Bonjour Rav,
J'ai une question à propos du raisonnement que vous avez eu à propos de messir monea.
Dans le cas où l'on se trouve chabbat dans un hotel et que les portes ne s'ouvrent qu'à l'aide d'une carte magnétique, est-il possible de damander beremez à un goy d'ouvrir la porte et donc de rentrer tranquillement dans la chambre ?
D'autre part si le goy possède également une véritable clé pour ouvrir la porte en question peut on lui demander meforach de l'ouvrir ?
Merci d'avance !
Chalom Ouvrakha !
1- Oui. Le mieux serait tout de même de lui demander avant Chabbat d'ouvrir à chaque fois que vous aurez besoin et de lui promettre un paiement pour chaque fois où il vous ouvrira la porte. Cf. Or'haot Chabbat (chap. 23 § 33 note 70 au nom du Rav Elyachiv zatsal).
2- Oui, les décisionaires affirment que lorsque l'on demande à un non-juif de faire quelque chose qu'il pourrait faire de façon autorisée et que pour sa propre aise il le fait de façon interdite, ceci n'est pas interdit pour nous (Cf. Caf Ha'haïm chap. 337 § 21).
Kol touv !
Bonjour rav
J'ai un probleme pour chabbat dans mon couloir d'immeuble, puis dans mes escaliers.
Un detecteur de mouvement allume la lumiere dans le couloir, puis un autre detecteur de mouvement allume dans les escaliers.
Et malheureusement il semblerait que ce soit un psik reche deniha le car dans le couloir il y a juste une toute petite lumiere de secours qui est tout le temps allumée et dans les escaliers aussi la lumiere qui est tout le temps allumée est trop faible, si bien que lorsqu'on descend les marches la petite lumiere ne suffit pas du tout pour éclairer. que faire?
Merci bcp rav
Chalom Ouvrakha !
Veuillez lire la réponse suivante :
http://www.torahacademy.fr/sortie-chabbat
Kol touv !
Bonjour Rav,
J'ai une question à propos du raisonnement que vous avez eu à propos de messir monea.
Dans le cas où l'on se trouve chabbat dans un hotel et que les portes ne s'ouvrent qu'à l'aide d'une carte magnétique, est-il possible de damander beremez à un goy d'ouvrir la porte et donc de rentrer tranquillement dans la chambre ?
D'autre part si le goy possède également une véritable clé pour ouvrir la porte en question peut on lui demander meforach de l'ouvrir ?
Merci d'avance !
Chalom Ouvrakha !
1- Oui. Le mieux serait tout de même de lui demander avant Chabbat d'ouvrir à chaque fois que vous aurez besoin et de lui promettre un paiement pour chaque fois où il vous ouvrira la porte. Cf. Or'haot Chabbat (chap. 23 § 33 note 70 au nom du Rav Elyachiv zatsal).
2- Oui, les décisionaires affirment que lorsque l'on demande à un non-juif de faire quelque chose qu'il pourrait faire de façon autorisée et que pour sa propre aise il le fait de façon interdite, ceci n'est pas interdit pour nous (Cf. Caf Ha'haïm chap. 337 § 21).
Kol touv !
Bonjour rav
J'ai un probleme pour chabbat dans mon couloir d'immeuble, puis dans mes escaliers.
Un detecteur de mouvement allume la lumiere dans le couloir, puis un autre detecteur de mouvement allume dans les escaliers.
Et malheureusement il semblerait que ce soit un psik reche deniha le car dans le couloir il y a juste une toute petite lumiere de secours qui est tout le temps allumée et dans les escaliers aussi la lumiere qui est tout le temps allumée est trop faible, si bien que lorsqu'on descend les marches la petite lumiere ne suffit pas du tout pour éclairer. que faire?
Merci bcp rav
Chalom Ouvrakha !
Veuillez lire la réponse suivante :
http://www.torahacademy.fr/sortie-chabbat
Kol touv !
chalom rav
Tout d'abord merci pour ce site et ces cours qui sont absolument formidables!
