Doit on réciter la bénédiction sur un aliment qui vient atténuer le goût piquant d'un piment? Faut il réciter la bénédiction sur un aliment qu'on boit ou qu'on mange pour décoincer une arête bloquée dans la gorge? Existe t'il des cas où on ne récite pas Chéhakol sur un verre d'eau? Quelles sont les conditions pour que le principe de Ikar et tafèl soit appliqué? Faut il une intention (kavana) explicite?
Ce cours répond à ces différentes questions.