chalom rav, j'ai du mal a ne + faire du tout de bedikot car plusieurs questions me travaillent;
1- s'il est ecrit (et decrit) dans la Torah les differents hargachotes qui rendent nida pourquoi dit on qu'aujourd'hui il n' y en a plus? (cela signifie t-il qu'elles n'existent plus ou qu'elles sont impossibles a ressentir (si oui pourquoi ne peut on plus les ressentir?) de plus que la torah est valables a tout les temps et pour toutes les generations.
2-pourquoi nous enseigne t-on dans les cours de kala que il faut faire des hazarotes de nos hargachotes pour apprendre a les reconnaitre si elles n'existent plus aujourd'hui (sans nous dire que ceci n'est plus valable aujourd'hui)? d'autant plus que on peut declarer une femme nida si il y a le doute qu'une goutte de sang s'est echappee.... merci infiniement
Chalom Ouvrah'a!
1- s'il est ecrit (et decrit) dans la Torah les differents hargachotes qui rendent nida pourquoi dit on qu'aujourd'hui il n' y en a plus? (cela signifie t-il qu'elles n'existent plus ou qu'elles sont impossibles a ressentir (si oui pourquoi ne peut on plus les ressentir?) de plus que la torah est valables a tout les temps et pour toutes les generations.
Ces Hargachot ne sont plus ressenties en général. Il existe dans les propos de nos maîtres des fois où ils affirment que la nature a changée.
Pour ne vous donner qu'un exemple à l'poque du Choulh'an Arouh' la plupart des femmes avaient des règles fixes au jour près. C'est ainsi qu'il l'affirme. Pourtant de nos jours cette réalité s'est transformée. Bien que la Torah elle même reste immuable, et donc à nous de nous comporter et de trancher la Halah'a selon cela.
Vous connaissant un peu, je peux vous dire que vous êtes très stressée, et c'est une raison supplémentaire de pouvoir affirmer que ceux ne sont pas de vraies hargachot mais plutôt du stress.
2-pourquoi nous enseigne t-on dans les cours de kala que il faut faire des hazarot de nos hargachotes pour apprendre a les reconnaitre si elles n'existent plus aujourd'hui (sans nous dire que ceci n'est plus valable aujourd'hui)? d'autant plus que on peut declarer une femme nida si il y a le doute qu'une goutte de sang s'est echappee....
Je ne sais pas c'est quoi des "hazarot de nos hargachot". On enseigne cela pour le cas théorique où une femme aurait cette hargacha, qu'elle sache comment se comporter.
Béhatslah'a!
Chalom rav, doit-on montrer le sous vetements (culotte) de couleurs (claires ou foncees) qui presentent des secretions jaunes foncee ou de couleur non definissable ou seul la presence de sang mamach doit faire l'objet de cheelat rav?
en d'autres termes, dans quels cas doit on apporter les sous vetements au rav?
toda rabba kol touv
Chalom!
Je vous invite à bien écouter le cours suivant: http://www.torahacademy.fr/purete-2-2
En un mot:
Kol touv!
Chalom rav,
est ce que une teinte coloree de l'urine (jaune tres foncee ou de reflet rouge) , sans autres traces par ailleurs (ni sur vetement ni sur bedika), peut s'apparanter a du sang qui peut rendre nida? (sans aucune hargacha pendant l'ecoulement mais immediatement apres).
merci beaucoup kol touv
Chalom Ouvrah'a!
Si les urines sont rouges il y a des cas où c'est que du sang s'est mélangé.
Généralement il s'agit de cas où la femme souffre d'une infection urinaire ou autre, auquel cas, après examen médical, on autorise cette femme à son mari.
Toutefois des urines de couleur jaune foncée ne sont pas concernées par ce problème.
Par le mot reflet je ne sais pas à quoi vous faites allusion!
Kol touv!
Chalom rav,
je voulais savoir comment est il possible de relativiser dans le domaine aussi important et kadosh de tahara hamichpahat (qui en plus est passible de hayav karet si non respectees)??
je me culpabilise enormement dans ce domaine, particulierement, dans lequel j'ai enormement de mal a relativiser.
surtout que ca implique aussi mon mari qui fait confiance sur toutes les demarches du processus de purification.....a sa femme.
c'est donc aussi une enorme responsabilite.
je n'arrive meme plus a jeter mes bedikots tant ke je les ai pa vu avec mon mari. (de peur davoir mal regarder ou davoir rater un detail tres important qui aurait pu faire l'objet d'une cheela).
bien que j'ai deja regarder vos cours a ce sujet qui mon deja ete d'une tres grande utilites , j'ai besoin d'elements en plus pour m'aider vraiment a relativiser et me detendre dans ce domaine.
merci infiniement de votre comprehension et de votre patience.
kol touv
Chalom Ouvrah'a!
