Dardou

Chalom !

Oui c'est une coutume qui existe. 

Cf. Ezor Eliahou (chap. 6 page 3) rédigé par le Chévét Moussar, Séfer Nahagou Haam (page 345 § 23), et encore de nombreuses autres références.

La raison de cette coutume est qu'à Pessa'h on est jugé sur la récolte, et du coup, on met des herbes et du blé de sorte à faire référence à cela. 

D'autres disent que comme à Pessa'h on va être sauvés et il y aura la résurecton des morts c'est pourquoi on amène des herbes pour se rappeler que de la même façon qu'elles revivent chaque année de la même façon les hommes.

Kol touv ! 

Chalom !

S'il s'appelle Armand pourquoi l'appeler Amram ou Avraham ? Quel rapport ? Pourquoi ne pas l'appeler Armand ?

S'il souhaite ajouter un nom, c'est une autre histoire !

En tout état de cause pour le passé qu'il ne s'inquiète pas les bénédictions ont fonctionné dès lors que D. sait très bien de qui il s'agissait.

Béhatsla'ha et Gmar 'Hatima Tova !

Chalom !

Non c'st parfait, pas besoin qu'il soit sur la peau !

Kol touv !

Chalom !

Mettez uniquement les fils.

Le vêtement vous pouvez le jeter à la poubelle mais mettez le dans un sachet avant avec respect.

Cf. http://www.torahacademy.fr/comment-se-debarrasser-du-skah--et-des-4-especes

Béhatsla'ha !

Chalom !

Je pense que c'est difficile de bien gérer une communauté à distance pour ne pas dire impossible.

Je pense aussi sincèrement qu'un Rav tel que vous le décrivez un vrai Tsadik et Talmid 'Hakham est nécessaire et c'est malheureusement une denrée rare de nos jours. 

J'aurai proposé que le Rav avec toute sa Yrat Chamaïm continue à officier et à  enseigner lorsqu'il est présent et qu'il nomme un Rav sérieux, compétent, dynamique et apprécié, en son absence auquel il donnera des instructions et suffisamment de liberté pour qu'ils puissent ensemble faire avancer la communauté.

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

La Halakha est que l'on n'est pas tenu de nourrir les animaux ne nous appartenant pas et ayant été abandonnés (cf. Ikaré Hadat Ora'h 'Haïm chap. 9 § 32).

De même le Tiférét Israël (Michna Nédarim chap. 4 Michna 3 Boaz § 3) écrit explicitement qu'il n'existe pas d'interdit de faire souffrir les animaux lorsque l'on ne nourrit pas les animaux ne nous appartenant pas.

Il est toutefois vivement recommandé de les nourrir bien qu'on ne soit pas obligé, de sorte à nous comporter conformément au comportement de D. lui même qui nourrit tous les êtres vivants et pas uniquement les êtres humains (cf. Choul'han Hatahor page 50). 

Il est donc évident que vous n'avez pas de devoir à leur donner à manger avant d'avoir mangé vous même, puisque vous n'êtes même pas tenu de les nourrir. C'est dans ce sens qu'a été le Ikaré Hadat susmentionné. 

Si vous avez à un moment décidé d'acquérir ce chat du Hefker, il vous appartient désormais et vous avez le devoir de le nourrir et ce, avant même de manger vous même votre propre repas. 

En ce qui est du chien la Guémara Chabbat 155 recommande vivement de leur donner à manger lorsqu'ils sont affamés. 

Béhatsla'ha !

Chalom!!

Selon certains tout ce qui se trouve accessible sur internet, même si ce n'est pas officiciel, étant déjà devenu " Hefker " d'une certaine façon on considère qu'il n'y a plus de problème de vol. 

Si le propriétaire n'est pas juif c'est plus simple que s'il est juif bien qu'en tout état de cause ce n'est pas 'Halak.

Si en tout état de cause vous n'auriez pas acheté ces films (s'ils n'étaient pas gratuits, c'est plus facile à autoriser. 

Béhatsla'ha !

Chana Tova !

Chalom Ouvrakha !

Le Chout Pri Hassadé (tome 2 chap. 13), considère un billet de loterie gagnant comme étant un objet trouvé et si le fils est dépendant de son père ceci revient au père.

C'est d'ailleurs fort étonnant que le Rav Gross chlita dans son Michpat Haavéda (chap. 270 Mozné Tsédék § 11-2) ait écrit exactement l'inverse au nom du Pri Hassadé. J'ai traité de ce cas dans mon ouvrage qui va sortir sous peu Béézrat Hachem sur les lois de Hachavat Avéda. 

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Vous posez une excellente question. La Torah interdit de raser l’endroit des Péot ainsi qu’il est écrit « Ne rasez pas les péot de votre tête ». Il ressort de là qu’il n’y a pas de Mitsva de laisser les Péot, il n’y a qu’une interdiction si on les rase. D’où la question, comment ce fait est ce que les gens font de cela presque une Mitsva ?

