tunis de table

Chalom Ouvrah'a!

Tout d'abord je vous souhaite à vous ainsi qu'à toute votre famille un grand Mazal tov!

Au sujet de votre question, si je comprend bien elle voyage pour Chavouot en Israël et ensuite elle retourne en France pour continuer à y habiter jusqu'à la période du mariage.

Si tel est la cas, elle est pour l'instant considérée comme habitant à l'étranger et elle devra célébrer deux jours de Yom Tov.

Si elle compte voyager en Israël et y habiter jusqu'au mariage, elle doit faire qu'un seul jour de Yom Tov.

Kol touv et Mazal tov!

Chalom Ouvrah'a!

Le Choulh'an Arouh' (Orah' h'aïm chapitre 533 paragraphe 1) écrit explicitement qu'il est interdit de cuisiner pendant H'ol hamoèd pour après la fête.

Toutefois, s'il s'agit de préparer de la nourriture pour un repas de Mitsva qui aura lieu juste après la fête, et dans un cas où on sait pertinemment qu'après la fête on n'aura pas le temps de préparer ces plats, c'est autorisé de cuisiner pendant h'ol hamoèd (Kynian torah tome 2 chapitre 67, Chmirat chabbat kéhilh'ata chapitre 67 paragraphe 44 etc.)

Même dans ces cas, il vaut mieux consommer au moins un aliment pendant h'ol hamoèd même ou pendant le dernier jour de Yom tov, pour en avoir un peu profité pendant la fête même.

Toutefois il s'agit de repas de Mitsva tels qu'une circoncision ou d'un repas de mariage.

S'il s'agit de fiançailles, ce n'est pas suffisant pour pouvoir autoriser cela.

J'en ai d'ailleurs discuté avec le Rav Chlomo Zaafrani Chlita qui était tout à fait d'accord avec cela.

Béhatslah'a!

Kol touv. 

Chalom Ouvrah'a!

Vous posez une excellente question, je vais y répondre succinctement.

Il existe une grande controverse entre les grands décisionnaires quant à savoir si on peut reposer le Skah' sur un élément qui est Mékabel Toumea.

Le problème principal est qu'on craint que si on autorise cette chose, les gens risquent d'en venir à faire un Skah' complet à partir de cette matière-là, ce qui est évidemment interdit.

Les Achkénazim se montrent tous rigoureux à ce sujet.

Les Séfaradim sont d'avis partagés pour savoir quelle est l'opinion du Choulhan Arouh'.

Concrètement même Rav Ovadia Yossef qui tend vers l'autorisation écrit que malgré tout il vaut mieux éviter de le faire pour s'acquitter de l'ensemble des opinions!

Votre question est justement celle ci.

C'est-à-dire que le Skah' en lui-même est constitué d'une partie de roseaux largement majoritaire à celle du fil en laine, et donc il est clair que ceci ne devrait pas rendre la Soukka inapte comme on le voit dans plusieurs paragraphes du chapitre 631 que si la majorité est constituée de Skah' Cacher et la minorité de Skah' inapte, la Soukka est Kachéra.

Simplement ici, le problème est plus sérieux vu que sans le fil l'ensemble du Skah' ne tiendra pas et risque de tomber au moindre petit coup de vent!

Il s'avère donc que ce fil est Maamid (soutient) l'ensemble du Skah' c'est à dire qu'il supporte tout le Skah' et on en reviendrait donc à la controverse citée plus haut!

Simplement, disent le Rav Ovadia Yossef zatsal dans le Hazon Ovadia sur Soukkot en page 45 ainsi que le Rav Wozner Chlita dans le Chévèt Halévy tome 9 chapitre 137 (Il y a une erreur dans le Hazon Ovadia car il cite le Chévèt Halévy au chapitre 136), disent que c'est permis de mettre un Skah' dont les roseaux sont reliée l'un à l'autre avec de la colle bien que la colle n'est pas apte à être utilisée en tant que Skah'! Et ce même d'après les décisionnaire qui interdisent de reposer le Skah' sur une chose qui est mékabèl toumea!

