bonjour le kaf hahaym dit apparement dans siman 583 heara 13 que si j'ai fait hamotsi sur du pain que j'avait trempe dans du miel,ca me rend quitte de cette benediction pour le miel que je vais manger par la suite si c'est comme ca en est il de meme si je mange un plat de pattes avec quelques tomates sur lequel j'ai fait mezonot et rendu quitte les tomates et que par lasuite je mange une tomate toute seul?
Chalom Ouvrah'a!
Vous avez raison qu'on pourrait penser que c'est ce qui ressort des propos du Kaf Hah'aïm. Ce serait un grand H'iddouch ce Kaf Hah'aïm.
Mais évidemment à condition qu'au moment où vous mangiez vos pâtes vous sachiez qu'ensuite vous allez consommer des tomates de même que dans notre cas on savait depuis le départ qu'ensuite on consommerait ce miel.
Mais à mon avis ce n'est pas le cas. J'introduit tout d'abord que les décisionnaires écrivent que dans un cas où par exemple une soupe avec des croûtons, qu'on récite Mézonot sur cette soupe et cela acquitte le bouillon.
Disons qu'en suite je me serve de la soupe, mais cette fois ci sans croûtons, dois je réciter la bénédiction de Chéhakol.
Les décisionnaires répondent que si je me sert une serviette à part oui. Si je finis le reste qu'il y avait dans le bol, pas de bénédiction à réciter. La bénédiction sur le Ikar acquitte aussi ce bol. Et il en va de même dans tous les cas ressemblants.
Donc dans le cas de la tomate, il ressort que si vous souhaitez ensuite manger une tomate, iol faudra réciter la bénédiction.
Le Kaf Hah'aïm parle d'un cas où dans les 2 circonstances c'était du Tafel. Au début le miel était Tafel au pain, puis le miel est Tafel à la pomme. Donc c'est acquitté. Mais dans le cas de votre tomate au début elle était Tafel puis Ikar, ce n'est pas logique qu'elle soit dispensée de bénédiction en Ikar.
Voilà, en tout cas bravo pour votre belle question.
Béhatslah'a!