Oui, je connais très bien ce problème!
J'ai des dizaines d'élèves qui sont généralement détendues etc. et qui justement concernant ce sujet sont super stressées voir obsédées.
C'est justement l'importance du sujet qui entraîne cette peur démesurée.
Si ceci ne vous paralyse pas trop, ce n'est pas très grave, et il n'y a arien de grave à regarder les vérifications avec votre mari, je pense justement que c'est une bonne chose que lui aussi soit impliqué, et c'est un prétexte supplémentaire pour échanger quelques propos avec lui.
Si votre situation est telle que vous êtes paralysées et que vous souffrez vraiment de cela, comme c'est le cas chez certaines femmes, une consultation chez un psychologue compétent s'impose et peut vraiment vous libérer avec l'aide de D. et prières bien sur de cette obsession.
Béhatslah'a!
chalom,
1) est-on obligée de regarder une bedika a la lumiere du jour ou peut on la jeter directement si il ni a rien d'interpellant?
2) et peut on jeter une bedika qui presente des couleurs tahor mais qu'il y a un ou deux petits points noirs minuscules ou doit on poser la question?
3) au final, est il possible qu'il y ait des reflets (rouges ou autres ) sur une bedika ou c'est notre imagination et seul le sang mamach compte?
merci infiniement kol touv
Chalom Ouvrah'a!
1) est-on obligée de regarder une bedika a la lumiere du jour ou peut on la jeter directement si il ni a rien d'interpellant?
Vous pouvez tout à fait vérifier à la lumière électrique pour voir ce qui se trouve sur le tissu témoin.
Si vous voyez qu'il est complètement propre, il n'y a aucun problème.
Le problème se pose lorsque vous voyez qu'il y a une sécrétion dont vous avez du mal à établir sa couleur exacte. Dans ce cas, la lumière du jour est nécessaire. C'est la lumière la plus fiable et la plus exacte.
En général la lumière blanche des néons à tendance à pâlir beaucoup la couleur, alors que les lumières jaunes (halogènes, ampoules à incandescence) ont tendance à rougir beaucoup la couleur.
Seule la lumière du jour un jour ensoleillé, mais sans être exposé directement face au soleil mais à l'ombre, est en mesure de définir la couleur exacte avec certitude.
Dans tous les cas, si la couleur est douteuse, à vous de ne pas prendre de risques et de consulter un Rav qui est compétent dans ce domaine.
2) et peut on jeter une bedika qui presente des couleurs tahor mais qu'il y a un ou deux petits points noirs minuscules ou doit on poser la question?
Le noir est considéré par la Halah'a comme étant une couleur problématique appartenant à la famille des sangs interdits. Or sur un tissu témoin, même les toutes petites tâches (largement inférieures à un Griss rendent Nidda.
Cf le cours dans lequel on explique précisément ceci et la raison: http://www.torahacademy.fr/purete-3-1
Ceci étant vous il est très fréquent que ces toutes petites tâches noires soient des particules ou déchets complètement extérieur au corps de la femme et dans ce cas elles ne sont pas interdites.
C'est pourquoi s'il vous est difficile d'établir la nature de ces petits points, il faut apporter ce tissu à un Rav compétent en la matière qui vous dira s'il y a un problème ou non.
3) au final, est il possible qu'il y ait des reflets (rouges ou autres ) sur une bedika ou c'est notre imagination et seul le sang mamach compte?
C'est possible et fréquent qu'il y ait des reflets rouges qui sont strictement interdits et c'est aussi fréquent que les femmes s'imaginent des reflets qui n'existent pas.
Le meilleur conseil que je puisse vous donner est donc d'avoir recours à un Rav si le doute subsiste alors que vous continuez à voir ces reflets à la lumière du jour.
merci infiniement kol touv
Avec plaisir!
Kol touv!
chalom, je voulais savoir quelles sont les hargachotes pour lesquelles il faut faire des bedikotes pendant la periode tahor ?
Comment fait on lorsque on a beaucoup d'hargachotes differentes au niveau de l'uterus (comme des elancements, des petites contractions, des ecoulements....), meme si on fait des hazakotes il est difficiles de reconnaitre et regrouper les differentes types d'hargachotes (on peut pas passer son temps a faire des bedikotes.....)??
et j'ai lu que si on a une hargacha similaire aux regles mais qu'on a pas fait de bedika on peut etre declaree nida (dans le doute que le sang s'est peut etre perdu) ??
merci beaucoup
Chalom!
Un cours a été mios en ligne en début de semaine dernière à ce sujet. Il répondra à une grande partie de vos questions.
