Anael Mimoun

Chalom Ouvrah'a

Veuillez écouter le cours suivant qui résume tout cela de façon claire: http://www.espacetorah.com/category/1/19846

En un mot:

D'après le Rav Ovadia Yossef zatsal: On peut ne prier qu'une prière par jour.

D'après le H'afets H'aim et telle est la coutume Achkénaze; Il faut prier deux prières journalières Chah'arit et Minh'a. 

Toutefois une femme qui a des enfants en bas âge etc. et qui est donc débordée est dispensée de la prière à proprement parler. Regardez la réponse suivante pour savoir ce qu'elle a à faire:

http://www.torahacademy.fr/tefilot-minimales-pour-les-mamans

Avec tout cela je pense que c'est sensé être clair!

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Vous posez une excellente question!

Dans un tel cas il doit donner à son Maître l'honneur de faire le Kiddouch vu que la coutume est que la personne la plus importante est celle qui fait le Kiddouch.

La question peut par contre se poser au sujet du Motsi, où la Halah'a est que ce n'est pas la personne la plus importante qui doit faire le Motsi, mais le maître de maison. (vu que le pain lui appartient et que de cette façon là il pourra le distribuer de façon généreuse, ce que n'oserait pas faire un invité auquel on demanderai de faire le Motsi.

Prenons donc le cas où un homme marié reçoit chez lui son Maître ou ses parents et qu'il fait lui même le Motsi. Dans un tel cas, à qui doit il servir en premier un morceau de pain? A son Maître ou à son épouse?

C'est une question assez compliquée parce que d'une part il est tenu par l'honneur de son Maître ou de son père, mais d'autre part, il est tenu à honorer sa femme et ne pas la vexer.

Le Rav Chlomo Zalman Oyerbah' zatsal avait la coutume dans un tel cas de couper deux morceaux de pain, les tremper dans le sel, et avec une main il servait son Maître alors qu'avec l'autre main simultanément, il donnait à son épouse de sorte à honorer ses parents sans vexer son épouse.

Chalom!

Avant la consommation on récite la bénédiction de Chéhakol d'après la majorité des décisionnaires!

Après sa consommation il n'y a pas de bénédiction à réciter vu que on ne récite Boré néfachot qu'après avoir consommé une quantité de 28 grammes en un laps de temps de 4 voire 7 minutes d'après certains.

Or la quantité de sucre que vous avalez lors de sa consommation est nettement inférieure à cela!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a

Veuillez écouter le cours suivant qui résume tout cela de façon claire: http://www.espacetorah.com/category/1/19846

En un mot:

D'après le Rav Ovadia Yossef zatsal: On peut ne prier qu'une prière par jour.

D'après le H'afets H'aim et telle est la coutume Achkénaze; Il faut prier deux prières journalières Chah'arit et Minh'a. 

Toutefois une femme qui a des enfants en bas âge etc. et qui est donc débordée est dispensée de la prière à proprement parler. Regardez la réponse suivante pour savoir ce qu'elle a à faire:

http://www.torahacademy.fr/tefilot-minimales-pour-les-mamans

Avec tout cela je pense que c'est sensé être clair!

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Vous posez une excellente question!

Dans un tel cas il doit donner à son Maître l'honneur de faire le Kiddouch vu que la coutume est que la personne la plus importante est celle qui fait le Kiddouch.

La question peut par contre se poser au sujet du Motsi, où la Halah'a est que ce n'est pas la personne la plus importante qui doit faire le Motsi, mais le maître de maison. (vu que le pain lui appartient et que de cette façon là il pourra le distribuer de façon généreuse, ce que n'oserait pas faire un invité auquel on demanderai de faire le Motsi.

Prenons donc le cas où un homme marié reçoit chez lui son Maître ou ses parents et qu'il fait lui même le Motsi. Dans un tel cas, à qui doit il servir en premier un morceau de pain? A son Maître ou à son épouse?

C'est une question assez compliquée parce que d'une part il est tenu par l'honneur de son Maître ou de son père, mais d'autre part, il est tenu à honorer sa femme et ne pas la vexer.

Le Rav Chlomo Zalman Oyerbah' zatsal avait la coutume dans un tel cas de couper deux morceaux de pain, les tremper dans le sel, et avec une main il servait son Maître alors qu'avec l'autre main simultanément, il donnait à son épouse de sorte à honorer ses parents sans vexer son épouse.

Chalom Ouvraha!

Tout d'abord, le Choulhan Arouh' au chapitre 90 traite de ce sujet ainsi que de nombreux décisionnaires. Ceci inclut le fait de prier face à des photos, face à des posters à des tableaux, à des dessins etc. Le problème principal est que lorsqu'on prie face à des dessins est que ceci empêche la concentration requise pour bien prier.

La solution à ce problème est de fermer ses yeux au moment de la Amida.

Cependant, de nombreux décisionnaires autorisent à prier face à la Parohèt qui se trouve sur l'arche sainte bien qu'elle soit généralement joliment brodée, et souvent très belle. La raison en est que vu qu'on est déjà habitués à la voir, ceci ne constitue déjà plus une chose qui pourrait nous faire perdre notre concentration.

Certains décisionnaires déduisent de là deux choses:
La première est qu'une personne qui n'est pas habituée à voir cette belle teinture, devra fermer ses yeux au moment de la prière.
La seconde est que même chez soi, si on est habitué à un tableau etc. il n'y a pas d'interdiction de prier en face et ce, même sans fermer ses yeux!

Cependant, indépendamment de ce problème, il existe un second problème!
Les décisionnaires écrivent qu'il est interdit de prier face à un miroir, en dehors du fait que cela peut dissiper notre concentration (auquel cas on pourrait fermer nos yeux), il existe un autre problème que lorsque nous allons nous prosterner ceci pourrait paraître comme si on se prosternait devant soi même, ce qui est tout à fait interdit!

Même si on ferme nos yeux, le problème n'est pas résolu!

Le Or letsion écrit (Tome 2 chapitre 7 alinéa 11) que de la même façon il est interdit de prier face à des photos de Rabbanim même si on ferme les yeux, pour cette même raison, à savoir qu'on pourrait en venir à penser qu'on se prosterne devant eux!

C'est pourquoi d'ailleurs dans le Orhot Rabbénou il est écrit que le Steipeler Zatsal refusait de prier dans sa Soukka, puisqu'il y avait des photos d'immenses Rabbanim et qu'il ne voulait pas rentrer dans ce problème!

Ceci étant, si vous ne vous situez pas en face mais de côté ce problème est inexistant! Encore faudra t'il (en vertu du premier problème explicité plus haut) fermer vos yeux ou au moins ne pas les diriger vers les photos pour ne pas dissiper notre concentration à moins qu'on y soit déjà très habitués ainsi qu'on l'a expliqué plus haut!

Kol touv!

Chalom!

Au moment où on vient se vêtir du Talith gadol, avant de prononcer la bénédiction il faut l'enrouler autour de sa tête. C'est une Halah'a!

Ensuite on le met normalement sur son corps.

Kol touv!

Votre question concerne le 9 Av ou en général?

Vous demandez pour des garçons ou des filles?

Merci.