Bonsoir Rav,
La Guemara (Baba Metsi'a 85a) raconte un fait très étrange au sujet du pet-it fils de Rabbi Chim'on bar Yo'haï. Toute fille de rue, dont le tarif s'élevait habituellement à 2 zouz, lui en demandait 8 à cause de sa beauté. Ma question est la suivante : puisque la fille de rue avait elle-même une sorte de "profit" du fait de la beauté de cet homme, n'aurait-elle pas dû avoir commerce avec lui pour moins de 2 zouz et non pour davantage ?
Merci beaucoup
Chalom Ouvrakha !
vous êtes tout à fait logique. aussi, relisez bien le texte de la Guémara et vous vous apercevrez que la fille de rue ne réclamait pas 8 zouz, bien au contraire elle était prête à payer elle 8 zouz au petit fils à cause de sa beauté !
Kol touv !