Chalom cher Rav Dans la guemara Chabat 105 b explique que tout celui qui se met dans un état de colère ou il arrive à déchirer ses vêtements et à casser des kelims dans sa colère est considérer comme un idolâtre. Je suis arrivée à la conclusion qu?en dessous de cet état de colère [ou il arrive à déchirer ses vêtements et à casser des kelims] hazal ne considère pas que c?est de la colère, si je me trompe dite le mois, la colère de tout les jours ex jai rater le bus, j?ai oublié mes clefs, une contrariété? Je voulais savoir si d après la torah il existe une définition de la colère, à partir de quelle réaction on rentre dans la définition du coléreux. Une personne qui contient sa colère il bouillonne de l?intérieur cette personne s?appelle coléreuse d?après la torah ?
Chalom !
Je ne suis pas d'accord avec votre démonstration. On ne peut que prouver éventuellement de cette Guémara que celui qui n'arrive pas à cet état, n'est pas considéré comme idolâtre, mais de là, dire qu'il n'est pas considéré comme coléreux, c'est faux !
D'ailleurs on voit à plusieurs reprises pa rxemple que Moché Rabbénou a oublié son étude parce qu'il s'est fâché, ou que Yaakov s'est fâché contre Ra'hel et ceci lui sera gravement reproché par D. pourqtant il n'est écrit nulle part qu'ils ont déchiré leurs vêtements etc. et 'hass Véchalom de les suspecter de cela !
Plus généralement je pense que l'assimilation à l'idolâtrie provient du fait que le coléreux, ou le contrarié ou l'insatisfait, ets celui qui oublie que D. gère le monde, et donc, qu'on peut se plainder ou s'énerver lorsque des choses nous déplaisent.
On s'est un peu soi même pris pour D.
Il faut donc s'écarter un maximum même de ce genres de crontrariétés qui nous semblent être légitimes.
Pour ce faire je vous invite à écouter les cours sur la Hafkada dans la rubrique Avodat Hamidot --> Emouna.
Béhatsla'ha !