bonjour j'espère que vous allez bien
Si il existe une contre indication médicale pendant 15 J pour se rapprocher de sa femme durant la période où il devrait y avoir le mikvé :
° faut il repousser le mikvé ?
et qu'en est t'il des Arakhot : faut il les maintenir si vous répondez que le mikvé est repoussé?
Par ailleurs: une femme qui a eu du dam pendant les 7 nekiim : elle pensait qu'il fallait attendre 5 +7 avant d'en discuter - le fait qu'elle ait eu la kavana d'attendre 5 +7 a t'il une influence sur le compte - personnellement il ne me semble pas, puisqu'il y a tout un siman sur "une femme qui affirme être niddah " donc je me dis que si elle n'a même pas parler, cela ne doit pas modifier le compte.
J'aimerais tout de même en être sur .
merci et kol touv
bonjour j'espère que vous allez bien
Merci. Barouh' Hachem tout va bien. J'espère que vous aussi.
Si il existe une contre indication médicale pendant 15 J pour se rapprocher de sa femme durant la période où il devrait y avoir le mikvé :
° faut il repousser le mikvé ?
Non, qu'elle aille au Mikvé et le couple aura son intimité sans aboutir à la Mitsva elle même. Dans ce cas c'est une Mitsva d'avoir cette intimité bien qu'elle n'aboutit pas.
Attention juste à ne pas en arriver à Zéra Lévatala.
et qu'en est t'il des Arakhot : faut il les maintenir si vous répondez que le mikvé est repoussé?
Si ma réponse avait été qu'elle ne doit pas aller au Mikvé, toutes les lois de Arh'akot auraient dues être maintenues.
Par ailleurs: une femme qui a eu du dam pendant les 7 nekiim : elle pensait qu'il fallait attendre 5 +7 avant d'en discuter - le fait qu'elle ait eu la kavana d'attendre 5 +7 a t'il une influence sur le compte
- personnellement il ne me semble pas, puisqu'il y a tout un siman sur "une femme qui affirme être niddah " donc je me dis que si elle n'a même pas parler, cela ne doit pas modifier le compte.
Je suis d'accord avec vous dans l'argument que vous avez écrit.
Par contre il y a un autre aspect de la question que vous n'avez pas abordé c'est celui du Hesseah' Haddat, à savoir que d'après certains décisionnaires lorsqu'on a détaché son esprit des vérifications ceci rompt les sept jours de propreté.
Toutefois les décisionnaires Séfarades et de nombreux décisionnaires Achkénazes s'accordent à autoriser même lorsqu'il y a eu un Hesseah' Haddat.
Par contre, ce que je n'ai pas compris, c'est de savoir est ce qu'elle a fait des vérifications? A savoir lorsqu'elle a pensé qu'elle devait de toute façon attendre 5 jours est ce qu'elle a tout de même fait ses vérifications de Hefsek etc. parce que sinon c'est problématique.
Bref, veuillez me préciser un peu plus le cas pour que je comprenne et que je puisse vous donner une réponse précise.
J'aimerais tout de même en être sur .
merci et kol touv
Kol touv!
merci pour votre réponse
alors elle a fait les bdikot car son hessiah data c'est déroulé entre le matin et l'après midi
- cad que le matin elle pensait qu'il fallait 5 + 7
- puis l'après midi en en discutant elle a su qu'il fallait directement 7 à la fin du dam
kol touv
Il n'y a alors aucun aucun problème.
Kol touv!
bonjour juste une précision
- suite à une remarque de ma femme qui m'a permis d'affiner le fond de ma question
- lorsque je demandais si en l'absence de mikvé, les arakhot auraient été ou non maintenue, ce que je cherchais à savoir c'était si :
- un peu comme kidouch: la fin du compte suffisait à arrêter Niddah ou au moins partiellement cad : vendredi soir que je fasse le kiddouch ou pas, shabat entre à son heure alors je me demandais si dans les halahot de niddah cette logique existait .
Par votre réponse j'ai compris que non merci encore à vous et shabbat shalom
Chalom!
Votre logique existe dans les Richonim au sujet des Yémé Liboun et Yémé Réia.
C'est à dire que les femmes à l'époque lorsqu'elles ne voyaient plus de sang allaient au Mikvé et y retournaient suite aux jours de propreté, chose qu'on ne fait plus aujourd'hui.
Regardez Tossefot dans Ketoubot page 61 a "Mahléfa" qui expose cette opinion etc.
Mais tant qu'elle n'a pas été au Mikvé l'interdiction de se toucher ou d'avoir une relation etc. est complètement identique. C'est un Rambam et Choulh'an Arouh' explicite. Et ceci provient de la Gémara Chabbat page 64b.
Au sujet de se rendre au cimetière en période de menstruation etc. certains décisionnaires font une différence entre la période où le flux est présent et la période d'ensuite mais au sujet de Nidda aucune aucune différence.
Béhatslah'a!