Bonjour Rav,
J'ai lu dans une biographie de la Rabbanit Kanievski que le Rav recommandait d'étudier la massekhet kinim avec les commentaire du Ken Méforechet et du Rav Ovadia Bertinoro (Tossafot Yom Tov) pour les personnes qui attendent des yechouot. Connaissez vous cette segoula ? Savez vous ou l'on peux trouver le commentaire du Ken Méfourechet et du Rav Ovadia Bertinoro ?
Faut il étudier toute la massekhet ?
Est ce qu'une femme peux le faire ? Ils disent également dans le livre qu'il faut lire une petite prière dans notre langue usuelle et répéter tout cela 3 jours (c'est pour cela que je me demande si il faut étudier toute la massekhet).
Je vous remercie pour votre réponse !
Chalom Ouvrakha !
Le livre Ken Méfouréchét a été rédigé par le Rav Tsvi Hirsh Goudmékher. Son père s'appelait Rabbi Eliahou Goudmékhér et il était aussi un illuste Talmid 'Hakham.
Rabbi Tsvi était l'un des élèves de Rabbi Akiva Iguèr et il est décédé jeune.
Son père a assuré les frais d'impression etc. du livre de Rav Tsvi son fils, pour l'élévation de son âme et à sa mémoire.
Le père, Rabbi Eliahou écrit que l'étude de ce livre constitue une Ségoula.
Je vous cite son texte qu'il a écrit dans l'introduction du commentaire sur la Massékhét kinim :
בעת שיצטרך אדם לישועה מה יתרומם וילמד משנה עם הרב ותום יום טוב ופירוש בני זצ"ל ויעמיד עצמו אחר כך ויתפלל ויפרט מבוקשו שיהיה נענה ואם לא באיזה לשון ששגור בפיו יבא ישועה יעשה כן עד ג ימים בכל יום פעם אחד
Je traduis :
" Lorsqu'une personne aura besoin d'une délivrance, il s'élèvera et étudiera une Michna avec le commentaire de Rabbi Ovadia de Barténoura, ceux de Tossefot Yom Tov, et de mon fils zatsal. Et ensuite il se dressera et priera et détaillera sa demande et dira " Toi mon D. le peuple juif est cher à tes yeux... fais à mon égard de la bonté comme un père fait à l'égard de son fils ... à savoir d'être exaucé, ou en n'importe quelle langue qui lui est familière il demandera à D. de l'exaucer.
S'il n'a pas été exaucé il répétera cela jusqu'à 3 jours consécutifs une fois par jour.
Béhatsla'ha !
Bonjour Rav, Chavoua tov,
J'ai 25 ans, je suis dans le derekh atorah, j'ai un travail, une famille et des amis très gentils... mais je n'arrive pas à trouver de shiddouh.
A chaque fois, cela ne se fait pas, ou je suis déçue de la personne que je rencontre.
Il y a quelques années, j'ai rencontré en shiddouh un garçon à qui je savais que je plaisais beaucoup.
Je n'étais pas emballée, et au bout de 5 rencontres je lui ai envoyé un simple texto en disant que je préférais arrêter.
J'ai fais cela car j'étais gênée de le faire de vive voix et je pensais que cela le générai aussi.
Avec l'expérience, je sais que j'aurai du le faire de vive voix sachant que je lui plaisais et que cela à pu le vexer.
Le garçon s'est marié quelques mois plus tard.
On entend souvent des histoires de personnes qui ont leur mazal bloqué à cause de quelqu'un qui leur en veux...
Comment pourrais je savoir dans cette situation si le garçon m'en a voulu ou pas ?
Je n'ai plus aucun contact avec la personne qui nous à présenté.
Je vous demande conseil, car je préférerai éviter de demander directement au garçon étant donné qu'il est marié maintenant et que c'est pas forcément sympa pour lui qu'un ancien shiddouh intervienne dans sa vie...
Qu'en pensez vous ?
Merci beaucoup pour votre réponse !
Chalom Ouvrakha !
Je pense que dans notre génération ce n'est plus très difficile de retrouver quelqu'un de perdu si in connait son nom et son prénom, et surtout s'il est informatisé etc.
Je pense que le mieux serait que vous vous adressiez à un ami à lui et que vous lui demandiez de présenter des excuses de votre part à cet homme, et d'insister un peu jusqu'à ce qu'il affirme pleinement qu'il est Mo'hél.
Vous pouvez aussi passer par son Rav ou autre. Mais c'est vrai que directement il vaut mieux éviter à moins qu'il ne refuse de vous excuser si vous ne lui passez pas de vous même un coup de fil. Le cas échéant il faudra le faire par voie téléphonique.
Béhatsla'ha Rabba et Bessorot Tovot !