bonjour!
J'ai vu un cours où le rav disait que quand on dit adochem dans le chema il faut penser hachem melekh hachem malakh hachem imlokh lelolam vaed et elokenou il possede toutes les forces, mais il semblait vouloir dire que il fallait y penser des qu'on rencontre un de ces noms d' achem ds la tefila faut il sarreter des quon les voit ds notre tefila ou est ce uniquement qd on dit la phrase chema israel parce que sinon ça rallonge baucoup la tefila et ça fait bizarre de s'arrêter ttes les deux minutes ds la tefila pour penser à ça dès qu'on prononce le nom de hachem
merci baucoup
Chalom Ouvrah'a!
Étant difficile de penser à ces intentions serait-ce même uniquement pour le premier verset du Kriat chéma, vous pouvez allonger un peu la prononciation du mot de sorte à pouvoir avoir la possibilité d'avoir ces intentions.
Dans certains Sidourim, à chaque endroit où apparaît le nom de D. sont écrites ces notions.
Je vous rappelle ce que de nombreux décisionnaires écrivent: Il est bon le matin avant le début de la prière, de réciter le petit passage dans lequel on dit que notre intention à chaque fois où on récite le nom de D. est d'avoir ces pensées bien qu'en pratique on ne les a pas réellement.
Cependant, comme vous le dites, de nombreux décisionnaires disent que la récitation de ce passage est valable pour l'ensemble des noms de D. excepté pour le premier verset du Kriat Chéma.
Mon conseil est donc que pour l'instant vous commenciez à réciter ce petit passage ainsi que le Gaon de Vilna le préconise afin qu'à chaque fois que vous réciterez le nom de D. ce soit considéré comme si vous avez eu ces intentions bien qu'en pratique vous ne les avez pas eu.
En parallèle efforcez vous pour le premier verset du Kriat Chéma d'avoir effectivement ces intentions. Au fur et à mesure avec le temps et beaucoup d'acharnement il est possible que vous réussirez à prendre la coutume de penser à cela à chque fois que vous réciterez le nom de D. ainsi que le Rav Abba CHaoul zatsal dans son oeuvre Zikron Hadassa témoigne concernant un homme qui avait pris l'habitude d'avoir ces intentions et pour lui c'était presque un réflexe.
Béhatslah'a!
Kol touv!