A propos de votre cour au sujet du mikve des ustensiles électriques (cf http://www.torahacademy.fr/introduction-ustencile-electrique ), vous avez cité le helkat yaacov mais il me semble que le or letsion,le rav yaacov yossef (qui se fonde sur le fait qu'il est fort possible qu'un juif soit actionnaire de l'usine qui a fabriqué l'objet) ainsi que le rav haim david halevy dans son livre hasse leva rav partagent l'avis du helkat yaacov.
Peut on alors être mekel dans ce cas?
D'autre part je voudrais savoir si on a le droit de manger quand dans des kelim non trempés quand on est invité,on m'a dit que le rav chlomo zalman oerbach autorisait en cas de chaat hadehak connaissez vous ce psak?
merci rav
que D... vous bénisse
Chalom Ouvrah'a!
Non, la majorité des Décisionnaires ne se reposent pas sur cet avis.
Le fait qu'il est fort probable que des juifs soient actionnaires etc. fait que d'après certains, on ne récite jamais la bénédiction sur des ustensiles trempés bien qu'ils ont été fabriqués par des usines de non juifs. Le Rav Ovadia Yossef zatsal et de nombreux autres Décisionnaires ont réfuté cet avis et autorisent de réciter la bénédiction!
Lorsque vous êtes invités chez une personne qui n'a pas trempé ses ustensiles, il existe plusieurs opinions entre les grands Décisionnaires.
Au sujet de votre seconde question veuillez lire toute la réponse suivante et vous serez satisafait Béézrat Hachèm!
Merci de vos encouragements!
Kol touv!
chalom rav
Tout d'abord merci pour ce site et ces cours qui sont absolument formidables!
A propos de votre cour au sujet du mikve des ustensiles électriques (cf http://www.torahacademy.fr/introduction-ustencile-electrique ), vous avez cité le helkat yaacov mais il me semble que le or letsion,le rav yaacov yossef (qui se fonde sur le fait qu'il est fort possible qu'un juif soit actionnaire de l'usine qui a fabriqué l'objet) ainsi que le rav haim david halevy dans son livre hasse leva rav partagent l'avis du helkat yaacov.
Peut on alors être mekel dans ce cas?
D'autre part je voudrais savoir si on a le droit de manger quand dans des kelim non trempés quand on est invité,on m'a dit que le rav chlomo zalman oerbach autorisait en cas de chaat hadehak connaissez vous ce psak?
merci rav
que D... vous bénisse
Chalom Ouvrah'a!
Non, la majorité des Décisionnaires ne se reposent pas sur cet avis.
Le fait qu'il est fort probable que des juifs soient actionnaires etc. fait que d'après certains, on ne récite jamais la bénédiction sur des ustensiles trempés bien qu'ils ont été fabriqués par des usines de non juifs. Le Rav Ovadia Yossef zatsal et de nombreux autres Décisionnaires ont réfuté cet avis et autorisent de réciter la bénédiction!
Lorsque vous êtes invités chez une personne qui n'a pas trempé ses ustensiles, il existe plusieurs opinions entre les grands Décisionnaires.
Au sujet de votre seconde question veuillez lire toute la réponse suivante et vous serez satisafait Béézrat Hachèm!
Merci de vos encouragements!
Kol touv!
bonjour rav
je pars en voyage dimanche 9 av après hatzot et j'aurai voulu savoir si je peut faire des petits travaux comme ranger la maison faire de la vaisselle (puisque la veille sera chabbat donc impossible de laver les kelim de la seouda chlichit) boucler les valises... tout cela avant hatzot car on n'aura pas le temps de tout faire après hatzot.
merci d'avance!
Chalom!
Oui c'est permis. Il eu mieux valu après H'atsot, mais s'il n'y a pas d'autre choix c'est autorisé.
Pour la vaisselle faites la si possible avec des gants ou à l'eau froide, c'est l'idéal.
Kol touv!