Cf http://www.torahacademy.fr/purete-2-1
Je ne pense toutefois pas que c'est normal que vous ayez tellement de sensations ainsi que vous avez l'air de le décrire.
Il est possible que vous avez tellement peur d'avoir ces sensations que vous imaginez d'autres sensations comme celles ci, ce qui est au passage, très fréquent chez les femmes un peu stressées. Mais ce n'est peut être pas votre cas.
Béhatslah'a!
chalom,
est ce que la fleur de douche que l'on utilise pour se savonner a le meme statut que le papier de toilette c'est a dire qu'elle ne peut rendre impure?
(par exemple, si on y voit dessus des petits points noirs....ou il faut vraiment y voir du sang mamach?)
toda raba
Chalom Ouvrah'a!
Dites moi s'il vous plait en quelle matière est constituée cette fleur de douche.
Au sujet de votre exemple, je ne le comprend pas tout à fait parce que les choses qui ne sont pas susceptibles à recevoir l'impureté tel que le papier toilettes ne rendent pas la femme Nidda même si la couleur est vraiment rouge.
Même si cette matière est susceptible de recevoir l'impureté, si la couleur ne tend pas vers le rouge et le noir, il n'y a pas de problème non plus.
Bref, les cours qui seront mis en ligne ces Lundi sur le site, vont vous permettre Béézrat Hachèm d'y voir beaucoup plus clair.
Kol touv!
chalom,
1) est-on obligée de regarder une bedika a la lumiere du jour ou peut on la jeter directement si il ni a rien d'interpellant?
2) et peut on jeter une bedika qui presente des couleurs tahor mais qu'il y a un ou deux petits points noirs minuscules ou doit on poser la question?
3) au final, est il possible qu'il y ait des reflets (rouges ou autres ) sur une bedika ou c'est notre imagination et seul le sang mamach compte?
merci infiniement kol touv
Chalom Ouvrah'a!
1) est-on obligée de regarder une bedika a la lumiere du jour ou peut on la jeter directement si il ni a rien d'interpellant?
Vous pouvez tout à fait vérifier à la lumière électrique pour voir ce qui se trouve sur le tissu témoin.
Si vous voyez qu'il est complètement propre, il n'y a aucun problème.
Le problème se pose lorsque vous voyez qu'il y a une sécrétion dont vous avez du mal à établir sa couleur exacte. Dans ce cas, la lumière du jour est nécessaire. C'est la lumière la plus fiable et la plus exacte.
En général la lumière blanche des néons à tendance à pâlir beaucoup la couleur, alors que les lumières jaunes (halogènes, ampoules à incandescence) ont tendance à rougir beaucoup la couleur.
Seule la lumière du jour un jour ensoleillé, mais sans être exposé directement face au soleil mais à l'ombre, est en mesure de définir la couleur exacte avec certitude.
Dans tous les cas, si la couleur est douteuse, à vous de ne pas prendre de risques et de consulter un Rav qui est compétent dans ce domaine.
2) et peut on jeter une bedika qui presente des couleurs tahor mais qu'il y a un ou deux petits points noirs minuscules ou doit on poser la question?
Le noir est considéré par la Halah'a comme étant une couleur problématique appartenant à la famille des sangs interdits. Or sur un tissu témoin, même les toutes petites tâches (largement inférieures à un Griss rendent Nidda.
Cf le cours dans lequel on explique précisément ceci et la raison: http://www.torahacademy.fr/purete-3-1
Ceci étant vous il est très fréquent que ces toutes petites tâches noires soient des particules ou déchets complètement extérieur au corps de la femme et dans ce cas elles ne sont pas interdites.
C'est pourquoi s'il vous est difficile d'établir la nature de ces petits points, il faut apporter ce tissu à un Rav compétent en la matière qui vous dira s'il y a un problème ou non.
3) au final, est il possible qu'il y ait des reflets (rouges ou autres ) sur une bedika ou c'est notre imagination et seul le sang mamach compte?
C'est possible et fréquent qu'il y ait des reflets rouges qui sont strictement interdits et c'est aussi fréquent que les femmes s'imaginent des reflets qui n'existent pas.
Le meilleur conseil que je puisse vous donner est donc d'avoir recours à un Rav si le doute subsiste alors que vous continuez à voir ces reflets à la lumière du jour.
merci infiniement kol touv
Avec plaisir!
Kol touv!
chalom, je voulais savoir quelles sont les hargachotes pour lesquelles il faut faire des bedikotes pendant la periode tahor ?