Le Rav de Brisk explique (c’est rapporté dans sa Hagada de Pessa’h tome 2 page 52) que la raison pour laquelle on n’a pas le droit de se raser les péot c’est pour ne pas ressembler aux non-juifs, et afin de distinguer le juif, donc c’est d’une certaine façon une Mitsva de procéder de cette différenciation. Il a d’ailleurs rapporté la preuve que les Témanim appellent les Péot des « Simanim » c’est-à-dire des signes. Les Péot sont le signe du juif.

Cf. aussi Rambam (Avoda Zara chap. 13 § 1) et Moré Névoukhim (tome 3 chap. 37), ‘Hinoukh (Mitsva 251), et Tour (chap. 181), qui vont tous dans ce même sens, que le but des Péot est de nous écarter des coutumes et de l’apparence des idolâtres. 

Le Ben Ich ‘Haï dans son œuvre (Torah Lichma chap. 389) écrit qu’on lui a posé la question quelle est la longueur des Péot. Il a répondu que selon la loi il suffit que le cheveu soit assez long pour qu’on puisse plier la tête du cheveu et qu’elle atteigne la racine, cependant il est certain que s’ils sont plus longs c’est mieux, parce qu’ils seront plus reconnaissables, et c’est cela notre beauté, à savoir de nous enjoliver avec les Mitsvot de D. Et les Péot sont un témoignage du juif et elles sont un bon signe pour le peuple juif ».

Soit en hébreu :

" מדינא סגי להשאיר שיעור כדי לכוף ראשן לעיקרן ומיהו בודאי אם יהיו יותר ארוכים עדיף טפי כדי שיהיו ניכרים יותר וזהו נוי שלנו שאנחנו מתנאים במצוות השי"ת אלוקינו והפיאות הם עדות לישראל וסימן טוב להם "

Il écrit aussi dans son œuvre « Ben Ich ‘Haïl » (Reich page 30) les termes suivant :

או כמה חביבים הם הפיאות שהם עדים וסימנים של היהדות וכו' על כן כמה צריכים ליזהר בשני עדים נאמנים אלו העומדים אחד מימין ואחד משמאל המעטרים אתכם בעטרה של היהדות ואין אני מעמיס עליכם לעשות פיאות עבים וארוכים כמו מנהג אחינו האשכנזים הי"ו ורק אבקש שיהיה בהם שיעור הניכר לעיני הכל

  C’est-à-dire : « Regardez combien les péot sont chères ! Elles sont des témoins et signes du judaïsme… C’est pourquoi il faut faire attention à ces deux témoins qui se trouvent l’un à droite et l’autre à gauche et qui vous couronnent de la couronne du judaïsme, et je ne vous demande pas à ce point-là de les faire grosses et longues comme la coutume de nos frères les Ashkénazes mais au moins qu’elles sont bien visibles de tous ».

Pour conclure de nombreux Maîtres aussi bien Ashkénazes que Séfarades ont beaucoup insisté sur l’importance des péot et la Kédoucha que ceci peut apporter. Mais ce n’est pas obligatoire de les faire tellement longues.
En pratique la coutume de certains grands Rabbanim Séfarades tels que le Rav Ovadia Yossef, le Rav Ben Tsion Abba Chaoul c’était de ne pas laisser des longues Péot. D’autres laissent les péot (Rav Bakchi Doron, Rav Sofer, etc.).

Béhatsla’ha !

Chalom !

Oui c'est une coutume qui existe. 

Cf. Ezor Eliahou (chap. 6 page 3) rédigé par le Chévét Moussar, Séfer Nahagou Haam (page 345 § 23), et encore de nombreuses autres références.

La raison de cette coutume est qu'à Pessa'h on est jugé sur la récolte, et du coup, on met des herbes et du blé de sorte à faire référence à cela. 

D'autres disent que comme à Pessa'h on va être sauvés et il y aura la résurecton des morts c'est pourquoi on amène des herbes pour se rappeler que de la même façon qu'elles revivent chaque année de la même façon les hommes.

Kol touv ! 

Chalom !

Si vous pouvez le donner à un pauvre etc. qui serait heureux de le récupérer il peut y avoir un problème de Bal Tach'hit !

Mais d'une façon générale pour rester dans le cadre de votre question et ne pas virer aux lois de Tsédaka, vous n'êtes pas obligé de vous servir d'une voiture qui ne vous convient plus, et vous n'avez pas besoin de même de porter des vêtements qui ne vous vont plus, même si potentiellement ils pourraient être portés.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Vous posez une excellente question.