Bonjour Rav,
j'ai une question un peu urgente: un homme qui doit passer hannoucah dans un hôpital et qui n'a personne pour l'acquitter de l'allumage, peut il s'en acquitter avec des lumières électriques (puisque en général les hôpitaux interdisent d'allumer des bougies dans les chambres)?
Si oui, fait on une différence entre les LED et les lampes normales, ou toutes sont autorisées?
De plus, peut il n'en allumer qu'un seule en se conformant au din ou doit il en allumer autant que si il allumait avec des bougies à la maison?
Merci Rav et desole de vous deranger avec toutes ces questions, que D... vous benisse, chabbat chalom
Bonjour Rav,
Chalom Ouvrah'a!
j'ai une question un peu urgente: un homme qui doit passer hannoucah dans un hôpital et qui n'a personne pour l'acquitter de l'allumage, peut il s'en acquitter avec des lumières électriques (puisque en général les hôpitaux interdisent d'allumer des bougies dans les chambres)?
La majorité des décisionnaires écrivent qu'on ne peut s'acquitter de la Mitsva des bougies de H'annoucca avec des lumières électriques. En effet, il faut nécessairement de l'huile (ou un combustible au moins) et une mèche.
Toutefois lorsqu'il n'y a pas d'autre choix l'opinion du Rav Elyachiv zatsal et du Rav Oyerbah' zatsal est qu'on peut allumer avec Brah'a dès lors qu'on voit que ceci est allumé en tant que H'annouccia.
L'opinion du Rav Ovadia Yossef zatsal est que dans un tel cas on allumera de la sorte mais sans réciter de bénédiction (H'azon Ovadia page 93).
Si oui, fait on une différence entre les LED et les lampes normales, ou toutes sont autorisées?
Avec une ampoule normale où on peut au moins tenter de considérer la fil comme étant une mèche. Au passage si vous pouvez avec une lampe de poche fonctionnant avec une pile, c'est l'idéal.
De plus, peut il n'en allumer qu'un seule en se conformant au din ou doit il en allumer autant que si il allumait avec des bougies à la maison?
C'est comme à la maison, à savoir qu'il est possible de n'en allumer qu'une mais il vaut largement mieux essayer de s'acquitter du Hidour Mitsva.
Merci Rav et desole de vous deranger avec toutes ces questions,
Avec plaisir, ce sont d'excellentes questions. Réfoua Chéléma!
que D... vous benisse, chabbat chalom
Amen! Vous aussi!
chalom rav
je sais qu'il interdit de faire des achats pendant hol amoaed si ce n'est pour le moed meme. Mais est-ce moutar d'acheter par exemple des legumes en grande quantité dans le but de s'en servir pendant le fete est d'en avoir directement après la fete (pour motsae yom tov)?
Ou est ce que ca marche comme pour la machine à laver où l'on pas le droit de mettre plus que ce qui est necessaire à la fete?
Merci rav du temps que vous consacrer que D.... vous accorde une grande hatslaha dans tout ce que vous entreprenez.
Moadim Lessimha
Moadim Lésimh'a!
Acheter pendant H'ol hamoèd des fruits et légumes etc. qui sont pour la fête est complètement autorisé.
Si vous en achetez pour la fête en étant large, c'est aussi autorisé et ce n'est pas la peine de se forcer à acheter le minimum du minimum au risque de manquer de victuailles pendant la fête.
Si vous achetez exprès une quantité supérieure à celle dont vous avez besoin, pour après la fête, c'est l'objet d'une discussion entre deux grands décisionnaires:
Les légumes qu'on a l'habitude d'acheter en grands paquets tels que les pommes de terre il n'y a aucun problème à les acheter tels quels, bien qu'on sait qu'il s'agit d'une quantité supérieure à celle dont on aura besoin pour la fête, vu que c'est la façon de les acheter généralement.
Moadim Lésimh'a!
