 2 semaines, ma femme trouve une gourde identique posee sur un muret a l'ecole meme.
La bouteille est nickel, avec le prix toujours dessus, que ma femme se souvient avoir paye.
Ma question est la suivante: Des gourdes de cette apparence sont tres tres courantes, s'achetent au super pharm et autres endroits tres populaires.
Peut-on conclure quand meme que cette gourde nous appartient, bien qu'il n'y ait pas de signe distinctif clair (comme un nom par exemple), ou doit-on supposer qu'elle peut etre a quelau'un d'autre?
Merci Nathaniel P.
Chalom Ouvrakha!
Cette question a déjà été traitée par le Minh'at Itsh'ak, et le Rav Sternbukh Chlita etc/ Sauf qu'ils parlent de cas plus simples où le jour même on retrouve cet objet et non une tellement longue période après.
Votre épouse a t-elle déjà soulevé cet objet? Dans quelle intention l'a t-elle soulevé? Ce muret se trouve dans l'établissement de l'école?
Kol touv!
Bonjour, en cette periode de Chovavim, je pensais prendre sur moi quelques jeunes beezrat Hashem. Je sais au'il faut prendre le jeune sur soi a Minha de la veille.
Ma question est la suivante: que faire si l'on a completement oublie de faire la kabala la veille? Peut on quand meme jeuner bediavad, et cela a-t-il une valeur de jeune pour cette periode?
Merci NP
Chalom!
Non, si ce n'est pas des jeûnes fixes pour vous, il faut impérativement les avoir reçus, sinon, c'est certes un jeûne puisque vous n'avez pas mangé, mais ce n'est pas réellement considéré comme étant un jeûne. (Choulh'an Aroukh Chap. 568).
Kol touv!
Bonjour Rav ma fille a ete nommee Lia a sa naissance . Nous n'etions alors pas tellement au courant de l'importance de choisir des noms du Tanakh ou connus.
Mon intention lorsque je l'ai nomme etant de composer un prenom qui signifiait Hashem est avec moi Mais depuis quelques temps elle se plaint de ne pas aimer son prenom et dit avoir prefere se prenommer Lea. Par ailleurs, j'ai lu sur le site de Yeshiva.org qu'il n'etait pas recommande de donner des noms comportant une suite de lettres appartenant au nom de D., si celui ci n'apparait pas dans le Tanakh. Bref il semblerait qu'on a tout faux. Que faire? Merci
Chalom!
Quel âge a t-elle?
C'est son seul prénom?
Pourquoi ne l'aime t-elle pas, ses amies se moquent d'elle?
Kol touv!