Certains commentateurs (cf. Chalmé Tsédék page 204) ont répondu à votre question de façon exemplaire. Il y a a priori un problème avec toute cette vente, puisqu’elle a été faite alors que Essav était affamé, presque mourant. Il n’était donc pas du tout consentant à cet échange. Il pourrait donc réclamer qu’il y a ici eu une vente frauduleuse « Honaa », et qu’on a abusé de sa faiblesse en tant qu’affamé pour l’arnaquer.

Pour se prémunir de cela, Yaakov lui a dans un premier temps donné du pain, afin de soulager sa faim. Lorsqu’ensuite Essav sera prêt à acheter le plat de lentilles contre le droit d’ainesse, il s’agira d’une vente valable et ne pouvant nullement être ensuite remise en question.

Béhatsla’ha !

Chalom !

Je comprend très bien votre question.

Tout d'abord petite précision, lorsque l'on s'engage à ne plus réitérer la faute on ne fait ni de serment ni de voeu ni rien, on essaye de se résoudre de la façon la plus sérieuse à essayer de s'écarter de la faute.

En ce qui est de la raison pour laquelle cette étape a un sens fondamental bien que l'on sait permtinamment que l'on risque de fauter à nouveau, cf. un très beau cours :

http://www.torahacademy.fr/une-vision-revolutionnaire-et-edifiante-sur-la-techouva

Kol touv !

Chalom!

'Hazal disent explicitement que oui. Même dans les maisons où il y avait du sang sur els linteaux, les égyptiens s'y trouvant sont morts !

Kol touv !

Chalom !

D. a décidé la somme que vous devrez gagner en tenant compte du fait que vous devrez payer les impôts. 

Je ne comprend pas très bien la profondeur de la question.

Merci de réexpliquer si ma réponse n'est pas suffisante !

Chalom !

Ca fait plus d'un an que Hachem nous envoie jour après jour des messages. 

Je ne sais pas si nous en sommes suffisamment conscients !

Visiblement il faut se dépécher de faire Téchouva, et grâce à cela on méritera le Olam Haba.

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

Effectivement de la Guémara (Kétoubot page 111a) il ressort que celui qui réside en Erets Israël n'a plus de faute.

Bien que ce ne soit pas explicite, mais c'est dans ce sens qu'a explicitement tranché le Maharam de Rotenbourg dans l'une de ses lettres.

Je vous copie les termes employés par ce Richon :

וששאלתם עיקר מצווה ללכת לארץ ישראל איני יודע אלא כמו שמפורש בסוף כתובות קי ב ואם מוחלין לו כל עוונותיו הכי מפורש התם קיא ב ובלבד שיהא פרוש מכאן ואילך ויזהר מכל מיני עוון ויקיים כל מצוות התלויות בארץ שאם יחטא שם בארץ ישראל ייענש יותר מכל עבירות שיחטא בחוצה לארץ כי ה' דורש אותה תמיד ועיני ה' בה והשגחתו תדיר ואינו דומה מורד במלכות בפלטין למורד מרחוק חוץ לפלטין

Il s'empresse de préciser que ceci est conditionné par le fait que :

"dorénavant l'homme qui s'y trouve se comporte correctement, qu'il s'écarte de toute sorte de faute, et qu'il accomplisse toutes les Mitsvots relatives à la terre, parce que s'il faute en Erets Israël, il sera puni plus sévèrement que pour toute autre Avéra commise à l'étranger, parce que D. s'y trouve particulièrement, et ce n'est pas la même  chose de fauter dans le palais du Roi ou à l'extérieur de celui-ci".  

Le Midrash (Béréchit Rabba chap. 67 § 13) précise d'autre part que le 'Hatan se voit ses fautes effacées. Les décisionnaires de préciser (Rav Sternbukh dans Taam Vadaat Béréchit chap. 28 verset 9) que ceci est valable même dans le cas où le 'Hatan est un impie. En effet, on déduit le fait que les fautes sont effacées du fait que Ishmaël s'est marié avec une femme s'appelant "Ma'hlat" (pardonner). De là que même un impie ses fautes lui sont pardonnées le jour où il se marie. 

Toutefois ces enseignements qui ne sont pas des halakhot mais des Hagadtot à approfondir, et la preuve est que les décisionnaires tels que le Rambam et le Choul'han Aroukh n'ont pas rapporté ces enseignements dans leur codification des Halakot. On ne peut donc pas en déduire des Halakhot telles que celle que vous souhaitez déduire.

De plus, l'interdit du vol entre dans le cadre des lois de "Ben Adam La'havéro" c'est à dire de son devoir vis à vis de son prochain. C'est pourquoi, les textes précités traitant de notre relation vis à vis de D. ne peuvent intervenir ici. 

De plus à propos du vol la Torah elle même précise que la réparation de cet interdit est "Véhéchiv Et Haguézéla" c'est à dire qu'elle consiste à rendre l'objet volé ou sa valeur, il est donc inenvisageable de s'acquitter de son devoir en accomplissant l'une de ces deux Mitsvot. 

Béhatsla'ha !