La première raison qu'ils avancent est que cette colle est quasiment invisible, et donc on ne craint pas que les gens en viennent à penser qu'on peut faire un Skah' qu'avec de la colle!

La seconde est que c'est impossible de faire un Skah' tout entier avec de la colle, et donc on ne craint pas le risque cité plus haut!

Selon ces deux raisons (en particulier la première) il me semble que dans votre cas on peut tout à fait autoriser cette chose et réciter la Béraha dessus surtout qu'à nouveau certains disent qu'il n'y a pas de problème de Maamid!

Une personne qui viendrait acheter un Skah' il vaudrait mieux malgré tout qu'elle achète un Skah' qui n'a pas ces problèmes ainsi que le laisse sous entendre le Rav Wozner dans son livre pour s'acquitter même d'après l'opinion de Rachi selon lequel la raison pour laquelle on ne repose pas le Skah' sur une chose qui est Mékabèl Toumea n'est pas simplement à cause des craintes relatées plus haut mais c'est parce qu' on considère la chose comme si tout le Skah' était fait de cette chose là!

Chana tova Oumevoréh'ét!

Chalom

La coutume Séfarade est d'autoriser d'acheter des fruits secs, toutefois s'ils n'ont pas été grillés et salés, parce qu'on ne peut jamais savoir s'il n'y a pas de H'amèts qui a été introduit au cours de ce grillage.

Pessah' cacher vésaméah'!.

Chalom Ouvrah'a!

Tout d'abord je vous souhaite à vous ainsi qu'à toute votre famille un grand Mazal tov!

Au sujet de votre question, si je comprend bien elle voyage pour Chavouot en Israël et ensuite elle retourne en France pour continuer à y habiter jusqu'à la période du mariage.

Si tel est la cas, elle est pour l'instant considérée comme habitant à l'étranger et elle devra célébrer deux jours de Yom Tov.

Si elle compte voyager en Israël et y habiter jusqu'au mariage, elle doit faire qu'un seul jour de Yom Tov.

Kol touv et Mazal tov!

Oui, il n'y a pas de problème. 

Si vous arrivez à un endroit où il y a de la musique, que votre épouse essaye de ne pas profiter de la musique.

Kol touv et Béssorot tovot.

Pourim Saméah'!

Chalom!

Non, il faut jeûner. Efforcez vous de rester dans des endroits climatisés ou bien aérés etc.

Si au cours du jeûne vous ne tenez plus, malaises etc. ce sera déjà autre chose.

Kol touv!

Chalom!

Il est écrit dans la Halah'a que durant la période du Omèr jusqu'à Lag baomèr, il est interdit d'écouter de la musique sauf cas d'exception.

Dans des repas de Mitsva tels que un Siyoum masséh'èt (au moment où on vient de finir l'étude d'un traité de talmud), une circoncision etc. il est autorisé de mettre de la musique pendant cette période.

Toutefois le Magèn Avraham ainsi que le Michna béroura tranchent qu'à ce propos le repas fait en l'honneur des fiançailles n'est pas considéré comme étant un repas de Mitsva au point qu'on ait le droit d'écouter de la musique en cette circonstance.

En pratique, le conseil le meilleur que je puisse vous donner est de terminer l'étude d'un traité (de vous même ou de demander à quelqu'un de le faire) et de faire ce Siyoum Masséh'èt durant ce repas de sorte à ce que d'après toutes les opinions vous ayez le droit d'allumer de la musique.

Le Rav Zaafrani Chlita a approuvé ce que je vous ais écrit.

Le Yalkout yossef rapporte au nom du Magèn Avraham qu'il y a lieu d'autoriser. Mais c'est très étonnant vu que le Magèn Avraham dit tout l'inverse.

Kol touv.