Bonjour rav A propos du hyouv bedikat hametz vous enseignez qu?une personne qui quitte son domicile en vendant tout le hametz qui s?y trouve, n?est pas obligeait de faire la bedika dedans. Seulement si elle entre dans un endroit qui ne lui appartient pas et donc qu?elle n?a pas de hyouv bedika ce n?est pas un bon comportement, bien que moutar mitsad hamet. Selon cela, on comprend que la bedika fait l?objet d?un hyouv heftsa, plus exactement sur la maison. Beaucoup enseignent comme vous : le rav ofir malka, le piskei techouvot (de mémoire) et d?autres. Cependant, ca ne me semble pas tout à fait en accord avec le choulhan aroukh 436,3. La bas, on y voit qu?un homme qui quitte la maison d?un non juif en lui laissant tout son hametz, s?il la quitte dans les 30 jours précédant pessah et qu?il ne rentre pas dans une nouvelle maison à lui (dans laquelle il va avoir un hyouv bedika) : il doit faire une bedika dans la maison qu?il va quitter, même si il compte se séparer complètement du hametz et ne plus revenir dans cette maison. Car le hyouv est tombé sur cette homme dans les 30 jours (et qu?il n?aura pas d?autre endroit sur lequel le reporter) : on voit donc que le hyouv est gavra. Donc si on revient à notre cas, selon le choulhan aroukh même une personne qui part de chez elle en vendant toute la maison et rentre dans une maison qui ne lui appartient pas pendant pessah, a l?obligation de faire la bedika. J?en ai parlé avec plusieurs rabbanim, lorsque j?étais à la yechiva, qui étaient d?accord avec moi, certains d?entre eux enseignaient même ainsi à leur communauté. J?aimerai bien comprendre votre opinion Merci beaucoup, Kol touv.
Chalom Ouvrakha !
Vous posez une excellente question, et j'aimerai y répondre de façon claire.
Vous demandez comment cela se fait que lorsqu'un homme quitte son appartement et vend tout son contenu le 13 Nissan au non-juif, que l'on dise qu'il est dispensé de vérification du 'Hamets, pourtant le Choul'han Aroukh tranche que lorsque l'on quitte son appartement dans les 30 jours précédent la fête, il faut s'assurer que l'on pourra procéder à la vérification du 'Hamets soit dans le nouvel endroit où on ira, soit chez soi.
Tout d'abord je précise que selon le Taz (cf. aussi Rama), cette opinion de Halakha n'est pas retenue. Mais vous avez raison que le Choul'han Aroukh semble trancher dans le sens de l'opinion que vous soulignez !
La première réponse et la plus simple est celle que donne le 'Hafets 'Haïm (chap. 436 § 28, cf. aussi Chaar Hatsioun § 29), que lorsque l'on quitte un endroit pour aller chez ses beaux parents, ou à l'hôtel ou chez des amis, lorsqu'eux feront la Bdika c'est comme si on avait nous même fait la Bdika puisqu'ils sont comme notre envoyé. C'est la raison pour laquelle le Choul'han ARoukh n'a pris pour exemple que le cas où l'on voyage en plein océan et donc là bas on ne pourra en aucune façon accomplir la Mitsva.
La seconde réponse un peu plus poussée mais qui me semble être réelle, est la suivante. Le Chout Bynian Olam chap. 20 (rapporté par le Michna Béroura § 32) explique la chose suivante, je vous l'écrit en substance. Selon lui, il existe une immense différence entre le cas où je quitte ma maison pour laisser un non-juif y habiter et entre le cas où je vend mon 'Hamets à un non-juif. Dans le cas où je vends mon 'Hamets à un non-juif, ce faisant je suis en train d'accomplir la Mitsva de Bdikat et Biour 'Hamets. En effet, je fait en, sorte de me séparer du 'Hamets qui est le mien. Qu'est ec que cela change si je le brule ou si je le jette en plein domaine public, ou si encore, je le vend au non-juif.