Comment fait on lorsque on a beaucoup d'hargachotes differentes au niveau de l'uterus (comme des elancements, des petites contractions, des ecoulements....), meme si on fait des hazakotes il est difficiles de reconnaitre et regrouper les differentes types d'hargachotes (on peut pas passer son temps a faire des bedikotes.....)??
et j'ai lu que si on a une hargacha similaire aux regles mais qu'on a pas fait de bedika on peut etre declaree nida (dans le doute que le sang s'est peut etre perdu) ??
merci beaucoup
Chalom!
Un cours a été mios en ligne en début de semaine dernière à ce sujet. Il répondra à une grande partie de vos questions.
Cf http://www.torahacademy.fr/purete-2-1
Je ne pense toutefois pas que c'est normal que vous ayez tellement de sensations ainsi que vous avez l'air de le décrire.
Il est possible que vous avez tellement peur d'avoir ces sensations que vous imaginez d'autres sensations comme celles ci, ce qui est au passage, très fréquent chez les femmes un peu stressées. Mais ce n'est peut être pas votre cas.
Béhatslah'a!
chalom,
est ce que la fleur de douche que l'on utilise pour se savonner a le meme statut que le papier de toilette c'est a dire qu'elle ne peut rendre impure?
(par exemple, si on y voit dessus des petits points noirs....ou il faut vraiment y voir du sang mamach?)
toda raba
Chalom Ouvrah'a!
Dites moi s'il vous plait en quelle matière est constituée cette fleur de douche.
Au sujet de votre exemple, je ne le comprend pas tout à fait parce que les choses qui ne sont pas susceptibles à recevoir l'impureté tel que le papier toilettes ne rendent pas la femme Nidda même si la couleur est vraiment rouge.
Même si cette matière est susceptible de recevoir l'impureté, si la couleur ne tend pas vers le rouge et le noir, il n'y a pas de problème non plus.
Bref, les cours qui seront mis en ligne ces Lundi sur le site, vont vous permettre Béézrat Hachèm d'y voir beaucoup plus clair.
Kol touv!
chalom,
peut on jeter sans aucun probleme les restes de pain qu'on a achete dans une patisserie connue badatz ( comme 'nehama' ou yaale....)?
ne sachant pas si la farine utilisee est de chichi ou cheviit.
toda raba
Chalom Ouvrah'a!
La farine dont se sert la Eda Haharédit provient de l'étranger et n'est pas concernée par les lois de Kédouchat Chéviit.
Au passage, même pendant les autres années la majeure partie des farines qui se trouvent en Israël sont importées de l'étranger.
Kol touv!
chalom, peut on acheter des aliments 'beth yossef' s'il n'est specifie aucune mention concernant la chemita (tel ke 'lo hachach tevel ve chiviit....) ? comme le lait de soja ou les barres de chocolats-amandes........
toda
Chalom!
Oui, le Hechcher Beth Yossef (du Rav Moché Yossef) est considéré comme Méhadrin et il ne sert pas de fruits et légumes pouvant être problématiques pendant la Chémita sans le préciser.
Kol touv!
Chalom rav,
je voulais savoir comment est il possible de relativiser dans le domaine aussi important et kadosh de tahara hamichpahat (qui en plus est passible de hayav karet si non respectees)??
je me culpabilise enormement dans ce domaine, particulierement, dans lequel j'ai enormement de mal a relativiser.
surtout que ca implique aussi mon mari qui fait confiance sur toutes les demarches du processus de purification.....a sa femme.
c'est donc aussi une enorme responsabilite.
je n'arrive meme plus a jeter mes bedikots tant ke je les ai pa vu avec mon mari. (de peur davoir mal regarder ou davoir rater un detail tres important qui aurait pu faire l'objet d'une cheela).
bien que j'ai deja regarder vos cours a ce sujet qui mon deja ete d'une tres grande utilites , j'ai besoin d'elements en plus pour m'aider vraiment a relativiser et me detendre dans ce domaine.
merci infiniement de votre comprehension et de votre patience.
kol touv
Chalom Ouvrah'a!
Oui, je connais très bien ce problème!
J'ai des dizaines d'élèves qui sont généralement détendues etc. et qui justement concernant ce sujet sont super stressées voir obsédées.
C'est justement l'importance du sujet qui entraîne cette peur démesurée.
Si ceci ne vous paralyse pas trop, ce n'est pas très grave, et il n'y a arien de grave à regarder les vérifications avec votre mari, je pense justement que c'est une bonne chose que lui aussi soit impliqué, et c'est un prétexte supplémentaire pour échanger quelques propos avec lui.
Si votre situation est telle que vous êtes paralysées et que vous souffrez vraiment de cela, comme c'est le cas chez certaines femmes, une consultation chez un psychologue compétent s'impose et peut vraiment vous libérer avec l'aide de D. et prières bien sur de cette obsession.
Béhatslah'a!