Le Roch d'ailleurs écrit explicitement que la Mitsva de brûler c'est uniquement une fois que l'heure butoir est passée, mais avant on peut se débarrasser du 'Hamets comme on veut. Si vous me demandez, mais alors je n'accomplirai pas concrètement la Mitsva de Bdika, la réponse est que si, puisque la vente est un acte actif venant dans cette intention.
Si vous me dites que tout cela c'est tout de même un peu du Pilpoul et que c'est Méhoudach, et qu'il est clair qu'il vaut mieux faire sa propre Bdikat Halets au moins dans une pièce, c'est aussi ce que je dit qu'il vaut mieux dans tous les cas laisser une pièce.
J'ai été assez succinct on pourrait faire beaucoup de Pilpoul autour de ce sujet, et je vous remercie d'avoir soulevé ce point très intéressant !
Kol touv !
chalom rav
je sais qu'il interdit de faire des achats pendant hol amoaed si ce n'est pour le moed meme. Mais est-ce moutar d'acheter par exemple des legumes en grande quantité dans le but de s'en servir pendant le fete est d'en avoir directement après la fete (pour motsae yom tov)?
Ou est ce que ca marche comme pour la machine à laver où l'on pas le droit de mettre plus que ce qui est necessaire à la fete?
Merci rav du temps que vous consacrer que D.... vous accorde une grande hatslaha dans tout ce que vous entreprenez.
Moadim Lessimha
Moadim Lésimh'a!
Acheter pendant H'ol hamoèd des fruits et légumes etc. qui sont pour la fête est complètement autorisé.
Si vous en achetez pour la fête en étant large, c'est aussi autorisé et ce n'est pas la peine de se forcer à acheter le minimum du minimum au risque de manquer de victuailles pendant la fête.
Si vous achetez exprès une quantité supérieure à celle dont vous avez besoin, pour après la fête, c'est l'objet d'une discussion entre deux grands décisionnaires:
Les légumes qu'on a l'habitude d'acheter en grands paquets tels que les pommes de terre il n'y a aucun problème à les acheter tels quels, bien qu'on sait qu'il s'agit d'une quantité supérieure à celle dont on aura besoin pour la fête, vu que c'est la façon de les acheter généralement.
Moadim Lésimh'a!
Bonjour Rav,
j'ai une question un peu urgente: un homme qui doit passer hannoucah dans un hôpital et qui n'a personne pour l'acquitter de l'allumage, peut il s'en acquitter avec des lumières électriques (puisque en général les hôpitaux interdisent d'allumer des bougies dans les chambres)?
Si oui, fait on une différence entre les LED et les lampes normales, ou toutes sont autorisées?
De plus, peut il n'en allumer qu'un seule en se conformant au din ou doit il en allumer autant que si il allumait avec des bougies à la maison?
Merci Rav et desole de vous deranger avec toutes ces questions, que D... vous benisse, chabbat chalom
Bonjour Rav,
Chalom Ouvrah'a!
j'ai une question un peu urgente: un homme qui doit passer hannoucah dans un hôpital et qui n'a personne pour l'acquitter de l'allumage, peut il s'en acquitter avec des lumières électriques (puisque en général les hôpitaux interdisent d'allumer des bougies dans les chambres)?
La majorité des décisionnaires écrivent qu'on ne peut s'acquitter de la Mitsva des bougies de H'annoucca avec des lumières électriques. En effet, il faut nécessairement de l'huile (ou un combustible au moins) et une mèche.
Toutefois lorsqu'il n'y a pas d'autre choix l'opinion du Rav Elyachiv zatsal et du Rav Oyerbah' zatsal est qu'on peut allumer avec Brah'a dès lors qu'on voit que ceci est allumé en tant que H'annouccia.
L'opinion du Rav Ovadia Yossef zatsal est que dans un tel cas on allumera de la sorte mais sans réciter de bénédiction (H'azon Ovadia page 93).
Si oui, fait on une différence entre les LED et les lampes normales, ou toutes sont autorisées?
Avec une ampoule normale où on peut au moins tenter de considérer la fil comme étant une mèche. Au passage si vous pouvez avec une lampe de poche fonctionnant avec une pile, c'est l'idéal.
De plus, peut il n'en allumer qu'un seule en se conformant au din ou doit il en allumer autant que si il allumait avec des bougies à la maison?
C'est comme à la maison, à savoir qu'il est possible de n'en allumer qu'une mais il vaut largement mieux essayer de s'acquitter du Hidour Mitsva.
Merci Rav et desole de vous deranger avec toutes ces questions,
Avec plaisir, ce sont d'excellentes questions. Réfoua Chéléma!
que D... vous benisse, chabbat chalom
Amen! Vous aussi!
bonjour rav
je pars en voyage dimanche 9 av après hatzot et j'aurai voulu savoir si je peut faire des petits travaux comme ranger la maison faire de la vaisselle (puisque la veille sera chabbat donc impossible de laver les kelim de la seouda chlichit) boucler les valises... tout cela avant hatzot car on n'aura pas le temps de tout faire après hatzot.
merci d'avance!
Chalom!
Oui c'est permis. Il eu mieux valu après H'atsot, mais s'il n'y a pas d'autre choix c'est autorisé.
Pour la vaisselle faites la si possible avec des gants ou à l'eau froide, c'est l'idéal.
Kol touv!
bonjour rav
j'ai poussé mon pere et mon frere à prendre de jolies loulavim pour cette année puis-je leur payer la difference de prix qu'il y a entre un loulav stam et leur loulav avec l'argent de mon maasser sachant qu'ils ne sont pas dutout des anyim h''v (parce que j'avais vu que selon rav oerbach on pouvait payer la difference avec le maasser mais je ne sais pas si on peut faire ca pour d'autres personnes)
merci beaucoup hag sameah
Chalom!
Oui c'est possible. Cela ne change rien aux yeux de D. que vous même accomplissiez une Mitsva avec Hidour ou si c'est une autre personne. La logique reste donc la même.
Ceci étant c'est sûr que s'ils peuvent sans aucun problème le payer avec leur argent et qu'il l'auraient acheté même sans cette option, il vaut mieux essayer de l'accomplir de son propre argent.
Mais s'ils n'auraient pas acheté un tel Loulav sans cela, c'est permis.
Béhatslah'a!
Chalom rav et chana tova,
J'ai deux questions, la premiere concerne kippour: est on obligé de pardonner à tout le monde meme à ceux qui nous ont fait du mal à plusieurs reprises et avec qui on ne veut plus avoir aucun contact?
Si oui doit on pardonner explicitement ou peut on etre mohel dans notre coeur sans le dire à la personne concerné? Ceci afin de ne plus jamais avoir aucun contact avec la personne qui nous doit des excuses.
Ma seconde question concerne souccot: a t-on le droit d'accompagner un homme (habbad) qui fait faire la beraha sur le loulav à beaucoup de gens, dont des femmes,dans la rue ou est ce considéré comme si on cotionnait une avera, sachant qu'il ya quand meme certains eterim comme ceux du hida, du caf hahaim, du ran, du ben ish hai...
J'ai informé cette personne que ca posait de gros problèmes de beraha levatala mais elle ne veut rien entendre... . Merci rav
Chalom!
Au sujet de la première question: Si la personne vous a fait du mal et qu'elle ne vous demande pas pardon vous n'avez pas d'obligation de lui pardonner, mais c'est tout de même recommandé.
Si le lui dire est une porte ouverte à d'autres fois où elle va vous causer du tort, ne lui dites rien!
Au sujet de la seconde question, vu que l'opinion Achkénaze est que ceci est autorisé, et que l'opinion du H'idda se reposant sur Chout Min Hachamaïm est d'autoriser, c'est vrai que le Rav Ovadia Yossef (Yabia Omer Tome 1 chapitre 40) s'y est opposé de toutes ses forces, toutefois il y a sur qui se reposer.
Gmar H'atima Tova!